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lundi 30 septembre 2013

Partenariat public-privé : bel avenir pour l’industrie pharmaceutique africaine



Le secteur pharmaceutique africain devrait connaître, au cours des prochaines années, un boom sans précédent
Tunis, Tunisie, 30 septembre 2013 - Le secteur pharmaceutique africain devrait connaître, au cours des prochaines années, un boom sans précédent. Les synergies public-privé apparaissent incontournables pour le développement de cette industrie. En effet, avec un taux de croissance annuel moyen de plus de 10 %, l’Afrique est le second marché le plus dynamique à l’échelle mondiale, après l'Asie-Pacifique. Les dépenses pharmaceutiques devraient ainsi atteindre les 30 millions de dollars d'ici 2016. C’est ce qui ressort des travaux du premier Sommet pharmaceutique africain, organisé à Hammamet, en Tunisie, les 23 et 24 septembre 2013.
Organisé par la Banque africaine de développement (BAD) et le journal Africa Health, le Sommet pharmaceutique africain 2013 a rassemblé quelque 130 experts de haut niveau venus du monde entier. Il s’agit de la première plateforme réunissant décideurs politiques, industriels, experts et bailleurs de fonds pour définir les meilleures stratégies de développement du secteur. Cette importante rencontre a été l'occasion de faire le point autour de la nécessité de multiplier les partenariats public-privé. L’objectif était de mettre en évidence l’importance de ce mode de financement qui s’avère, aujourd’hui, essentiel pour saisir les opportunités de ce secteur et améliorer la santé des populations.
Abdellatif Mekki, ministre tunisien de la Santé a d’ailleurs exprimé son soutien pour le développement de partenariats africains dans cet espace économique émergent. « De tels partenariats », a-t-il dit, « permettraient d’améliorer la sécurité sanitaire, l’accessibilité au médicament ainsi que l’harmonisation des législations en Afrique ».
Première institution de financement du développement en Afrique, la BAD intervient aujourd’hui comme un acteur clé du dialogue public-privé dans le secteur pharmaceutique. A travers la première édition de ce sommet africain, la Banque offre ainsi l’opportunité de créer une plateforme unique Business-to-Business visant à établir des partenariats, renforcer la collaboration et développer des synergies sur les domaines d’intervention possibles pouvant faire progresser cette industrie.
L’économiste en chef de la Banque africaine de développement, Mthuli Ncube, est revenu sur l'intérêt politique actuel pour le développement du secteur pharmaceutique en Afrique. « Bien que le marché pharmaceutique africain ne représente que 2 % du marché global, sa croissance reste la plus importante dans le monde », a-t-il expliqué. « Les opportunités sont notables compte tenu de la dynamique démographique et de la croissance du pouvoir d'achat en Afrique. Par ailleurs, le continent représente une part importante des maladies infectieuses dans le monde ».
« Face à la crise financière et à l’investissement requis pour développer cette industrie et la rendre plus compétitive, il est nécessaire de relever un certain nombre de défis », a pour sa part estimé Feng Zhao, chef de la division Santé au sein du département du Développement Humain de la BAD. « De nouveaux modèles d’affaires et de partenariats sont à penser pour mieux répondre aux spécificités du continent », a-t-il ainsi indiqué. « Nous avons entrepris plusieurs initiatives dans ce sens et nous continuons à offrir notre support pour développer le potentiel de ce secteur ».
La BAD a lancé un programme ambitieux basé sur une stratégie institutionnelle à l’horizon 2022. A travers son département du Développement Humain, la BAD a défini ses priorités pour l’industrie pharmaceutique en soutenant le développement du secteur privé et l’intégration économique régionale. Ces deux axes visent à placer l’Afrique comme un acteur clé face aux enjeux globaux. Les investissements dans les compétences et les technologies sont également au centre de l’agenda de développement de la BAD. Compte tenu des spécificités du secteur pharmaceutique africain, la révolution technologique et l’innovation peuvent être exploitées pour accélérer significativement la croissance inclusive et la création d'emplois.
De nombreuses initiatives ont été lancées par la Banque pour encourager les secteurs public et privé, ainsi que les ONG et instituts de recherche en Afrique à développer des solutions innovantes en matière de santé. A cet égard, cette première édition du Sommet pharmaceutique africain a accueilli les dix lauréats du prix E-health BAD. Devant le panel d’experts, les lauréats ont été invités à présenter leurs innovations. Puis ils ont reçu un certificat pour leurs contributions et solutions dans les domaines e-health et m-health en Afrique.
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

jeudi 26 septembre 2013

Partenariat public-privé : l’industrie pharmaceutique africaine promise à un bel avenir



Hammamet, Tunisie 26 septembre 2013 - Le secteur pharmaceutique africain devrait connaître au cours des prochaines années un boom sans précédent. L'opportunité est telle que les synergies public-privé apparaissent incontournables pour le développement de cette industrie. C’est ce qui ressort des travaux du premier Sommet pharmaceutique africain, organisé à Hammamet, en Tunisie, les 23 et 24 septembre 2013.
Avec un taux de croissance annuel moyen de plus de 10 %, l’Afrique est le second marché le plus dynamique à l’échelle mondiale, après l'Asie-Pacifique. Les dépenses pharmaceutiques devraient ainsi atteindre les 30 millions de dollars d'ici 2016.
Organisé par la Banque africaine de développement et le journal Africa Health, le Sommet pharmaceutique africain 2013 a rassemblé quelque 130 experts de haut niveau venus du monde entier. Il s’agit de la première plateforme réunissant décideurs politiques, industriels, experts et bailleurs de fonds pour définir les meilleures stratégies de développement du secteur. Cette importante rencontre a été l'occasion de faire le point autour de la nécessité de multiplier les partenariats public-privé. L’objectif était de mettre en évidence l’importance de ce mode de financement qui s’avère, aujourd’hui, plus que jamais nécessaire pour saisir les opportunités de ce secteur et par conséquent améliorer la santé de sa population.
Abdellatif Mekki, ministre tunisien de la Santé a d’ailleurs exprimé son soutien pour le développement de partenariats africains dans cet espace économique émergent. De tels partenariats, a-t-il dit, permettraient d’améliorer la sécurité sanitaire, l’accessibilité au médicament ainsi que l’harmonisation des législations en Afrique.
Première institution de financement du développement en Afrique, la BAD intervient aujourd’hui comme un acteur clé du dialogue public-privé dans le secteur pharmaceutique. A travers la première édition de ce sommet africain, la Banque offre ainsi l’opportunité de créer une plateforme unique Business-to-Business. Cette plateforme vise à établir des partenariats, renforcer la collaboration et développer des synergies sur les domaines d’intervention possibles pouvant faire progresser cette industrie.
L’économiste en chef de la Banque africaine de développement, Mthuli Ncube, est revenu sur « l'intérêt politique actuel pour le développement du secteur pharmaceutique en Afrique ». « Bien que le marché pharmaceutique africain ne représente que 2% du marché global, sa croissance reste la plus importante dans le monde », a-t-il expliqué. « Les opportunités sont notables tenant compte de la dynamique démographique, de la croissance du pouvoir d'achat en Afrique, sans compter que le continent représente une part importante des maladies infectieuses dans le monde ».
Face à la crise financière et à l’investissement requis pour développer cette industrie et la rendre plus compétitive, il est nécessaire de relever un certain nombre de défis, a pour sa part estimé Feng Zhao, chef de la division Santé au sein du département du Développement Humain. « De nouveaux modèles d’affaires et de partenariats sont à penser pour mieux répondre aux spécificités du continent », a-t-il ainsi indiqué. « Nous avons entrepris plusieurs initiatives dans ce sens et nous continuons à offrir notre support pour développer le potentiel de ce secteur ».
La BAD a lancé un programme ambitieux basé sur une stratégie institutionnelle à l’horizon 2022. A travers son département du Développement Humain, la BAD a défini ses priorités pour l’industrie pharmaceutique en soutenant le développement du secteur privé et l’intégration économique régionale. Ces deux axes visent à placer l’Afrique comme un acteur clé face aux enjeux globaux. Les investissements dans les compétences et les technologies sont également au centre de l’agenda de développement de la BAD. Compte tenu des spécificités du secteur pharmaceutique africain, la révolution technologique et l’innovation peuvent être exploitées pour accélérer significativement la croissance inclusive et la création d'emplois.
De nombreuses initiatives ont été lancées par la Banque pour encourager les secteurs public et privé, ainsi que les ONG et instituts de recherche en Afrique à développer des solutions innovantes en matière de santé. A cet égard, cette première édition du Sommet pharmaceutique africain a accueilli les dix lauréats du prix E-health BAD. Devant le panel d’experts, les lauréats ont été invités à présenter leurs innovations et recevoir un certificat pour leurs contributions et solutions dans les domaines e-health et m-health en Afrique.  
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

mercredi 25 septembre 2013

De futurs leaders se réunissent en Afrique du Sud



Le Groupe Maersk participe au sommet One Young World 2013 qui aura lieu la semaine prochaine à Johannesburg, en Afrique du Sud
Johannesburg, Afrique du Sud, 25 septembre 2013 - Quatorze jeunes employés de Maersk participeront au 4e sommet annuel One Young World, qui aura lieu la semaine prochaine à Johannesburg, en Afrique du Sud. Organisé par l'association caritative One Young World, cet événement réunit à la fois des leaders politiques tels que Kofi Annan et Sir Bob Geldof et des personnes aspirant à faire partie de la prochaine génération de leaders mondiaux.
Une chance unique
L'un des participants africains de Maersk est Sow Thierno Madjou, âgé de 29 ans et originaire de Guinée, en Afrique occidentale :  « Ce rendez-vous est une chance unique de rencontrer et nouer des relations avec de jeunes leaders du futur venus du monde entier. Je me réjouis particulièrement de parler d'aspects socio-politiques et économiques avec des participants de différents pays, et j'espère me servir plus tard de cette inspiration pour apporter des changements positifs dans mon propre pays », a déclaré M. Madjou, qui occupe actuellement le poste de contrôleur financier chez Maersk Line.
De même, Junaid Kathrada, âgé de 29 ans, considère cette conférence comme une excellente opportunité d'apprendre auprès de leaders influents des quatre coins du globe :  « J'espère pourvoir tirer parti des expériences et connaissances des délégués, ambassadeurs et invités, et aussi établir des réseaux qui me permettront, ainsi qu'aux autres participants, de faire une différence visible au sein de nos propres sociétés », a ajouté M. Kathrada, qui travaille au sein du service à la clientèle de Safmarine à Durban.
Attirer des talents du vivier le plus large possible
Cet événement donne à Maersk une précieuse opportunité de développer et inspirer des personnes aspirant à devenir des leaders, en particulier sur les marchés à forte croissance où la concurrence pour les affaires, et les personnes talentueuses nécessaires pour les mener, est forte. Rien qu'en Afrique, le Groupe emploie plus de 10.000 personnes, et souhaiterait en attirer encore plus :  « Le Groupe Maersk est présent en Afrique depuis plus d'un siècle, et possède des bureaux dans presque tous les pays du continent. Nous visons à refléter les communautés dans lesquelles nous menons nos activités et à attirer des talents du vivier le plus large possible. Nous souhaitons renforcer encore davantage notre diversité », a commenté Deniz Kirdar True, responsable de la division Diversité et Inclusion du Groupe Maersk.
Maersk encourage les futurs leaders à faire preuve de curiosité
Le Groupe Maersk voit également la valeur de faire participer ses talents au sommet One Young World comme une façon d'élargir davantage leur horizon : « Nous encourageons nos futurs leaders à être faire preuve de curiosité concernant les différentes façons de faire dans d'autres sociétés, dans d'autres secteurs et sur d'autres marchés. En tant que groupe, nous avons intérêt à chercher d'autres perspectives et à être prêts à remettre en question les approches traditionnelles, et je pense que le sommet One Young World offre une occasion de le faire », a conclu M. True.
Originaire de Lima, au Pérou, Patricia Pretell interviendra pendant la session plénière de One Young World sur le commerce international (prévue le 5 octobre à 8h30). Mme Pretell travaille depuis l'Amérique latine chez Damco, la branche logistique du Groupe Maersk. Les treize autres participants de Maersk représentent plusieurs activités et marchés différents du groupe, notamment l'Inde, le Brésil, l'Afrique du Sud, la Guinée, le Maroc, les Philippines, la Chine, le Pakistan, la Jordanie et le Nigeria.
La conférence, qui se tiendra du 2 au 5 octobre 2013, abordera plusieurs thèmes parmi lesquels l'éducation, le chômage des jeunes, les droits de l'homme, le commerce international, le leadership et les gouvernements, ainsi que le développement durable.
A propos du Groupe Maersk
Le Groupe Maersk est un conglomérat mondial opérant dans les secteurs du transport ainsi que du pétrole et du gaz. Nous sommes présents dans 130 pays, et employons environ 121 000 personnes. Quatre de nos sociétés – Maersk Line, APM Terminals, Maersk Oil et Maersk Drilling – constituent l’essentiel de nos investissements en croissance stratégique.


mardi 24 septembre 2013

France - Afrique - Assemblée Générale des Nations Unies : Discours de François Hollande, Président de la République française (Extrait)



Mali - Afrique de l'Ouest – Sahel – Libye – Centrafrique - RD Congo – Somalie - Kenya 
New York, 24 septembre 2013/ -- Discours de Monsieur François Hollande, Président de la République française (Extrait)
(New York, le 24 septembre 2013)
Le Moyen Orient n’est pas la seule région qui nous préoccupe. L’Afrique est la proie du terrorisme. L’attaque barbare de Nairobi nous le confirme une fois encore, et tragiquement.
Des victoires sont possibles contre le terrorisme. Ainsi au Mali, avec un mandat clair du Conseil de sécurité, les forces africaines, françaises, avec l’appui des Européens, sont intervenues à l’appel des autorités de Bamako, et ont réussi à mettre un terme à une offensive terroriste de grande envergure. Aujourd’hui les résultats sont là. Le Mali a retrouvé l’intégrité de son territoire, a assuré la sécurité de la population et a pu même organiser à la date prévue une élection présidentielle qui a été reconnue comme incontestable. Je veux saluer ici le nouveau Président du Mali, Ibrahim Boubacar KEITA, qui témoigne d’une grande victoire de l’Afrique de l’Ouest contre le terrorisme.
Mais la menace continue de peser dans le Sahel, mais également en Libye où les armes circulent, où des groupes terroristes ont trouvé refuge. Là encore, nous devons aider les autorités de la Libye à assurer la sécurité de leur territoire et de leur population. La France y est prête.
Je veux lancer maintenant un cri d’alerte, comme je l’avais fait l’année dernière sur le Mali. L’alerte concerne la Centrafrique, petit pays ravagé depuis trop d’années par des coups d’Etats et des conflits. Aujourd'hui, c’est le chaos qui s’est installé. Les populations civiles une fois encore en sont les victimes. Nous devons mettre un terme à ces exactions qui prennent d’ailleurs aussi une forme confessionnelle. C’est pourquoi je souhaite que le Conseil de sécurité donne mandat et accorde des moyens logistiques et financiers à une force africaine dont la première mission serait de rétablir la stabilité en Centrafrique.
En République démocratique du Congo, des femmes, des enfants sont violentés chaque jour dans les Kivu. Là encore, il est impératif que nous continuions à renforcer la MONUSCO, à appliquer l’accord d'Addis Abeba, et à refuser toutes les ingérences extérieures.
Nous devons tirer les expériences de ces dernières années.
Partout où le désordre règne, le terrorisme s'installe et prend de l'ampleur. C’est le cas en Somalie. L’attaque contre le Kenya nous rappelle que les groupes Shebabs, même s’ils ont été vaincus, n’ont pas encore été éradiqués.
C’est pourquoi la communauté internationale doit aider les Etats africains à se protéger.
La France organisera à la fin de l’année une réunion pour la paix et la sécurité en Afrique. Elle y a invité tous les pays africains. L’Europe sera représentée. L’ONU également. Il s’agit de permettre l’encadrement, la formation, l’équipement des armées africaines pour assurer elle-même la sécurité du continent, lutter contre tous les trafics, notamment de drogue et contre la piraterie.  Les Africains doivent assurer eux-mêmes leur sécurité. Mais nous ne pouvons pas les laisser seuls face aux risques terroristes.

Le Togolais Koffi Djondo honoré à New York lors des réunions annuelles de l'Assemblée des Nations Unies



New York, 24 septembre 2013 - Koffi Djondo et Tony Elumelu, deux grands hommes d'affaires africains, ont été parmi les heureux gagnants des Trophées African Business. Cette prestigieuse cérémonie, organisée par le magazine African Business, s'est déroulée le 20 septembre en présence d'éminentes personnalités et hommes d'affaires à l'occasion  de l'Assemblée Générale des Nations Unis à New York.
Le grand leader togolais Gervais Koffi Djondo, l'un des pères fondateurs du groupe bancaire pan-Africain Ecobank, et fondateur de la compagnie aérienne pan-Africaine Asky, a été honoré pour sa vie exemplaire et son rôle dans la création de deux géants africains de la finance et de l'aviation, qui participent activement à l'intégration régionale et continentale. Ethiopian Airlines a obtenu le Trophée de Meilleure entreprise africaine. Cette compagnie aérienne est un modèle de réussite dans un secteur difficile et concurrentiel.
Le Trophée Icône de l'année d'African Business a été décerné au banquier nigérian et philantropiste Tony Elumelu pour sa contribution à la transformation et au progrès du monde des affaires. Bola Adesola, présidente de la banque nigériane Standard Chartered est l'heureuse gagnante du Trophée Business Woman de l'année. Le Trophée de l'Innovation a été obtenu par Mawingu, un nouveau projet dans les télécommunications au Kenya, qui utilise les technologies sans fil innovantes et l'énergie solaire pour fournir un accès rapide au niveau national.
Le très convoité Business Leader de l'année a été décerné à Edward Boateng. En très peu de temps, cet entrepreneur influent a créé un groupe médiatique au Ghana, et a mis en place les meilleures pratiques pour le développement durable et l'environnement. Commentant la cérémonie, Omar Ben Yedder a déclaré: "les gagnants de ce soir ont de nouveau confirmé l'existence de très grands talents dans tous les domaines à travers tout le continent africain. Le secteur privé est sans aucun doute le secteur le plus dynamique et celui qui joue le rôle le plus important dans le développement économique et social en Afrique. C'est celui qui crée des opportunités et des emplois. Des accords de partenariat commencent à voir le jour entre les gouvernements et le secteur privé. Nous sommes sur la bonne voie, comme le démontrent les succès des entreprises honorées ce soir." 
Les Trophées African Business sont organisés par le magazine African Business  et  IC Events. Cette cérémonie annuelle a coïncidé avec l'African Leadership Forum, qui a rassemblé les dirigeants africains pour discuter des questions de leadership et bonne gouvernance sur le continent. Les Trophées African Business sont sponsorisés par GTBank et Mota-Engil Africa (Platine), Bank of Industry et Microsoft 4Afrika (Gold), DHL et Fasken Martineau (Silver), la Banque africaine de développement (Sponsor officiel), Paramount Group (Sponsor), et A PIN's for PEACE (Sponsor).
African Business
African Business, publié en anglais à Londres et en français à Paris, est depuis plus de 40 ans le magazine économique de référence du continent africain. Distribué dans plus de 100 pays à travers le monde, il est devenu une source d'informations essentielle pour les institutions et les entreprises qui s'intéressent au développement de l'Afrique. African Business est régulièrement cité par des économistes, des hommes politiques et des médias du monde entier.  Le magazine a remporté plusieurs prix et son rédacteur en chef a reçu le titre de meilleur journaliste de l'année. IC Publications publie neuf magazines panafricains en anglais à Londres et en français à Paris.
IC Publications - IC Events
IC Publications a plus de 50 ans d'expérience dans l'édition de magazines, de newsletters,  de rapports et suppléments sur les pays africains et arabes. Nos titres leaders - African Business, African Banker, New African, et New African Woman - sont publiés en anglais et en français et ont une audience de plus de 2 millions de lecteurs. IC Events organise des forums, conférences et tables rondes sur l'Afrique.
BusinessinAfrica Events (BIAE)
BIAE est spécialisée dans la communication d'entreprise et l'organisation d'événements en Afrique.