APO

samedi 18 octobre 2014

Martin Kobler, Chef de la MONUSCO, est profondément préoccupé par la demande du gouvernement congolais appelant au départ de Scott Campbell



Kinshasa,  18  octobre  2014  –  Martin  Kobler, Chef de la MONUSCO, se dit grandement  perturbé  par la demande du gouvernement congolais requérant le départ  de  Scott  Campbell,  chef du Bureau conjoint des Nations Unies aux droits  de  l'Homme (BCNUDH), et demande au gouvernement de reconsidérer sa décision.
Martin Kobler exprime  sa  plus  grande  confiance à Scott Campbell et dans le travail réalisé  par  toute  son  équipe.  Le  rapport  Likofi  a  été  préparé  en application  du  mandat  donné à la MONUSCO par le Conseil de Sécurité et a respecté  la  méthodologie  utilisée  par  le Haut-Commissariat des Nations Unies  aux  droits  de  l'Homme.  Il  prend  l'entière  responsabilité des conclusions  et  recommandations  de ce rapport", a déclaré le Représentant spécial  du Secrétaire général des Nations Unies en République démocratique du Congo.
Les rapports sur les droits de l'Homme publiés conjointement par la MONUSCO et  le BCNUDH sont des catalyseurs importants assurant la bonne gouvernance qui  mène  à  la  stabilité. Les défenseurs des droits de l'Homme jouent un rôle  important  en  RDC  et  doivent  pouvoir  effectuer leur travail sans entraves. Le  rapport  Likofi  se  veut  un instrument important dans la lutte contre l'impunité  en  RDC. Il a été partagé avec le gouvernement le 18 août 2014, et  les  commentaires du ministre de l'Intérieur ont été annexés au rapport publié.
Le  rapport  des  Nations  Unies  sur  les  graves violations des droits de l'homme,  notamment  des  exécutions  sommaires  et extrajudiciaires et des disparitions forcées, commises contre des civils par les forces de sécurité congolaises  dans  le cadre de l'opération « Likofi », a été officiellement
lancé mercredi 15 octobre.  Basé  sur  des enquêtes menées par le Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l’homme en RDC, le rapport documente les meurtres d'au moins neuf civils  et  la disparition forcée d'au moins 32 civils par des agents de la Police nationale congolaise (PNC).
Le  BCNUDH a pris note de la décision prise, le 15 août, par le commissaire général  de  la  PNC  de  mettre en place une commission d'enquête visant à étudier  et  identifier  les  violations  qui auraient été commises par des agents  de  la  PNC dans le cadre de l'opération « Likofi ». Scott Campbell est le directeur du Bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l'homme en RDC et le Représentant du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme en RDC.

mardi 14 octobre 2014

Mains propres, zéros microbes » : la RDC et l’UNICEF célèbrent la Journée mondiale du lavage des mains au savon



Kinshasa, République Démocratique du Congo, 14 octobre 2014. Le Gouvernement de la République Démocratique du Congo (RDC) et le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) célèbrent la Journée mondiale du lavage des mains au savon, à travers leur programme conjoint « Villages et Ecoles assainis ». Le thème retenu au niveau mondial en 2014 est « Choisir le lavage des mains, c’est choisir la santé ». Le Gouvernement congolais et ses partenaires souhaitent profiter de cette Journée pour mettre l’accent au niveau national sur le message clé : « Mains propres, zéro microbe ».
Depuis 2008, le 15 octobre de chaque année marque la Journée mondiale du lavage des mains, qui a pour but de sensibiliser les populations à l’importance du lavage des mains au savon ou à la cendre comme moyen de prévention efficace contre les maladies diarrhéiques et respiratoires.
En RDC, l’Enquête Démographique et de Santé 2013-2014 (EDS) a révélé qu’un ménage sur deux (50 %) ne dispose ni d’eau, ni de savon, ni de tout autre produit nettoyant pour se laver les mains. Cette situation est plus fréquemment observée en milieu rural (62 %) qu’en milieu urbain (37 %). La pratique du lavage des mains est pourtant essentielle pour la santé, en particulier celle des enfants.
« Notre pays fait actuellement face à la recrudescence de la Maladie à Virus Ebola à Boende, dans la province de l’Equateur. Nous voulons attirer l’attention de notre population sur l’importance vitale de la pratique régulière du lavage des mains au savon, ou à défaut à la cendre. Face à l’épidémie d’Ebola, il est vital de se laver les mains fréquemment, en particulier avant de manger, après avoir été aux toilettes et au retour à la maison » a déclaré le ministre de la Santé Publique, Dr. Félix Kabange Numbi Mukwampa.
Pour lutter contre les maladies liées à l’eau, l’hygiène et l’assainissement, le gouvernement congolais, à travers le Document de la Stratégie de Croissance et Réduction de la Pauvreté (DSCRP II), a pris des mesures pour promouvoir son Programme national Villages et Ecoles Assainis.  Ce programme, exécuté par les Ministères de la Santé Publique et de l’Education Primaire, Secondaire et Professionnelle (EPSP), et appuyé techniquement et financièrement par l’UNICEF et UKAID, est actuellement dans sa deuxième phase (2013-2017). Une première phase de 2008 à 2012 avait atteint plus de 2,6 millions de personnes. 80 % des habitants des villages assainis possèdent un dispositif de lavage des mains avec du savon ou de la cendre, et connaissent les moments clés pour se laver les mains. La deuxième phase bénéficiera d’ici 2017 à 6.000 nouveaux villages, dans lesquels vivent plus de 4 millions de personnes, et 1.250 nouvelles écoles, accueillant plus de 500.000 élèves.
« Les maladies diarrhéiques et respiratoires, transmises par les mains sales, ainsi que le paludisme sont les trois causes principales de décès chez les enfants de moins de cinq ans en RDC. La santé des enfants est entre les mains de toute la famille », a déclaré Madame Barbara Bentein, Représentante de l’UNICEF en RDC. Le lavage des mains réduit de plus de 40 % le nombre de décès associés à la diarrhée et de 25 % ceux associés  aux problèmes respiratoires.
À l’occasion de la Journée mondiale, le Gouvernement de la RDC lance avec l’UNICEF, UKAID et USAID, une campagne de sensibilisation de deux semaines, comprenant notamment la promotion du dispositif de lavage des mains dans 150 écoles, avec la diffusion sur les radios communautaires et commerciales d’un spot en quatre langues (Lingala, Kikongo, Tshiluba et Swahli); des concours de lavage des mains ; des émissions de radio interactives sur 15 chaines locales ; des points de presse ; des caravanes motorisées ; et des séances de démonstration. Les élèves et communautés villageoises présenteront des saynètes, des récitals et des poèmes mettant l’accent sur les cinq moments clés du lavage des mains.
Cette journée est également l’opportunité de rappeler et mettre en œuvre dans toutes les écoles sans exception, la circulaire du Secrétaire Général à l’EPSP ayant institué en 2010 «La pratique de lavage des mains dans toutes les écoles de la RDC».
A propos de la Journée mondiale du lavage des mains :
La Journée mondiale du lavage des mains prolonge et renforce la campagne en faveur de l’amélioration des pratiques d’hygiène partout dans le monde. La diarrhée, maladie infectieuse transmise par voie féco-orale reste un problème de santé majeur à cause de la précarité des conditions d’hygiène qui prévalent dans le pays affectant en particulier la population infantile généralement plus vulnérable. Actuellement, les maladies diarrhéiques et respiratoires représentent les principales causes de morbidité et de mortalité chez les enfants de moins de cinq ans.
A propos de l’UNICEF :
L'UNICEF promeut les droits et le bien-être de chaque enfant, dans tout ce que nous faisons. Avec nos partenaires, nous travaillons dans 190 pays et territoires pour traduire cet engagement en action concrète, en déployant des efforts particuliers pour les enfants les plus vulnérables et les plus marginalisés, pour le bien de tous les enfants partout dans le monde.

samedi 11 octobre 2014

« Arrestations et détentions illégales opérées par le Parquet Général de Kindu : Violation systématique des lois et intimidation du Bâtonnier du Barreau de Kindu »



Kinshasa, le 9 octobre 2014 - L’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) appelle le Procureur Général de la République à amorcer une enquête judiciaire urgente sur les arrestations et détentions illégales, la violation systématique des lois et intimidation du Bâtonnier de Kindu commis par le Procureur Général près la Cour d’Appel de Kindu, dans la province de Maniema.
Le 29 septembre 2014, les Avocats du Barreau de Kindu ont organisé une manifestation publique et pacifique pour dénoncer les arrestations et détentions illégales ainsi que la violation systématique des lois de forme et fond par le Procureur Général près la Cour d’Appel de Kindu. A l’issue de cette manifestation, les avocats avaient déposé un mémorandum auprès des autorités locales et décrété la grève « Palais sans toges » qui se poursuit jusqu’à ce jour. La copie de ce mémorandum a été transmise notamment au Procureur Général de la République à Kinshasa.
Sur une vingtaine d’abus commis par le Procureur Général de Kindu, nous citons à titre d’exemples les cas de:
-M. KAIBANDA FAZILI MUSILIMU, arrêté le 11/09/2014 sous RMP 3216/PG/LKO, présenté en chambre du conseil le 19/09/2014, soit huit jours après, et mis en liberté provisoire le 20/09/2014 par ordonnance du Tribunal de grande instance de Kindu et confirmée par celle de la Cour d’appel du 27/09/2014, mais fut détenu arbitrairement jusqu’au 29/09/2014.
-M. Docta MUNGANGA, arrêté et détenu depuis un mois, sous RMP 3193/PG/LKO, pour une dette réclamée au Diocèse de Kindu.
-M. UMBA LULEKULA Gaby, arrêté et détenu sous RMP 3238/MS pour des faits déjà classés sans suite, remis en liberté par la décision du tribunal du 27/09/2014, mais détenu par le Procureur Général jusqu’au 29/09/2014.
-M. LAWAMO RAMAZANI MUTIMBU, détenu sous RP. 10427 et remis en liberté par le tribunal le 12/09/2014, mais recherché et arrêté le dimanche 14/09/2014 pour des faits civils.
-M. ASSANI KIZOZO Séverin, détenu sous RMP 3218, remis en liberté le 20/09/2014 par le tribunal, mais détenu jusqu’à ce jour par le Procureur Général.
-M. KS, arrêté le 14/06/2014, sous RMP 3191/PG, pour adultère et détenu arbitrairement jusqu’à ce qu’il a payé une caution de 920.000 FC, soit dix jours après, alors que la plaignante avait déjà déposé son acte de désistement le 17/06/2014; soit trois jours après l’arrestation de KS.
-M. BARAKA RAMAZANI, condamné le 24/01/2014, sous RP 10032/RMP 3055/PG/IKA, mais remis en liberté par le Procureur général le 27/01/2014, soit trois jours après sa condamnation, sur base d’un mandat d’élargissement en violation de la loi en la matière…Selon les informations fiables en possession de l’ACAJ, il lui est aussi reproché la perte des biens saisis et gardés au Parquet Général sous RPA 469/RP 9625/RMP 16975 et ROS 1374/2012 (une moto TVS couleur rouge, 2 baffles petit modèle, un appareil mixeur, un écran 21 pouces, un écran 14 pouces, 2 lecteurs, un coby, un stabilisateur, 3 chargeurs sans sièges, un baffle grand modèle, 2 unités centrales des ordinateurs usagés, 2 chaises en plastic…); le non remboursement du cautionnement dans un dossier classé sans suite pour faits non établis sous RMP 2940/PG/KAK concernant M. Charles OTEKA; le refus injustifié d’exécuter des décisions irrévocables notamment sous RCA 294  et RCA 408; et la perception de cautionnement à des taux exorbitant (prohibitif).
Le 26/02/2014, MM. NDAKALA MISENGA, BAKULUKA LUKINDJA et BUSHIRI WALIUZI, arrêtés et détenus arbitrairement sous RMP 3130/PG/IKA, s’étaient plaints contre le Procureur Général de Kindu auprès du Président du Conseil Supérieur de la Magistrature, avec copies pour information à plusieurs autorités du gouvernement central, pour abus de pouvoir. Mais, ils n’ont jamais été notifiés de la suite réservée à leur plainte.
Le 02/10/2014, M. KAIBANDA FAZILI MUSILIMU avait déposé plainte contre le Procureur Général de Kindu auprès du Procureur Général de la République à Kinshasa, avec copies pour information à plusieurs autres autorités provinciales et nationales, pour arrestation et détention arbitraires sous RMP 3216/PG/LKO. Il n’a jamais reçu notification de la suite y réservée jusqu’à ce jour.
Le 14/02/2014, M. AWAZI NENGO Même, Président de l’ONG ALLIPAM avait, avec l’accompagnement de l’ACAJ, déposé plainte contre le même Procureur Général auprès du Procureur Général de la République suivant la lettre n° EtAv/008/DMKK/Kin/2014 pour détention arbitraire de deux défenseurs des droits de l’homme NGOY ABEDI et SAIDI Gervais. Mais, le plaignant n’a jamais été notifié de la suite y réservée jusqu’à ce jour. Le 7 janvier 2014, l’ACAJ avait déjà dénoncé ces faits auprès du Procureur général de la république par sa lettre n° 003/ACAJ/PN/GK/2014 contre le Procureur Général KAHASA SIWA et le magistrat KITOKO TABU Charly, mais restés non instruits jusqu’à ce jour. Le Procureur Général de Kindu a reconnu lesdits faits dans sa lettre n° 125/PG.075/SEC/2014 du 12/03/2014 au dernier paragraphe de la 2éme page ! L’ACAJ détient cette lettre en original.

Le 29/09/2014, pour faire plier le mouvement de grève des avocats et punir leur Bâtonnier, le Procureur Général a suscité une plainte contre ce dernier pour « imputations dommageables »  et engagé des poursuites pénales contre lui sous le RMP 3231/PG/LKO. Il entend l’arrêter pour ainsi le réduire au silence. Selon les témoignages recoupés par l’ACAJ la dame qui s’est plaint pour avoir été cité dans le mémorandum du Barreau et signé par le Bâtonnier est une connaissance du Procureur général.
« Au terme de l’article17 de la Constitution, la liberté individuelle est garantie. Elle est la règle, la détention l’exception. Nul ne peut être poursuivi, arrêté, détenu ou condamné qu’en vertu de la loi et dans les formes qu’elle prescrit, a rappelé Me Didier Kalemba, Chargé de protection à l’ACAJ ;
« Le Procureur Général de la République a l’obligation légale d’enquêter sur toutes les violations des droits de l’homme imputées au Procureur général de Kindu au risque de commettre l’infraction d’abstention coupable. Car les victimes d’abus des magistrats ont le droit d’être informées de la suite réservée à leurs plaintes faites contre les agents ou personnes agissant au nom de l’Etat», a-t-il ajouté. 
L’ACAJ condamne les abus commis par le Procureur Général de Kindu dont les poursuites qu’il vient d’engager contre le Bâtonnier du Barreau local dont. Elle demande au Procureur Général de la République d’ordonner l’abandon de ces poursuites qui visent à sanctionner l’exercice des libertés publiques par les avocats du Barreau de Kindu.
« Conformément à l’article 5 de la loi organique n° 06/020 du 10/10/2006, le magistrat devra respecter la Constitution et les lois de la République Démocratique du Congo et remplir loyalement et fidèlement ses fonctions », a déclaré Me Roger DINANGA, Chargé de Monitoring judiciaire et plaidoyer à l’ACAJ.
« Au terme de l’article 61 de la Constitution, en aucun cas, et même lorsque l’état de siège ou l’état d’urgence aura été proclamé conformément aux articles 85 et 86 de la Constitution, il ne peut être dérogé aux droits et principes fondamentaux dont l’interdiction de la torture et des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants et l’interdiction de l’emprisonnement pour dettes », a-t-il ajouté.
L’ACAJ reste saisie du dossier et entend accompagner les victimes jusqu’à ce qu’elles obtiennent des réparations conséquentes pour les préjudices subis.

mercredi 8 octobre 2014

Nedbank déploie la solution clés en main de Gemalto pour sécuriser la banque en ligne de ses clients entreprises



Johannesburg, Afrique du Sud, 8 octobre 2014 - Gemalto (Euronext NL 0000400653 GTO), leader mondial de la sécurité numérique, annonce que Nedbank Ltd, une grande banque commerciale d’Afrique du Sud, déploie sa solution de banque en ligne Ezio pour offrir à ses clients entreprises une sécurité et un confort d’utilisation sans équivalents pour leurs transactions en ligne. Gemalto fournit également à Nedbank ses services de conseil, la distribution des tokens aux utilisateurs finaux et réalise la gestion à distance de ces équipements pour le compte de Nedbank Ltd.
 Avec cette solution entièrement externalisée, les utilisateurs Nedbank connectent simplement une clé USB, qui ouvre  une « zone de sécurité » permettant d’approuver et signer numériquement tout type de transaction dans un environnement en ligne protégé.
La solution PKI « Corporate » de banque en ligne Ezio ne nécessite pas d’installation logicielle, ce qui élimine le recours au support technique souvent coûteux, tout en garantissant un haut niveau de satisfaction utilisateur. Il lui suffit de connecter la clé USB à son PC ou à son Mac pour que l’appareil lance une « zone de sécurité » permettant d’approuver et signer numériquement tous les types et tous les montants de transactions bancaires dans un environnement en ligne protégé. Ezio assure également l’intégrité de la session, et ceci même dans le cas ou la plateforme de connexion pourrait s’avérer vulnérable. La plateforme évolutive et multi-application peut être administrée à distance, permettant à la banque de mettre à jour les certificats et déployer de nouveaux services sans déployer d’équipements supplémentaires.
« Nous utilisons les solutions PKI de Gemalto depuis plus de dix ans,  et chaque nouveau déploiement est un franc succès, » indique Fred Swanepoel, directeur des systèmes d’information de Nedbank Ltd. « Dans le but d’offrir des solutions bancaires  de tout premier plan à nos clients entreprises, nous avons déployé la toute nouvelle solution PKI de Gemalto, lancée sous le nom de Plug and Transact TokenTM. Il s’agit pour nous de nous différencier de nos concurrents en proposant des solutions sécurisées toujours plus conviviales et qui permettent un meilleur suivi des informations ».
« Nedbank est toujours demandeur de nos solutions de banque en ligne, et chaque pilote aboutit à un déploiement à grande échelle », précise Håkan Nordfjell, Vice-President Senior en charge du e-Banking et e-Commerce chez Gemalto. « En externalisant l’ensemble de son système de gestion de tokens, Nedbank bénéficie d’une réduction de coûts significative en termes d’investissement initial et de frais de fonctionnement par rapport à une solution interne. »
La solution de Nedbank s’appuie sur la technologie Ezio de Gemalto, déjà mise en œuvre par plus de 200 institutions financières de par le monde et utilisée par plus de 100 millions de clients de services bancaires.       
À propos de Gemalto
Gemalto (Euronext NL0000400653 GTO) est le leader mondial de la sécurité numérique avec un chiffre d’affaires annuel 2013 de 2,4 Md€. Présent dans 44 pays, Gemalto emploie plus de 12 000 salariés travaillant depuis 85 bureaux et 25 centres de Recherche et Développement.
Nous nous développons au cœur du monde numérique en évolution rapide et constante. Des milliards de personnes à travers le monde revendiquent de plus en plus la liberté de communiquer, acheter, voyager, faire des transactions bancaires, se divertir et travailler – à tout moment et en tous lieux – de façon agréable et sûre. Gemalto répond à leurs demandes croissantes en matière de services mobiles personnels, paiement sécurisé, authentification des accès au « cloud », protection de l’identité et de la vie privée, services d’e-santé et d’e-gouvernement performants, billettique des transports urbains facile d’utilisation et applications M2M fiables. Nous développons des logiciels embarqués et des produits sécurisés que nous concevons et personnalisons. Nos plateformes logicielles et nos services gèrent ces produits, les données confidentielles qu’ils contiennent et les services sécurisés qu’ils rendent possibles pour les utilisateurs finaux.
Nos innovations permettent à nos clients d’offrir des services numériques de confiance et faciles d’utilisation à des milliards de consommateurs. Gemalto continue de croître avec le nombre grandissant de personnes qui utilisent ses solutions pour interagir dans le monde numérique et mobile.