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mercredi 27 août 2014

Carlos Araujo : Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, Membres de la presse, Bonjour et bienvenue à ce rendez-vous hebdomadaire



-       Activités des Composantes de la MONUSCO
-        Activités de l’Equipe-pays
-       Situation militaire
L’Envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour la région des Grands Lacs, Said Djinnit, effectue du 27 au 29 août une visite officielle en RDC. Sa visite rentre dans le cadre de sa première tournée qu’il a débuté dans la région des Grands Lacs, depuis le 20 août et qui va jusqu’au 15 septembre 2014.
A Kinshasa, Said Djinnit rencontrera les responsables de la MONUSCO, des agences du système des Nations Unies, certains membres du Gouvernement, du Corps diplomatique, de la CENI et de la société civile. Une rencontre est également prévue avec le Président de la République, Joseph Kabila.
Au terme de sa visite, l’Envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour la région des Grands Lacs animera une conférence de presse, ce vendredi 29 août, à 11 heures, au Quartier général de la MONUSCO à Kinshasa. Vous y êtes tous conviés.
Activités des Composantes de la MONUSCO
Droits de l’homme :
Dans le cadre de son mandat tel que défini par le Conseil de sécurité des Nations Unies, le Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme (BCNUDH) en République démocratique du Congo (RDC) assure une surveillance étroite de la situation des droits de l’homme à travers le territoire congolais et procède à des analyses des tendances relatives à cette situation dans ce pays.
Des informations sur ces tendances, qui sont régulièrement partagées avec les autorités congolaises afin qu’elles prennent les actions nécessaires en vue de traduire en justice les auteurs des violations des droits de l’homme documentées par le BCNUDH, sont présentées de manière mensuelle à la conférence de presse hebdomadaire des Nations Unies.
Principales tendances des violations des droits de l’homme au cours du mois de juillet 2014 :
Au cours du mois de juillet 2014, le BCNUDH a enregistré 171 violations des droits de l’homme sur le territoire de la RDC, ce qui représente une baisse par rapport au mois de juin 2014 (228 violations). En général, le nombre de victimes qui ont résulté de ces violations a connu une baisse considérable au cours du mois de juillet 2014, passant de 619 victimes à 394, soit une baisse de 36 %.
A l’instar des mois précédents, les provinces les plus touchées restent les provinces de l’Est de la RDC, à savoir les provinces du Nord-Kivu (76 violations), Orientale (35 violations) et du Sud-Kivu (16 violations).
Toutefois, ces trois provinces ont connu une diminution du nombre de violations des droits de l’homme par rapport au mois de juin 2014. En ce qui concerne les provinces de l’Ouest du pays, le BCNUDH a enregistré une légère diminution du nombre de violations des droits de l’homme par rapport au mois de juin 2014, passant de 48 à 44 violations.
Au cours du mois de juillet 2014, le BCNUDH et la Section de protection de l’Enfant de la MONUSCO ont documenté 96 enfants victimes du conflit Les agents de l’Etat appartenant à divers organismes de défense et de sécurité auraient été responsables d’environ 65% du nombre total des violations des droits de l’homme enregistrées par le BCNUDH en juillet 2014. Ce chiffre a toutefois connu une diminution par rapport au mois de juin 2014, passant de 130 à 111 violations. Cependant, le nombre de victimes de violations des droits de l’homme enregistré au mois de juillet 2014 a connu une légère augmentation par rapport au mois de juin 2014, passant de 230 à 245 victimes. En particulier, les militaires des FARDC auraient été responsables de 35 % du nombre total de violations des droits de l’homme, alors que les agents de la PNC auraient été responsables de 27 % du nombre total de violations des droits de l’homme documentées par le BCNUDH. Les militaires des FARDC et les agents de la PNC restent aussi les principaux auteurs de violences sexuelles.
En ce qui concerne les combattants des groupes armés, ils seraient responsables de 60 violations, soit 35 % du nombre total de violations des droits de l’homme enregistrées au mois de juillet 2014 par le BCNUDH, ce qui représente une légère diminution par rapport au mois précédent (98 violations).
En juillet 2014, le BCNUDH a relevé cinq cas d’atteintes aux droits de cinq défenseurs des droits de l’homme et de quatre opposants politiques dans le pays, ce qui représente une diminution par rapport au mois de juin 2014 qui avait totalisé sept cas d’atteintes aux droits de sept défenseurs des droits de l’homme, de trois journalistes et de 21 opposants politiques.
Appui à l’Administration Pénitentiaire :
A Kabare, dans la province du Sud-Kivu, la Section d’Appui à l’Administration pénitentiaires a accompagné le directeur de prison et les administrateurs locaux pour la visite d’un terrain appartenant à la prison, mais qui a été occupé par des personnes non autorisées.
La Section a conseillé le directeur de prison et les administrateurs de démarquer et de délimiter le terrain en vue de prévenir des incidents similaires à l’avenir.
La Section d’Appui à l’Administration a mené des activités destinées à renforcer la sécurité dans les prisons afin de prévenir les évasions. Dans la prison de Goma, une fouille spéciale a été menée avec la participation de la Section d’Appui à l’Administration pénitentiaire, de la Police des Nations Unies, des FARDC, de la PNC et de la Garde républicaine.
Plusieurs objets ont été saisis parmi lesquels des barres de fer, un hache, des poids de musculation, des paires d’uniforme militaire, trois appareils de téléphone mobile, une camera numérique et une paire de menottes en plastic.
A Bukavu, le projet de fabrication de blocs visant à générer des revenus et à permettre aux prisonniers d’acquérir des compétences pour leur réadaptation, avance bien.
Le projet a réalisé la vente de 160 blocs pour une valeur de 360 dollars américains.
Protection de l’Enfant :
Au cours de cette semaine, la Section Protection de l'Enfant a documenté 17 enfants qui ont été victimes directes des conflits liés à la violence. Huit garçons se sont échappé des groupes armés, 3 filles violées, 3 garçons enlevés et 3 garçons associés à des groupes armés qui avaient été détenus par les FARDC.
L’échappement/ abandon d’enfants et d’adultes du groupe armé ADF est toujours en cours. L'effort conjoint des FARDC et la MONUSCO, dans le cadre de l'opération «Sauvetage» qui a commencé le 15 août pour protéger les dépendants des combattants ADF - en particulier les femmes et les enfants - a conduit à l'évacuation par les FARDC et la MONUSCO d'une mère et ses deux enfants, ainsi que quatre autres enfants, du parc de Virunga à Beni. Ils étaient sévèrement malnutris et l'état de deux d'entre eux reste critique; ils sont tous à l'hôpital de Beni, où ils reçoivent un traitement médical.
Depuis le 1er août 2014, un total de 27 personnes ont été sauvées (six femmes, 20 enfants et un jeune homme). Sur les 20 enfants, 12 étaient des dépendants et 8 utilisés par l’ADF, comme combattants. Une situation similaire s’est produit dans le Nord-Kivu, où la pression résultant des opérations militaires conjointes contre Cheka, a poussé le groupe à s'échapper en profondeur dans la brousse où des problèmes de ration sont devenus un grand défi. Par conséquent, les combattants et dépendants de Cheka sont abandonnés, ou profitent de la situation pour s'échapper, et ils se cachent actuellement dans la région précédemment occupée par Cheka.
Déjà 30 enfants sur 100 estimés être parmi les rangs du groupe armé ont besoin de protection, des mesures seront prises par la MONUSCO pour résoudre le problème et secourir les personnes vulnérables.
Le 22 août, le Représentant spécial adjoint du Secrétaire général a tenu une réunion avec le conseiller présidentiel sur les violences sexuelles et le recrutement d'enfants, Mme Jeanine Mabunda Lioko.
Elle a effectué une mission au Nord-Kivu, dans le but de rencontrer des acteurs et d'évaluer les progrès et les difficultés dans la lutte contre les violations, ainsi que l'analyse des mécanismes de réponse. La MONUSCO fournira au conseiller spécial tout le soutien pour accélérer le développement d'un plan d'action visant à prévenir et arrêter les violences sexuelles et traiter les questions de lutte contre l'impunité.
Police de la MONUSCO :
La Police de la MONUSCO a procédé, pendant la semaine qui vient de s’achever, à la sensibilisation massive des femmes du Sous-secteur de Mahagi au dépistage volontaire du VIH.
Au total, 180 femmes ont été sensibilisées, entrainant une hausse de taux de dépistage volontaire à 29 contre 9 la semaine précédente. Eu égard à cette adhésion encourageante, UNPOL continuera à oeuvrer pour que la population puisse prendre conscience de ce mal.
Toujours pendant la semaine écoulée, et face à l’ampleur des violences sexuelles enregistrés à l’Est de la RDC depuis le premier semestre de l’année 2014, la Police de la MONUSCO a organisé une séance de renforcement des capacités des 24 membres du personnel féminin du camp Rudia II des FARDC à Dungu, sur les thèmes : les causes et conséquences des violences sexuelles en RDC et les bases légales de la lutte contre les violences sexuelles en RDC.
Activités de l’Equipe-pays
Développement
UNICEF :
Après le Bas-Congo, le Bandundu et Kinshasa, les provinces du Kasaï Oriental et Kasaï Occidental bénéficient à leur tour des matériels et équipements remis par l’UNICEF au Projet d’Equipement des Structures Sanitaires (PESS).
C’est la Représentante adjointe de l’UNICEF, en République Démocratique du Congo, en personne, Mme Sylvie Fouet qui a procédé le 23 août dernier, à la remise officielle des matériels et équipements médico-sanitaires, ambulances et médicaments au Ministre de la Santé publique de la République démocratique du Congo, le Dr Félix Kabange Numbi, dans le cadre du Projet d’Equipement des Structures Sanitaires (PESS).
Ces matériels et équipements acquis dans le cadre des phases 1 et 2 du programme PESS, dont le coût global s’élève à 40 milliards de Francs congolais, ont été achetés grâce aux fonds propres du gouvernement de la RDC, via la centrale d’achat de l’UNICEF à Copenhague (Danemark). Toutes les 11 provinces de la RDC bénéficieront de ces matériels et équipements.
Les matériels réceptionnés par le gouvernement répondent aux standards de qualité de l’OMS et constituent des avancées appréciables dans le cadre de la « Promesse renouvelée », un engagement du gouvernement de la RDC visant à sauver 430.000 vies d’enfants de 0 à 5 ans et 7.900 vies de mères d’ici fin 2015.
M. Alphonse Ngoy Kasanji et M. Alex Kande Mupompa, respectivement gouverneurs du Kasaï Oriental et du Kasaï Occidental, se sont réjouis de la remise officielle des équipements acquis par le gouvernement central pour la population des deux Kasaï. Ils ont également salué les efforts de tous les partenaires qui se sont impliqués dans ces réalisations.
Pour de plus amples informations, le communiqué intégral de l’UNICEF vous sera distribué à la fin de la conférence de presse.
UNESCO :
Dans le cadre du Projet « Renforcer les radios locales par les Technologies de l’Information et de la Communication », l’UNESCO annonce la tenue le mois prochain d’un atelier sur le renforcement des capacités de production des émissions radiophoniques relatives aux thèmes de l’agriculture et de la santé.
Cet atelier destiné aux radios participantes au projet se tiendra simultanément à Kenge, Kasumbalesa, Kimpese et Muanda et sera élargi à d’autres radios locales environnantes. Il vise à renforcer les compétences des radios communautaires en matière d'investigation, de collecte d’informations, de gestion des sources officielles et officieuses, d'identification des parties prenantes, d'analyse de documents et d'archives publiques locales, dans la production des émissions liées aux thèmes de l’agriculture et de la santé.
Pour rappel, ce projet est financé par l’agence suédoise d’aide au développement International concerne 4 radios en RDC dans sa première phase 2012-2014 et pourra s’étendre à d’autres radios dans la phase 2015-2017.
Situation militaire
L’environnement sécuritaire dans les provinces situées à l’Ouest de la République Démocratique du Congo, a été jugé relativement calme durant la semaine écoulée.
En Province Orientale, les Forces onusienne et congolaise poursuivent avec détermination la conduite de leurs opérations conjointes dénommées « Rudia II » (Retour II), « Chuma Ngumi » (Poing d’acier) et « Bienvenue à la Paix », particulièrement dans certaines localités situées dans les districts de Haut et de Bas-Uélé, notamment Nakwa ; afin d’y neutraliser les éléments résiduels de l’Armée de Résistance du Seigneur, auteurs d’exactions contre les civils.
En effet, 8 éléments armés supposés appartenir à la LRA ont pillé des denrées alimentaires dans les localités de Nakwa et Gabanguta (situées respectivement à environ 6 et 7 kilomètres à l’Ouest de Ngilima et aux confins des territoires de Dungu et de Niangara), kidnappé 4 individus, avant de se retirer en direction de Bangalu, où ils ont libéré leurs victimes.
Egalement, 2 individus ont été tués et un 1 autre grièvement blessé, suite aux attaques lancées par des rebelles supposés appartenir à la LRA dans la localité de Hubu, située dans la région de Niangara. D’autres incidents impliquant les rebelles de la LRA ont été rapportés dans les localités de Digba (environ 45 kilomètres au Nord d’Ango), Madeke (12 kilomètres au Nord-ouest de Niangara, sur l’axe Kpanga-Niangara) et Pasi (situé au Nord de Banda), où 7 individus ont été kidnappés et des biens de valeur pillés.
Les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) surveillent de près le mouvement des éléments de la LRA localisés dans la jungle située entre Bili (approximativement 120 kilomètres à l’Ouest d’Ango, en territoire de Bondo) et Ango, afin de les traquer et les neutraliser.
C’est ainsi que, le 22 août 2014, les troupes de l’armée congolaise basées à 6 kilomètres au Nord-ouest de Digba, ont attaqué des éléments supposés appartenir à la LRA et libéré 1 homme.
Par ailleurs, suite aux multiples kidnappings perpétrés récemment par les éléments de la LRA à Nambia (9 kilomètres au Nord de Niangara) et dans d’autres localités situées dans les deux districts susmentionnés, les Casques bleus des Forces Spéciales Guatémaltèques de la Force de la MONUSCO ont initié dans le cadre de l’opération conjointe « Chuma Ngumi » (Poing d’acier), des patrouilles de longue portée, motorisées et aériennes, à Faradje, sur l’axe Dungu-Kpaika-Nambia-Dungu et au-dessus des régions de Kpele, Bandagi et Kpaika.
Le but était d’évaluer la situation sécuritaire, de dominer le terrain, d’interdire les activités négatives de groupes armés, rassurer et protéger les populations civiles.
Les éléments des Forces Spéciales Guatémaltèques de la Force de la MONUSCO, mènent aussi conjointement avec les FARDC, des patrouilles motorisées robustes dans la région de Faradje, dans le but de renforcer les mesures sécuritaires et d’interagir avec les populations civiles.
En outre, le bataillon Marocain de la Force de la MONUSCO a déployé jusqu’à la fin de travaux, un poste opérationnel dans la région du pont Yamba, dans le but d’assurer l’escorte et la protection des Casques bleus de la compagnie du génie Indonésien de la Force onusienne, engagés dans la réhabilitation du pont susmentionné.
Dans le district d’Ituri, l’armée congolaise, soutenue par la Force de la MONUSCO, poursuit son offensive contre les miliciens du Front de Résistance Patriotique de l’Ituri (FRPI), auteurs de nouvelles atrocités et violations des Droits de l’Homme contre les populations civiles vivant dans la collectivité de Walendu Bindi, au Sud du territoire d’Irumu.
En effet, selon des sources concordantes, du 18 au 21 août 2014, les miliciens du FRPI ont attaqué les localités d’Avezu (10 kilomètres au Sud-ouest de Geti), de Mbise (approximativement 11 kilomètres au Sud de Geti), Kirimbi (approximativement 40 kilomètres au Sud de Bukiringi), Kazana (approximativement 18 kilomètres au Sud-est de Geti), tué 1 individu, kidnappé 10 autres, violé sept 7 femmes (dont 2 mineures), amputé 1 autre et pillé des biens de valeur.
La Force de la MONUSCO, en coordination avec l’armée gouvernementale, mène des patrouilles intensives de domination de terrain dans les zones touchées, dans le but d’interdire de nouvelles exactions contre les populations civiles, neutraliser les assaillants, rassurer et protéger les populations locales.
Par ailleurs, dans le but d’interdire toute incursion des rebelles de l’Alliance des Forces Démocratiques (ADF) au Sud d’Ituri et leur alliance avec les miliciens du FRPI, les Casques bleus de la Force onusienne déployés à Tshabi et Idohu dans le cadre de l’opération conjointe dénommée « Iron Shield » (Bouclier de fer), continuent de mener dans le secteur des patrouilles intensives de domination de terrain.
A cet effet, le 23 août 2014, les soldats de la paix basés à Tshabi ont mené des patrouilles motorisées de domination de terrain au marché de Tshabi, situé à 2 kilomètres au Sud-ouest de Tshabi-centre), dans le but de surveiller dans la zone tout mouvement de rebelles de l’ADF, interagir avec les notables ainsi que les populations locales, dissuader toute attaque de groupes armés, rassurer et protéger les populations civiles.
Les Casques bleus du 1er bataillon Bangladais de la Force de la MONUSCO déployés à Mambasa ont aussi mené des patrouilles motorisées de longue portée dans cette localité et les régions périphériques (situées à 8 kilomètres au Nord-est de Mambasa-centre), dans le but de dominer le terrain, de collecter les informations sur le mouvement d’éléments Mayi-Mayi de Paul Sadala, alias ‘’Morgan’’, d’y interdire toute exaction contre les populations civiles et d’assurer également leur protection.
Suite à la récurrence d’activités négatives perpétrées par les miliciens du FRPI au Sud du territoire d’Irumu, d’autres patrouilles robustes de longue portée ont été menées par les différentes bases onusiennes déployées dans cette partie du district d’Ituri, notamment à Bogoro, Bukiringi, Aveba et Marabo, dans le but de mettre un terme aux exactions, dominer le terrain, collecter les informations sur les groupes armés, rassurer et protéger les populations civiles.
Un soutien adéquat est également fourni aux troupes de l’armée congolaise déployées dans les territoires de Mahagi et d’Aru, par les Casques bleus de la Force de la MONUSCO engagés dans les opérations conjointes dénommées « Iron Stone » (Pierre d’acier), « Eagle claw » (les serres de l’aigle) et « Tiger Punch » (Coup de patte du Tigre).
Elles ont été initiées respectivement le 21 octobre 2013, le 23 décembre 2013 ainsi que le 30 avril 2012, afin d’éradiquer la présence de groupes armés dans les territoires cités supra.
A cet effet, les Casques bleus déployés au poste opérationnel de Mahagi ont mené des patrouilles motorisées de domination de terrain à Mahagi-centre et dans les zones environnantes (approximativement 15 kilomètres au Sud de Mahagi), afin d’y surveiller tout mouvement de groupes armés, d’interdire leur déploiement, de dominer le terrain, de rassurer et de protéger les populations locales.
Dans le cadre de l’opération conjointe dénommée « Tiger Punch » (Coup de patte du Tigre), les soldats de la paix déployés au poste opérationnel d’Aru ont également mené de jour comme de nuit des patrouilles motorisées dans les régions de Rodo et de Panduru, dans le but de dominer le terrain, de dissuader les activités de forces négatives et les conflits fonciers, mais également, interdire le recrutement forcé de jeunes gens, rassurer et protéger les populations civiles.
A Bunia, les militaires du 2ème bataillon Bangladais de la Force de la MONUSCO ont mené de jour comme de nuit d’autres patrouilles motorisées robustes dans les zones environnantes et à l’aéroport, dans le but d’évaluer la situation sécuritaire, contrôler le terrain, rassurer et protéger les populations locales riveraines, ainsi que les installations des Nations Unies.
Le poste opérationnel de la Force de la MONUSCO déployé à Isiro a également mené des patrouilles nocturnes dans le village Matari, afin d’évaluer la situation sécuritaire, surveiller tout mouvement et regroupement de groupes armés, dominer le terrain, interagir avec les autorités ainsi que les populations locales et assurer aussi leur protection.
Au Nord-Kivu, le climat sécuritaire jugé globalement calme, demeure toutefois imprévisible.
Dans le territoire de Beni, dans le cadre de l’opération « Sukola 1 », la Force de la MONUSCO continue de fournir le soutien nécessaire aux troupes de l’armée congolaise, engagées dans les opérations de bouclage et de ratissage contre les éléments résiduels de l’Alliance des Forces Démocratiques (ADF).
C’est ainsi que le 20 août 2014, les sources de l’armée congolaise ont rapporté l’arrestation de 5 rebelles de l’ADF par les troupes gouvernementales, au cours d’opérations menées dans une cachette de l’ADF, située dans le voisinage du village Milongo (approximativement 7 kilomètres de Kokola et 9 kilomètres d’Erengeti). Aussi, dans le cadre de l’Opération « Sukola Sauvetage », la MONUSCO a déployé un poste médical à Similiki, pour venir en aide aux dépendants et otages abandonnés par les rebelles de l’ADF dans leur retraite.
Dans le territoire de Masisi, le 22 août 2014, les troupes de l’armée congolaise basées à Nyabiondo et à Lukweti ont mené des opérations contre les éléments de l’Alliance des Patriotes pour un Congo Libre et Souverain (APCLS) dans la région de Matembe, située à 16 kilomètres au Nord-ouest de Nyabiondo, et appréhendé 1 milicien.
Des opérations ont également été lancées par les troupes gouvernementales contre les positions de différentes factions Mayi-Mayi (Rahiya Mutomboki Isea, Rahiya Mutomboki Ntoto, la Force de Défense Congolaise (FDC) et ‘’MAC’’), actives sur l’axe Ngora-Iseya-Ntoto ainsi que dans les localités de Ntoto, Mwima et Langira ; dans le but de les neutraliser et de restaurer l’autorité de l’Etat Congolais dans cette partie du pays.
Dans le territoire de Lubero, dans la nuit du 23 août 2014, 2 motocyclistes et 1 autre individu ont été tués par 3 éléments armés non identifiés à Lubero-centre. Cet incident a provoqué une manifestation de colère d’environ 600 motocyclistes devant la mairie de Lubero.
Informé, le poste opérationnel de la Force de la MONUSCO basé dans la région a immédiatement déployé une patrouille d’intervention rapide sur le terrain, dans le but de stabiliser la situation, dissuader de nouvelles attaques contre les populations locales, sécuriser le Bureau et les biens de la MONUSCO, rassurer et protéger les populations civiles.
A Goma, le 23 août 2014 dans la soirée, des éléments armés non identifiés ont tué 1 motocycliste et 2 membres de sa famille dans le quartier Majengo. Ils ont ensuite incendié la maison familiale. Cet incident a provoqué le 25 août 2014, des manifestations organisées par les motocyclistes opérant dans la ville de Goma, pour protester contre l’insécurité prévalant dans la ville.
La situation sécuritaire est cependant revenue sous le contrôle de la Police Nationale Congolaise (PNC) dans cette agglomération urbaine. Pendant la même période, des Casques bleus de la Force de la MONUSCO déployés rapidement à Kiwanja centre, y ont fait avorter une tentative de pillage par des éléments armés non identifiés, et récupéré 1 arme AK-47 abandonnée par les assaillants dans leur fuite.
Les 22 et 24 août 2014, les Casques bleus de la Force de la MONUSCO déployés aux postes opérationnels de Tchengerero et de Katale, ont au cours de leurs patrouilles menées dans la région de Runyoni et de Katagara, découvert 2 caches d’armes renfermant les armes et les munitions suivantes : 3 canons AA, 1 canon d’artillerie, 1 piston MMG, 1 lance-roquettes, 2 mitrailleuses de 12,7 mm, 11 armes AK-47, 4 armes AK-56, 5 caisses de munitions AK de 7, 62 mm et 93 cartouches AK de 7,62 mm.
En outre, la Brigade du Nord-Kivu de la Force de la MONUSCO poursuit avec détermination, la conduite de ses différentes opérations unilatérales dénommées« Goma Usalama » (La paix à Goma), « Seema Suraksha » (Surveillance des régions frontalières), « Amani Kisiwa », « Rutshuru Amani » (La paix à Rutshuru), « Lushali », « Blue gaze » (Regard bleu), « Amani Mbau » (La paix à Mbau), « Usalama Pinga » (La paix à Pinga), « Chaukas », « Wide awake » (Réveil total), « Iron wall » (Mur de fer), « Silver bullet » (Balle d’argent), « Silent gun » (Arme silencieuse), « Blue shield » (Bouclier bleu), « Blue helmet » (Casque bleu), « Velvet fist » (Poing en velours) et « Vigil » (Surveillance).
Elles sont menées dans le but de dominer le terrain, consolider les acquis de la débâcle de la rébellion du M23, interdire les activités des forces négatives. Elles visent également à surveiller les frontières congolaises, collecter des informations sur les Forces Démocratiques de Libération du Rwanda (FDLR) et les différents groupes Mayi-Mayi, mais également rassurer et protéger les populations civiles.
Les soldats de la paix de la Force de la MONUSCO engagés dans ces opérations mènent des patrouilles aériennes, motorisées et à pied, de jour comme de nuit ; et ce, dans les quartiers de la ville de Goma, les territoires de Nyiragongo, Rutshuru, Masisi et Walikale. Dans le cadre du soutien à l’opération « Sukola 1 » menée par l’armée congolaise dans le territoire de Beni,
les Casques bleus de la Force de la MONUSCO déployés au poste opérationnel de Lubero ont mené des patrouilles intensives de domination de terrain à Lubero et dans les régions environnantes (6 kilomètres autour de Lubero), dans le but d’interdire toute activité négative des éléments des groupes armés, y compris l’ADF, et de protéger les populations civiles.
Les soldats de la paix des bataillons Malawite, Tanzanien et Sud-africain de la Brigade d’Intervention de la Force onusienne, continuent d’accomplir au quotidien leurs tâches de neutralisation des groupes armés sévissant à l’Est du pays et de la protection des populations civiles, et ce ; par la conduite des opérations unilatérales ou conjointes avec l’armée gouvernementale, ainsi que par des patrouilles robustes de domination de terrain dans leurs zones de responsabilité.
Des troupes de réaction rapide de la Brigade d’Intervention de la Force onusienne basées à Erengeti Mutwanga et Ishasha, ont à cet effet mené dans ce cadre des patrouilles de longue portée sur l’axe Erengeti-Beni (54 kilomètres au Sud d’Erengeti), Mutwanga-Kyalema (28 kilomètres au Nord-ouest de Mutwanga), et à Kiwanja. Le but était de collecter les informations sur les groupes armés, y compris l’ADF, évaluer la situation sécuritaire, interagir avec les populations locales, les rassurer et assurer également leur protection.
La Force onusienne continue d’assurer la sécurité et de fournir l’appui logistique nécessaire au camp de Désarmement, Démobilisation, Rapatriement, Réinsertion et Réintégration (DDRRR) de Kanyabayonga, où des ex-rebelles des FDLR ayant récemment fait reddition avec les membres de leurs familles, ont été hébergés. Du 19 août 2014 à ce jour, 10 éléments en provenance de différents groupes armés, se sont rendus aux troupes onusiennes, congolaises et aux bureaux DDRRR déployés dans la province, notamment àNyanzale, Omate, Walikale, Nyamilima, Pinga, Sake et Luofu. Il s’agit de 6 des Forces Démocratiques de Libération du Rwanda (FDLR) [avec 1 arme AK-47], 3 du groupe Mayi-Mayi Cheka-Nduma Défense du Congo (NDC) et un (01) du groupe Mayi-Mayi Force de Défense Congolaise (FDC).
Au Sud-Kivu, l’environnement sécuritaire demeure sous le contrôle des Forces onusienne et congolaise. Il a été marqué par les opérations menées avec succès par l’armée gouvernementale contre les groupes armés et les différentes factions Mayi-Mayi, opérant dans cette province. En effet, les troupes des FARDC ont pendant la période sous examen, lancé des opérations contre les groupes armés et les éléments Mayi-Mayi, auteurs de nombreuses exactions contre les populations civiles à Lubichako (25 kilomètres au Sud-est de Lulimba), Kitutu (90 kilomètres au Sud-ouest de Mwenga), et appréhendé 4 insurgés.
Ainsi, à l’issue de violents combats ayant duré plusieurs jours, l’armée congolaise a également repris le contrôle de la localité de Penekusu, située à 120 kilomètres au Sud de Shabunda, où elle a délogé les éléments Mayi-Mayi Rahiya Mutomboki, appartenant aux factions ‘’Alexandre’’ et ‘’Charlequin’’.
Par ailleurs, les Casques bleus déployés dans cette partie du pays ont poursuivi avec vigueur la conduite de leurs 8 opérations, dont 7 unilatérales et 1 conjointe avec l’armée gouvernementale, dénommées « Kimbilio Salama III » (Safe refuge III, Refuge sûr III), « Safeguard III » (Protection III), « Mkesha II », « Outreach » (Longue portée), « Amani ya kudumu II » (La paix durable II), « Safe water III » (Eaux sûres III), « Safari majini » (Navigation sûre), et « South sailboard » (Navigation vers le Sud) ; menées dans le but de combler le vide sécuritaire créé par le redéploiement des unités des FARDC au Nord-Kivu et également protéger les populations civiles.
La Force de la MONUSCO continue également d’assurer la sécurité et de fournir l’appui logistique nécessaire au camp DDRRR de Walungu, où des ex-rebelles des FDLR ayant récemment fait reddition avec les membres de leurs familles, ont été hébergés. Des mesures sécuritaires adéquates ont été prises par la Force onusienne pour les sécuriser. Une assistance médicale est régulièrement fournie à ces ex-rebelles, ainsi qu’aux membres de leurs familles.
D’autre part, les différentes bases de la Force de la MONUSCO déployées dans cette province, maintiennent la pression sur les groupes armés et assurent la protection des populations civiles, par la conduite de patrouilles intensives conjointes dans cette partie du pays.
Dans ce cadre, le 24 août 2014, le poste opérationnel de Kamanyola a mené des patrouilles robustes de domination de terrain à Lemera (22 kilomètres au Sud de Kamanyola), dans le but d’évaluer la situation sécuritaire, interdire les activités négatives de groupes armés, interagir avec les populations locales et les protéger. Le climat sécuritaire au Katanga quoique calme, a été marqué par les opérations de l’armée congolaise contre les groupes armés actifs dans cette province.
En effet, le 20 août 2014, les troupes de la Force Navale des FARDC ont repris le contrôle de toutes les positions situées le long de la frange côtière du lac Tanganyika, au Nord de Kalemie, occupées depuis le mois de juillet 2014 par les éléments affiliés au groupe Mayi-Mayi Yakutumba. Il s’agit notamment de la localité du ‘’Sixième-Escale’’, de Mukwala (130 kilomètres au Nord-est de Kalemie) et de Mapaypay (119 kilomètres au Nord-est de Kalemie).
Les troupes gouvernementales ont délogé de ces localités les insurgés Mayi-Mayi Yakutumba qui se sont repliés au Sud-Kivu.
Par ailleurs, le 21 août 2014, 1 femme Mayi-Mayi Bakata-Katanga a été appréhendée et plusieurs autres éléments de ce groupe armé, aux ordres du ‘’commandant’’ Nkala, blessés ; au cours d’accrochages avec les FARDC au village Kabala, situé à 187 kilomètres au Sud-est de Manono.
Dans le Secteur 2, la situation sécuritaire a été jugée relativement calme durant la semaine écoulée. Enfin, la Force de la MONUSCO a mené 1932 patrouilles armées, dont 537 nocturnes, et fourni 52 escortes pendant la période sous examen.

Afriwise lance le premier cabinet de conseil en son genre en Afrique



Afriwise consult donne accès à l'expertise locale en Afrique
Johannesburg, Afrique du Sud, 26 août 2014 - Deux juristes bien connus sur la scène africaine, Steven De Backer et Olivier Binyingo, ont  récemment lancé le cabinet Afriwise consult pour offrir une approche de consulting holistique et l'accès à une véritable expertise sur terrain en Afrique sub-saharienne, avec des procédures assurant la qualité et une forte culture sous-jacente de l'éthique. Après avoir travaillé ensembles pendant un bon nombre d'années, à la fois en tant que conseils locaux et régionaux sur le continent africain, ils ont identifié le besoin d’un nouveau type de cabinet de conseil. 
 Afriwise lance un modèle de consulting révolutionnaire pour l'Afrique, conçu pour assister ses clients avec des conseils qui sont véritablement adaptés aux situations et aux environnements locaux des pays africains, et ce grâce à une collaboration entre les meilleurs experts de l’Afrique.  Afriwise consult offre un point de contact unique pour les organisations privées et publiques qui ont besoin de conseils juridiques, fiscaux, transactionnels, en matière de risque ou en matière de gestion en Afrique sub-saharienne, et fait équipe avec des professionnels locaux pertinents pour offrir des solutions viables.
La croissance rapide de l'Afrique a capté l'attention du monde entier, déclenchant ainsi un intérêt des affaires et d'investissement sans précédent. L’Afrique sub-saharienne est désormais perçue comme offrant l'une des plus grandes opportunités dans le monde pour l'expansion des entreprises. En même temps, tous les pays n’évoluent pas à la même vitesse et l'Afrique reste un continent pluriel et complexe, avec des défis et obstacles qui diffèrent d’un pays à l’autre.
Afriwise consult aide ses clients à naviguer dans des environnements juridiques, réglementaires, fiscaux et socio-économiques de plus en plus complexes en Afrique sub-saharienne. Pour ce faire, elle a constitué une équipe centrale de consultants focalisés sur l’Afrique sub-saharienne aux compétences diverses et ayant une expertise pour un large éventail d'industries. L'équipe comprend des juristes d'affaires, des conseillers fiscaux, des conseillers en matière de risque et en matière de gestion.
“Les solutions conventionnelles ne fonctionnent pas toujours dans les marchés africains”, explique Olivier Binyingo. “Une certaine flexibilité et créativité sont nécessaires lorsqu’il s’agit de relever des défis propres à chaque pays, ce qui plaide pour une approche interdisciplinaire. Avec Afriwise, nous essayons de nous libérer du cloisonnement. Prendre en compte, dès le départ, plusieurs angles d’un projet ou d’une opération, de manière intégrée, fait gagner du temps et réduit les coûts pour les clients”.
En plus de sa propre équipe de consultants, Afriwise a créé la communauté Afriwise, qui réunit en son sein les meilleurs professionnels en Afrique sub-saharienne ayant des connaissances et compétences diverses. L'identification et la sélection minutieuse de ces experts et conseillers, ainsi que leur intégration dans la communauté Afriwise est vraiment au cœur de la proposition de valeur d’Afriwise. La communauté Afriwise permet au cabinet de composer des équipes taillées sur mesure pour chacun des projets et opérations de ses clients, et d’y intégrer les compétences et l'expertise requises, les connaissances sur terrain ainsi qu’une affinité socio-culturelle et linguistique pertinente.
Comme l'explique Steven De Backer, l'idée d’un modèle de consulting collaboratif pour l'Afrique, a été développé graduellement par les deux fondateurs: “L'Afrique n'est pas un pays mais un continent, foyer de 54 pays très différents. Les clients se rendent de plus en plus compte que la compréhension des coutumes et des sensibilités locales et l’accès à une expertise sur terrain des marchés dans lesquels ils opèrent sont essentiels. Plusieurs cabinets de conseil adoptent de différents modèles pour essayer de répondre à ce besoin – allant de l’établissement de bureaux dans des pays clés à la constitution d’alliances et des réseaux avec des cabinets locaux - mais nous ne croyons pas que ces stratégies leur permettront de toujours inclure les experts locaux appropriés pour les dossiers de leurs clients. Ces modèles traditionnels sont trop rigoureux pour les marchés africains; ce que l’on recherche, c'est la flexibilité et la capacité de travailler en partenariat avec la bonne personne pour chaque tâche.
Nous avons été confrontés à ce défi tout au long de nos carrières respectives et nous avons longuement réfléchi sur le modèle le plus approprié pour conseiller nos clients convenablement, ce qui nous conduit finalement au concept de la communauté Afriwise”. “Nous avons l'intention de bousculer le modèle de consulting traditionnel”, ajoute Binyingo. “Nous augmentons considérablement l'accès à l'expertise locale pour les clients actifs en Afrique sub-saharienne, et ce de façon abordable et intégrée”. 
Les services offerts par Afriwise consult comprennent des conseils juridiques et fiscaux, des conseils transactionnels, des conseils en matière de risque, de gestion et de gouvernance d’entreprise, ainsi que des services spécialisés tels que des conseils stratégiques autour de l'accès au marché, la structuration PPP, le dialogue avec les parties prenantes et l'aide à la mise en place de partenariats et d’alliances locaux.
Le nom Afriwise est un jeu de mots sur ‘streetwise’. Être ‘afriwise’ signifie avoir l'expérience, les compétences et les connaissances, mais également l'ingéniosité et les ressources nécessaires pour réussir en Afrique. Afriwise est aussi basé sur des valeurs fondamentales telles que l'intégrité et la durabilité. “Nous aidons nos clients à concevoir et à mettre en œuvre des projets qui génèrent de la valeur pour toutes les parties concernées, nous respectons nos principes d’éthique et faisons preuve d’une capacité d'innovation et de créativité”, note De Backer. “Nous encourageons tout le monde avec une vraie passion pour le continent africain à utiliser le hashtag #afriwise sur les réseaux sociaux pour promouvoir des solutions et des concepts qui sont ‘afriwise’ ”.
À propos d’Afriwise consult
Afriwise consult est un cabinet de conseil pluridisciplinaire focalisé sur l’Afrique sub-saharienne, offrant des services de consulting aux entreprises, aux gouvernements, aux promoteurs de projets et à tout entrepreneur et organisme de développement. La proposition de valeur d’Afriwise allie une profonde connaissance de la dynamique des marchés locaux en Afrique, avec un état d'esprit pratique et orienté vers des solutions ainsi qu’une forte culture sous-jacente de l'éthique. Pour ce faire, Afriwise consult a engagé un certain nombre de professionnels chevronnés qui combinent des expertises juridiques, fiscales, d’analyse de risque et de gestion d’entreprise en Afrique  et qui s'associent avec les meilleurs professionnels d'Afrique sub-saharienne quand ils travaillent pour des clients. Ces professionnels locaux sont généralement membres de la communauté Afriwise, une communauté unique d'experts partageant les mêmes idées, qui ont des accords formalisés et qui collaborent avec  Afriwise consult. L’équipe de gestion d’Afriwise consult est basée dans les bureaux d’Afriwise Consult (PTY) Limited à Johannesbourg, Afrique du Sud.