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dimanche 2 mars 2014

Rapport de l'Ong Human Rescue-Drc : Eléments Témoins de l’insécurité, de Tracasserie et Criminalité Progressive dans la ville



I Préambule IL ne se passe pas quelques jours sans que la population de la ville de Kisangani et ses environs puisse enregistrer un cas de criminalité conduisant cette dernière à la désolation, les causes et origines en sont multiples dans le vécu quotidien. L’Organisation non Gouvernementale de Promotion, de Protection et de Défense de Droits Humains de la République Démocratique du Congo dénommée HUMAN RESCUE/DRC, une organisation ayant une personnalité juridique du Ministère de la Justice et Garde de Sceaux N° 0460 autorisant son fonctionnement sur l’ensemble du territoire national, reste toujours préoccupée de la situation de la ville de Kisangani est ses environs. Nous référant à nos stratégies de travail sur terrain (l’observation de faits, les enquêtes, visites de cachots et prison, l’éducation civique ...) et nos domaines d’interventions (la promotion et protection de droits humains, l’accompagnement et assistance judiciaire …) décidons de publier ce rapport intitulé : « Éléments témoins de l’insécurité, de tracasserie et criminalité progressives dans la ville de Kisangani et ses environs allant de septembre 2013 à février 2014 ». Le présent rapport va présenter les points ci – après :  De la circulation d’armes au vol à main armée ;  Des attaques aux assassinats  Des sites de tracasseries et leurs auteurs  Des insuffisances de commissariat et manque de police de proximité  De l’augmentation de cas de viol  De l’impact de l’insuffisance de l’éclairage électrique au ciblage de zones dangereuses dites rouge  Conclusion et suggestions
II PRÉSENTATION D’ÉLÉMENTS TÉMOINS AU QUOTIDIEN
1. DE LA CIRCULATION D’ARMES AU VOL A MAIN ARMEE
En vu de combattre les actes de dérapages, les autorités de la 9ème région militaires avaient prises des dispositions interdisant aux militaires en uniforme de circuler en ville avec armes de guerre sans motif valable. En pratique, cette disposition n’est pas respecter par les militaires de la garde présidentielle se considérant avec arrogance être au dessus de tous. La population de la ville a enregistrée nombreux cas de vol à main armée à plusieurs endroits dont voici :  Au Lycée technique Mapedano (une école de filles installée dans la commune Makiso au quartier de Musiciens) où les hommes en armé cagoulés avaient emporté une somme d’argent garde à caisse scolaire après avoir neutralisé le gardien ;  A l’Institut de formation de cadre de l’enseignement primaire et secondaire (IFCEPS) en sigle, une grande somme d’argent avaient été emporte juste à la rentrée scolaire et plusieurs documents administratifs démolis par les hommes en armes ;  Au bureau de la coordination des écoles conventionnées protestantes dans la commune de Makiso, à deux reprises le vol étaient opéré ;  Au bureau de la coordination des écoles conventionnées Kimbanguistes il ya eu vol d’argent et plusieurs documents brulés ;  A l’Institut technique industrielle Chololo de la communauté de Frère Mariste (non loin du grand camp militaire Ketele ) deux cas de vol à main armée dans l’intervalle de deux semaines ,20 ordinateurs et autres matériels destinés à la formation jeunes élèves (futur techniciens dont le pays en a besoin) avaient été emporter ;  Aux installations de l’imprimerie SNAPI ex- RENAPI dans la commune de Makiso au boulevard du 30 juin, à plus au moins à 200 m du bureau de la police commandement Urbain, plusieurs biens étaient emportés ;
 A L’hôtel le Palmier dans la commune de Kabondo sur la 6° avenue non loin du tribunal de la paix, un vol à main armée avec violence, plusieurs biens des clients avaient été emporté victime ;
 Au bureau de l’ONG d’Education civique dénommée Congo en Images (non loin du bureau provincial de la Direction Générale de Migration), les hommes en armes avaient maitrisés le gardien mais n’avaient pas parvenu à casser la porte, ceux qui a sauver les matériels du bureau. A part ces cas ci-haut citent aux différentes institutions, nombreux autres cas de vol à main armée dans des domiciles de plusieurs quartiers avaient été enregistré dans différentes municipalités (communes), le vol de moto en sont aussi trop fréquent. Au marché les mamans déplorent plusieurs cas de blessure à l’aide de lame gilette, de seringue, couteau utilisent par le voleur une fois vous réagissez au moindre cas de tentative de vol ; leur sacs en main sont aussi emporter par le voleurs qui utilise la moto comme instrument d’opération facilitant le vol rapide.
2. DES ATTAQUES AUX ASSASSINATS
Nous citerons les cas ci-après :  En date du 3 janvier 2014 à 22h00, l’exécution sommaire extra judicaire du jeune Aimé Akata (élève en 5ème année secondaire à l’Institut Saio/Kimbanguiste, qui se débrouille en faisant le taxi moto après les heures de cours pour survenir aux besoins scolaires, alors résident sur la 12 avenue n°16 Commune Tshopo) par deux militaires de la garde présidentielle lui tirant 4 coups de balle vers le la route du cimetière Segama à 22hoo et emportant sa moto ;  La nuit du 5 janvier 2014 un chauffeur de taxi moto a été attaqué et fusillé sur la 7° avenue au quartier Saio dans la commune de Makiso, ce dernier avait reçu une balle à la cuisse et la moto a été emporter ;
 La nuit du 7 janvier 2014, Monsieur Amani de l’Undss/Monusco a été attaqué à domicile par les hommes en armes, plusieurs biens des valeurs emportés ;
 Le 14 janvier 2014, sur l’avenue Virunga au quartier artisanal dans la municipalité de la Makiso, Monsieur Fulbert Tamile Tazole (Chef de Travaux à l’Institut Facultaire des Sciences Agronomiques IFA/Yangambi) est assassiné à du matin chez lui à domicile au moment où il était à table entrain de rédiger sa thèse de doctorat.
 La nuit du 26 janvier Monsieur Guysha (résident sur la 5° avenue commune Tshopo) cambiste de son état est retrouver mort en cour de route en plein centre ville quand il revenait d’une fête de mariage à 23hoo, non loin du centre simama pour personne Handicape ;
 Le 28 janvier 2014 Monsieur Ridex (cambiste) roulant sur sa moto, se verra attaqué par 3 personnes à l’aide de couteau à 21h00 au niveau du rond point du petit marché de Litoyi (municipalité de Makiso dans le quartier plateau Boyoma), une somme de 4.000 dollars a été emportée ;
 Le 17 janvier 2014 un jeune garçon mineur dans la municipalité de Mangobo est porté disparu, son corps sera découvert deux jours après dans les herbes non loin du stade Molunge de Mangobo (en bas de la paroisse catholique Christ Roi) entre autre les chiens commencent déjà à détruire le cadavre.
 Le 7 février 2014 assassinant avec brutalité du jeune Fiston Okito (Ingénieur en construction), dans la municipalité de Mangobo avec plusieurs conséquences de trouble d’ordre public
3. DES SITES DE TRACASSERIES ET LEURS AUTEURS
a) Aéroport International de Bangboka (grande porte d’entrée par avion)
Il est connu que tout passager après avoir payé son billet d’avion, la taxe Go passe de la RVA (10$) et taxe provinciale de (5 $), ne peut débourse aucun frais pour accéder à l’avion. Au quotidien les agents de la Direction Générale de Migration (DGM) en poste exige à tout passager une autre somme d’argent (2.000 FC) avec insistance pour enregistrement (en aller comme à l’arrivé) sans remettre aucun document justificatif, n’échappe à cette escroquerie ou taxe illégale la personne avisée, l’Ong Human Rescue veut connaitre à qui profiter cette pratique ?
b) Aux différents ports (public et privés de la ville)
A ces lieux on constatera nombreux agents de services (militaire marin, DGM, Bureau 2, ANR, police de frontières, DRPO,…) au lieu de faire le travail de sécuriser la population et ses biens ainsi que la bonne surveillance du territoire, chacun cherche à soutirer de l’argent au paisible passager surtout si ce dernier a de marchandise à déposer au bateau, on ne sait plus qui a qualité et mandat de contrôler bagage et perception de taxes lors du chargement de véhicule dans un bateau, même si tous document sont en ordre, ces agents tracassiers retardent toujours l’activité de chargement par la grue jusqu'à ce que le propriétaire de la marchandise ou son délégué puisse corrompre les différents service d’un montant allant de 20 à 50 dollars qu’ils se partagent, vu que le responsable du port ne réagit pas à cette situation , celle - ci qui constitue un manque à gagne pour l’entreprise. Signalons aussi les cas des agents le bureau de DGM ,Police de frontières, ANR, Bureau 2, militaire mairain (qui se transforme en contrôleur de ticket 200FC pour accès au bac ), Mairie qui sont installés au niveau du port de l’office de route où le bac facilite le traverse de véhicule pour la rive gauche du fleuve, ces différents agents en coalition exigent à chaque véhicule de débourse une somme de 10 à 15 dollars sans aucun document comme preuve de payement. L’Ong Human Rescue pose la question de savoir l’effectif de services destinés à ces endroits, quels sont leur rôle à jouer sur place et par chacun d’eux?
c) Des barrières sur le long du fleuve Congo par les soldats de la garde présidentielle
A partir du Sep Congo sur axe fluvial , ce dernier y ont déjà créer de poste de barrières illégales obligeant tout piroguier de s’arrêter et de débourser une somme de 3.000FC (soit 3 dollar) aller et retour, cette perception illégale d’argent est accompagné par des actes d’intimidations ,menaces à l’aide d’arme et chicote à tout piroguier qui tente de protester. Cette pratique a de conséquences sociales sur la population, traduit par la hausse de prix des denrées alimentaires au moment où le pagner de ménagère continue à poser problème à la cité l’Ong Human Rescue veut connaitre : « pour quoi les autorités provinciales restent – elle impuissante vis –vis de dérapage des militaires de la garde présidentielles? »
d) Aéroport militaire de Simisimi
Actuellement grandement occupé par les militaires de la garde présidentielle au détriment de militaire de la Force aérienne, ces derniers se livrent à des arrestations , détention irrégulière de la population et torture pour de cas d’affaire civile, ils se donnent le luxe de se transformer en juges en tranchant certain affaire avec des amandes fantaisistes non codifier par la lois, il suffit par mégarde qu’une personne en passage ne s’arrête pas quant il ya activité de descendre le drapeau, la victime se Vera brutalement arrêter et hautement tabasse suivi d’amende. Signalons aussi la présence de leur cachot irrégulière qui échappe au contrôle des autorités judicaires tant civiles que militaires. Bref c’est une justice parallèle et sauvage. Tantôt vous le trouvez s’ingérer dans le contentieux foncier, conflit conjugal et plusieurs autres affaires civiles ;
e) Ex-Bureau de FAO (en face du Bureau du Comité International du Croix Rouge Non loin de shop Vodacom)
A cet endroit vous trouverez des militaires de la garde républicaine, une fois de passage il suffit qu’un de tes correspondants t’appelle et que tu décroches le téléphone, vite tu te retrouves avec brutalité dans les mains de ces militaires.
On ne sait pas ce que ces derniers gardent là bas, beaucoup de personnes ont déjà perdu leurs téléphones et être tabasser sauvagement à cette zone, aucune indication montrant si la zone est réservée ;
f) De barrières sur l’axe Bafwasende (à 2km de la ville)
Les transporteurs venant du Nord Kivu et Ituri de n’hésitent de se plaindre aux prés des ONG des droits humains sur l’existence des barrières et multiplicité de bureaux (Trascom, PCR, Bureau 2, ANR, …) avec de taxes que les autorités de la province de fois ne connaissent pas la destination de l’argent de perçu , les témoignages vont au dépense de plus de 130 dollars (sans remise de papier de justification ) par véhicule à ce poste de tracasserie. A qui profite cette pratique de honte ?
g) Des cachots de la police à la prison centrale
Les pratiques incivique tant décrie sur le comportement de policier appelé à la garde et gardien de la prison continuent à exiger l’argent aux visiteurs avant de remettre la nourriture aux détenus surtout quand leur chef est absent du commissariat. Nous citons le cas du colonel Paul MUSINDE responsable de la police de l’environnement qui se livre régulièrement aux actes de tracasserie au près de tenant d’atelier de réparations de vélo, moto et ajustage installent installé devant l’agence Makiso de la regideso derrières le bureau de l’association de commerçant de Kisangani (ACKIS en sigle). Quant à la prison centrale, nous continuons à déplore le comportement irresponsable de gardien et surveillant de la prison qui sont à la basé du commerce du chanvre et pénétration de couteau et autre arme blanche. IL ne se passe pas un à deux mois sans qu’on enregistre une tentative d’évasion et évasion consommer de grand criminel qui retourne dans la cité pour mettre la vie du paisible citoyen en danger même celle du juge et magistrat qui avait prononcé sa condamnation.
4 DE L’AUGMENTATION DE CAS DE VIOL ET CORRUPTION CACHEE
Nombreuse filles mineurs en sont victimes, d’autres parents commencent à s’inquiéter sur la sécurité de leur filles sur la route de l’école. Bien que la police de protection de l’enfant et de la femme s’engage fortement pour la répression du crime du viol, à la cité la fréquence de nouveau cas ne font qu’accroitre. Une fois appréhendé le violeur est transféré au Parquet de Grande Instance pour la poursuite de la procédure, nombreux auteurs du viol retrouve la leur liberté, ceux qui croupie en prison sont cela qui n’ont pas de l’argent pour corrompre sous la couverture de la mise en liberté provisoire ; et dans ce cas le violeur n’a plus peur de la justice entre autre la vie de jeune fille est en danger, quelque part le responsable du bureau de police de la protection de fille et femme sera démotivé dans sa détermination répression suite au pratique de honte de corruption sous couvert au mise en liberté provisoire du violeur.
5. DE L’INSUFFISANCE DE COMMISSARIAT AU MANQUE DE L’ÉQUIPEMENT POUR LA POLICE DE PROXIMITÉ DANS LES ZONES DE GANGSTERS DITES ZONES ROUGE
Les autorités semblent traiter la question de la sécurité urbaine avec peu de considération. Il est connu de tous, qu’à Kisangani il ya de quartier qui constituât de grande base de gangster tel que dans la municipalité de Mangobo au quartier Matete avec le groupe « kata moto » (couper la tête), Bâna état unies dans la municipalité de Kabondo le groupe Vendôme et ligue arabe vers l’axe cimetière kambakamba, normalement avec le nouveau lotissement l’autorité devrait aussi avoir une vision d’étendre le commissariat de police de proximité avec bonne équipement pour assurer la sécurité de la population. Au commissariat et sous commissariat de la police, vous trouverez les agents dont le poids de l’âge ne leur permet d’assurer une répression. En urgence la zone dites rouge nécessite une installation de sous commissariat de la police d’intervention rapide avec équipement conséquents pour faire face au acte de banditisme urbain.
6. IMPACT DE L’INSUFFISANCE DE L’ÉCLAIRAGE ELECTRIQUE OCCASIONNANT L’ACCÉLÉRATION DU BANDITISME
L’absence ou l’insuffisance de l’éclairage occasionne les actes barbares par les gangsters dans plusieurs endroits dans la ville de Kisangani et plusieurs citoyens en sont déjà victimes. Nous signalons aussi que le cas deuil constitue aussi une occasion de violence dans plusieurs quartier voir même aussi par les étudiants au cas où un de leur est décédé, à cela nous présentons quelques sites dangereuse selon la commune ou municipalité : Dans la commune de Mangobo : Au périmètre du marché appeler « limanga yase » ; Au périmètre de la paroisse Christ Roi ; - Dans le quartier « bambole » connue au nom de Bâna états unies ; - Au quartier Matete ; - Axe cimetière segama dans la commune Makiso ; - Axe collège Maele passant devant le camp des anciens combattants ; - Rond point Maele devant le chantier de l’hôtel du gouvernement provincial Triangle du marché « litoi » en venant du pont de la rivière Tshopo ; - Aux alentours du marché central de la Makiso - Triangle derrière ex- hôtel Congo palace et salle de spectacle de l’aumônerie des jeunes dans la commune Makiso ; - Triangle de la 15e avenue commune tshopo ; L’axe quartier Saio
III CONCLUSION ET SUGGESTIONS
Il y a deux mois passé que le gouvernement provincial de la province Orientale avait l’honneur d’organiser dans la ville de Kisangani une table ronde économique avec plusieurs bailleurs de Fond et quelques représentants des institutions internationales avec objectif de redynamiser le climat d’affaires dans la Province Orientale, les actes de banditismes peuvent occasionner un ralentissement d’un programme d’investisseur. Quel homme d’affaire peu vouloir aller exposer ses capitaux dans une zone avec tendance à devenir très dangereuse, les maisons en chantier non habitable sont aussi siège de retranchement de gangsters, tout fois le bruit nocturne par la multiplicité des églises et leur programme veuille (ce qui constitue du tapage nocturne), peuvent occasionner les attaques et vol sans que la victime puisse être secouru. Certes nombreux habitants de la ville de Kisangani commence à émettre les hypothèses selon le quelle « le bandit de « kulouna » de Kinshasa alors transfère pour faire la prison à Kisangani lors de programme de tolérance zéro, quelques uns ont trouvé la liberté et les évadés redeviennent très actif dans la cité, d’où le cycle de l’insécurité va demeure au rendez-vous. Suggérons ceux qui suivent : - Aux autorités politico –administratives et judicaires qu’ils puissent totalement prioriser le dossier des sécurités dans leur programme. - L’installation de police de proximité est une urgence ; - A l’aide des différentes taxes que les autorités puissent programment l’électrification totale de voies publiques de toutes les communes et quartiers voir même dans les avenues ; - Rendre disponible un numéro vert de secours et installé une police de proximité dans les quartiers ; - D’équiper la police de proximité ; - Ouvrir une enquête démasqué tous ces auteur de tracasserie et acte barbare et le réprimer avec un châtiment exemplaire ; - De remettre les militaires de la garde présidentielle à l’ordre en ouvrant d’actions disciplinaires ; - La suppression de barrières sur le long du fleuve et route ; - De démantelé tous les agents tracassiers ; - De supprimer les veillée de prière qui occasionne de tapage nocturne ; - De remettre les chefs de quartier, bloc et avenue vraie au travail de vigilance comme représentant de l’autorité à la base
- A la population, d’être coopérative dans la pratique de dénonciation de pratiquant d’anti valeur - D’être trop solidaire avec esprit d’équipe ; - De chasser la peur au quotidien pour combattre le mal Ainsi Publier à Kisangani ce 15/02/2014. La Coordination Provinciale de l'ONG HUMAN RESCUE/DRC de la Province Orientale.

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