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Four Points by Sheraton fait ses débuts au Sénégal avec l’ouverture du Four Points by Sheraton Dakar Diamniadio

Situé dans le nouveau complexe de Sports City, à seulement 20 minutes de l’aéroport international Blaise Diagne

Also available in English

Four Points by Sheraton, membre du portefeuille mondial de plus de 30 marques Marriott Bonvoy (www.Marriott.com), annonce aujourd’hui l’ouverture du Four Points by Sheraton Dakar Diamniadio, marquant ainsi l’entrée de la marque au Sénégal. Que les voyageurs visitent le district de Diamniadio, la "smart city" de Dakar, pour affaires ou pour le plaisir, l’hôtel répond à leurs attentes grâce à son design accessible, son confort élégant et tous les petits extras qui font la renommée de la marque.

Situé dans le nouveau complexe de Sports City, à seulement 20 minutes de l’aéroport international Blaise Diagne, le Four Points by Sheraton Dakar Diamniadio offre un accès facile aux principaux sites locaux, notamment le CICAD (Centre International de Conférences Abdou Diouf), la Sphère Ministérielle Ousmane Tanor Dieng, le siège des Nations Unies pour l'Afrique de l'Ouest, ainsi que le futur Stade Olympique de Diamniadio, qui accueillera les Jeux Olympiques de la Jeunesse de 2026.

"Le lancement du Four Points by Sheraton Dakar Diamniadio représente une étape clé pour Marriott International", a déclaré Sandra Schulze-Potgieter, Vice-Présidente des marques Premium, Sélect et Milieu de Gamme en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique chez Marriott International. "Le riche patrimoine du Sénégal et l'importance économique de Diamniadio en font un emplacement idéal pour notre marque Four Points by Sheraton. Ce nouvel hôtel offrira aux voyageurs des prestations modernes et des expériences locales, tout en soutenant la croissance économique, sportive et touristique de la région."

L'hôtel dispose de 173 chambres élégantes avec vue sur Sports City et ses alentours urbains. Fidèle à l’identité de la marque, Four Points by Sheraton Dakar Diamniadio met à disposition tout ce qui compte pour les voyageurs d'aujourd'hui : le Four Comfort Bed, une connexion Wi-Fi rapide et gratuite dans tout l'établissement, ainsi qu'un petit-déjeuner énergisant accompagné d’un café fraîchement préparé à volonté.

Pour une expérience culinaire conviviale, les clients pourront déguster une cuisine fraîche et savoureuse tout au long de la journée au FP Social, tandis que le Chic’ Afrique propose des mets locaux et internationaux dans un cadre vibrant inspiré de l’Afrique. En fin de journée, le FP Social Bar offre une ambiance détendue où les visiteurs pourront se relaxer et découvrir le programme signature Best Brews™ de Four Points, mettant en avant une sélection de bières artisanales locales.

Parmi les autres équipements de l’hôtel, on retrouve une piscine extérieure et un centre de fitness ultramoderne. Avec 139 mètres carrés d’espaces modulables répartis sur quatre salles de réunion, l’hôtel est un lieu idéal pour organiser des réunions intimes et des événements sociaux.

"Nous avons pleinement intégré l'esprit de la Teranga – l'essence même de l'hospitalité sénégalaise – ainsi que le concept innovant de Sports City dans chaque détail du développement de notre hôtel. Du design soigné aux matériaux soigneusement sélectionnés, en passant par un service exceptionnel, nous nous engageons à offrir une expérience où l'excellence internationale se marie avec la chaleur, la générosité et le bien-être qui rendent le Sénégal si unique", a déclaré Mustapha Fodil, Directeur Général du Four Points by Sheraton Dakar Diamniadio.

En tant que seul hôtel de Sports City de Diamniadio, les clients du Four Points by Sheraton bénéficient d’un accès exclusif à des installations sportives de classe mondiale, notamment un terrain de football homologué FIFA, des terrains de basketball et de tennis, une piscine olympique, plusieurs salles de sport, ainsi qu’un centre de bien-être. Pour les familles, une aire de jeux pour enfants avec un mur d’escalade ajoute une touche de divertissement supplémentaire. De plus, l'hôtel offre une proximité idéale avec les principales institutions gouvernementales et économiques, tandis que les attractions emblématiques de Dakar, telles que le Monument de la Renaissance Africaine, l’Île de Gorée et les marchés locaux animés, sont facilement accessibles par autoroute ou train.

Pour plus d’informations sur le Four Points by Sheraton Dakar Diamniadio, veuillez visiter  www.Marriott.com.



Distribué par APO Group pour Marriott International, Inc..

Contact Presse :
Birgit Deibele
Directrice Senior de la Communication, Afrique subsaharienne, Marriott International
E-mail: Birgit.Deibele@marriott.com

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À propos de Four Points by Sheraton® :

Four Points by Sheraton est une marque hôtelière mondiale regroupant plus de 325 hôtels dans plus de 45 pays et territoires. Chez Four Points, le voyage est réinventé, où les classiques intemporels se mêlent aux détails modernes, le tout accompagné d’un service authentique et décontracté à travers le monde. Les hôtels Four Points se trouvent au cœur des centres urbains, près des plages, à proximité des aéroports ou encore dans les banlieues. Chaque établissement offre un cadre accueillant et familier où les clients peuvent regarder du sport et profiter du programme signature Best Brews®, mettant en avant des bières artisanales locales.

Four Points est fier de participer à Marriott Bonvoy®, le programme de voyage mondial de Marriott International. Ce programme offre à ses membres un portefeuille exceptionnel de marques, des expériences exclusives via Marriott Bonvoy Moments (https://apo-opa.co/3Y9x1xt), ainsi que des avantages uniques, notamment des nuits gratuites et une reconnaissance de statut Elite.

Pour vous inscrire gratuitement ou pour plus d’informations sur le programme, visitez MarriottBonvoy.com.
Pour en savoir plus sur Four Points, visitez notre site officiel https://apo-opa.co/42tsJDN.

À propos de Marriott International :

Marriott International, Inc. (Nasdaq : MAR) est basé à Bethesda, Maryland, aux États-Unis, et exploite un portefeuille de près de 9 100 établissements sous plus de 30 marques prestigieuses réparties dans 142 pays et territoires. Marriott exploite et franchise des hôtels ainsi que des résidences de vacances dans le monde entier. L’entreprise propose Marriott Bonvoy®, son programme de voyage très récompensé. Pour plus d’informations, veuillez visiter notre site web www.marriott.com, Pour suivre les dernières actualités de l’entreprise, visitez www.marriottnewscenter.com.

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dimanche 18 décembre 2011

Mot l’honorable Vital Kamerhe a la suite de publication des résultats définitifs par la Cour suprême de justice

 (Samedi, le 17 décembre 2011)
 
Mesdames et Messieurs de la Presse,
 
L’Union pour la Nation Congolaise, UNC en sigle, a suivi l’arrêt rendu par la Cour Suprême de Justice ce vendredi 16 décembre 2011 à 20 h 15 en catimini et sans retransmission en direct à la télévision nationale en réponse à sa requête en contestation des résultats provisoires de l’élection présidentielle du 28 novembre 2011, proclamée par la CENI, requête introduite le 12 décembre 2011, un arrêt rendu donc à l’insu de la population à cause de ses caractères inique et impopulaire connus de ses auteurs conscients du coup fourré qu’ils sont en train de porter contre le peuple congolais, la justice et la démocratie.
L’UNC a noté que la Haute Cour a déclaré recevable sa requête ; ce qui apporte un démenti cinglant à tous les fanatiques et intégristes du pouvoir en place qui avaient pourtant prévu l’irrecevabilité de celle-ci au motif qu’elle comporterait des vices de  procédure.
L’UNC estime que la Cour Suprême de Justice s’est donnée elle-même les moyens d’éluder l’examen du fond de l’affaire en refusant d’appliquer la loi sur la régularité de sa saisine à l’égard de toutes les parties devant légalement intervenir au procès.
Profitant de la sortie de l’UNC ainsi que de son collectif d’avocats qui ont refusé de poursuivre l’instance en violation de la loi, et de cautionner par conséquent une parodie de justice, alors qu’ils étaient détenteurs de moyens suffisants de preuves des irrégularités, et de la fraude massive ayant déterminé les résultats tronqués proclamés par la CENI, la Cour Suprême de Justice a, toute honte bue, continué l’instruction de la cause et pris l’affaire en délibéré pour dire dans son arrêt que l’action de l’UNC n’était pas fondée, faute de preuves !
L’UNC rappelle à l’opinion tant nationale qu’internationale qu’à l’occasion du dépôt de sa requête au greffe de la Haute Cour, son Président National, l’Honorable Vital Kamerhe, avait précisé que cette démarche était une formalité pour prouver aux yeux du monde son sens de respect aux lois et institutions du pays et qu’en réalité il n’y avait rien de bon à attendre de cette Cour dont l’action est dictée et contrôlée par les tenants du pouvoir politique. Elle voulait à cette occasion donner la preuve à quiconque pouvait encore en douter, de l’inféodation et de la subordination de cette juridiction, pourtant indépendante aux termes de la Constitution, au gouvernement.
Cet objectif tendant à administrer la preuve de la dépendance de la Cour Suprême de Justice au pouvoir politique est totalement atteint. La RDC est loin d’être un Etat de droit. Nul ne peut contredire cette évidence. La Cour Suprême de Justice s’est donc disqualifiée du fait de son refus de dire le droit, telle est pourtant sa mission constitutionnelle.
En effet, au terme de l’article 74 ter, al 5 de la loi électorale, obligation est faite au greffe de la Cour Suprême de Justice de notifier la requête en contestation des résultats électoraux aux candidats dont l’élection est contestée, au parti politique ou regroupement politique ayant présenté un candidat, ainsi qu’à la CENI.
Cette disposition est ainsi libellée :
 
« La requête est notifiée au candidat dont l’élection est contestée, au parti politique ou regroupement politique, ayant présenté un candidat ainsi qu’à la commission nationale indépendante. Ceux-ci peuvent adresser à la juridiction saisie un mémoire en réponse dans un délai de trois jours après notification. L’absence de mémoire en réponse n’est pas suspensive de la procédure ».
Cette disposition légale ne peut prêter à confusion dans la mesure où elle a fait l’objet de l’interprétation de la Haute Cour coulée dans la note circulaire n° 014 du 27 septembre  2011 sur la non-admissibilité de la procédure de tierce opposition en matière de contentieux électoral, circulaire signée par Monsieur Jérôme Kitoko Kimpele, Premier Président de la Cour Suprême de Justice et Président du Conseil Supérieur de la Magistrature.
On peut lire dans cette note ce qui suit :
 
«  il est dès lors hors de question que soient reçues par le juge électoral des actions en tierce opposition dirigées contre des arrêts ou jugements statuant sur des contestations électorales, non seulement parce que la loi électorale ne prévoit pas cette voie de recours, mais également parce que son article 74 ter alinéa 5 garantit le principe du contradictoire, en faisant obligation au greffier de notifier la requête en contestation des résultats du scrutin au candidat dont l’élection est contestée, au parti politique ou regroupement politique ayant présenté un candidat ainsi qu’à la commission électorale nationale indépendant, lesquels peuvent adresser à la juridiction saisie un mémoire en réponse dans un délai de trois jours après notification, étant entendu que l’absence du mémoire en réponse n’est pas suspensive de la procédure ».
Il en découle que la Haute Cour, pour avoir rejeté par un arrêt avant-dire droit le préalable soulevé par le collectif d’avocats de l’UNC tendant à obtenir que soient invités à l’audience le parti politique ou le regroupement politique ayant présenté un candidat à l’élection présidentielle, a manifestement et intentionnellement violé la disposition de la loi électorale sus-ventée dans la mesure où elle a superbement ignoré sa propre interprétation de la disposition légale pré rappelée au travers de sa circulaire  mentionnée précédemment.
 Par ailleurs, le calendrier électoral publié par la CENI, a prévu la publication des résultats définitifs de l’élection présidentielle à la date du 17 décembre 2011. Que peut donc expliquer la précipitation de la Cour  à proclamer ces résultats le 16 décembre 2011 soit un jour avant si ce n’est que sa soumission et sa dépendance au mot d’ordre politique ?
L’UNC en conclut que :
1.     La Cour Suprême de Justice de la République Démocratique du Congo n’est pas une institution indépendante ; elle est au service du pouvoir en place. Ce qui est une violation grave de la Constitution.
2.  L’Arrêt de la Cour Suprême de Justice vidant la requête en contestation des résultats de l’élection présidentielle introduite par l’UNC a non seulement violé la loi électorale, mais aussi la circulaire de son Premier Président.
3.  L’Arrêt de la Cour Suprême de Justice proclamant les résultats définitifs est donc vicié car fondé sur un arrêt illégal ayant vidé le contentieux électoral de manière inique.
4.  La Haute Cour a fait preuve de son inféodation et d’une précipitation inconsidérée et qui l’ont conduite à confirmer les résultats contestés et proclamés par la CENI sans la moindre modification, alors que tous les acteurs et les observateurs nationaux et internationaux à l’élection présidentielle, en ce compris le Président de la République sortant, le Président de la CENI ont reconnu l’existence des irrégularités graves pour les uns et des erreurs matérielles pour les autres. Pourquoi la Cour Suprême de Justice n’a pas tenu compte ne fût-ce que du chiffre de 1.300.000 voix, erreur relevée à l’opinion par le Président de la CENI dans un de ses points de presse ?
Si la Cour avait bien fait son travail, c’est-à-dire, avait eu égard à tous les procès-verbaux authentiques des bureaux et centres de vote ainsi que des centres locaux de compilation des résultats, CLCR, elle ne se mettrait pas à la traîne de la CENI.  Les résultats proclamés par la CENI et confirmés par la Cour Suprême de Justice ont été jeté un froid au sein de la population qui n’a pas manifesté une quelconque joie.
Mesdames et Messieurs de la Presse,
 L’élection tant attendue et désirée par le  peuple congolais pour renforcer l’encrage du pays dans la démocratie et relancer son  développement ainsi que le mieux-être de la population,  débouche malheureusement sur une  nouvelle crise politique.
L’UNC rejette la responsabilité  de cette crise au pouvoir en place qui a torpillé l’indépendance de la CENI et de  la Cour Suprême de Justice. Elle ne se sent nullement concerné par les résultats proclamés tant par la CENI que par la Haute Cour.
En effet, alors que les gouvernements américains et français ont invité la Cour Suprême de Justice à examiner la requête de l’UNC en toute impartialité et sérénité, celle-ci, sous pression, est passée malheureusement outre, confortant de plus bel la crise déjà créée par la CENI.
L’UNC félicite la Sous-Commission sénatoriale des USA qui, conscient des irrégularités et des fraudes électorales ayant versé le pays dans la crise, invite à la recherche d’une solution qui tienne compte de la volonté exprimée par le peuple congolais.
L’UNC qui souscrit à ce schéma pacifique, affirme sa disponibilité à contribuer à l’avènement d’une telle solution. Dans cette optique, elle préconise la médiation des puissances et instances sous-régionales, régionales et internationales pour renforcer le Comité National de Médiation dirigé  par le Professeur Balanda Mikwin Leliel, ancien Premier Président de la Cour Suprême de Justice.
 
L’UNC saisit cette occasion pour remercier toutes les femmes et tous les hommes épris de  paix et de justice qui, au service de la vérité, ont décrié les irrégularités ayant émaillé l’élection présidentielle du 28 novembre 2011.
Il s’agit notamment de :
                 -      Centre Carter,
-      Son Eminence le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya ;
-      La Mission d’observation de l’Union Européenne ;
-      La Monusco ;
-      Ministre Français des Affaires Etrangères ;
-      Foreign Office Britannique ;
-      Département d’Etat Américain ;
-      Sénat Américain.
 
Mesdames et Messieurs de la Presse,
 
Gouverner, c’est prévoir dit-on, une autre crise grave est entrain de se profiler à l’horizon. En effet, d’après des informations  concordantes à notre possession, des instructions formelles auraient été données aux chefs des centres locaux de compilation des résultats afin de changer les résultats des urnes en faveur des candidats de la majorité, quitte à laisser des miettes à l’opposition. On parle même de la corruption.
Pour parer à cette pire éventualité qui risque d’en rajouter à la crise actuelle, l’UNC demande une forte implication de la MONUSCO dans le travail de compilation des résultats afin que la sincérité des urnes soit préservée. Le contentieux électoral ayant démontré ses limites, la justice étant contrôlée par la  majorité, il vaut mieux prévenir que guérir.
 
Mesdames et Messieurs de la Presse,
 
L’UNC invite aussi la population congolaise en général et ses militantes et militants en particulier, à la vigilance et à protéger sa victoire électorale conforment à l’article 64 alinéa 1er de la Constitution qui dispose :
« Tout Congolais a le devoir de faire échec à tout individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force ou qui l’exerce en violation des dispositions de la présente Constitution. »
 
Enfin, l’UNC invite les partis politiques de l’opposition ainsi que la société civile congolaise à se retrouver le plus rapidement possible afin de définir des stratégies et actions communes que requiert la situation et ainsi éviter des schémas personnels, souvent inefficaces.
Fait à Kinshasa, le 17 décembre 2011
 Pour la Direction Politique Nationale du Parti
Vital Kamerhe
Président National de l’UNC

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