L’Organisation
ACDRO/COAD est totalement ouverte à tout débat technique ou scientifique et non
à jacassements politiciens
Organisation non gouvernementale Assistance contre la drogue ACDRO/ASBL
F922808 du 9 juin 1993 Organisation membre du
Conseil National des ONGs de Lutte contre l’abus et le trafic illicite des
drogues et la prévention du crime en RDC COAD RESEAU, Organisation diplômée du
Ministère de la Justice Congolaise 2003 pour engagement exceptionnel à cette
lutte en RDC.
Axes : corruption et criminalité organisée transnationale
I. Encouragement - Mot du jour et Remerciements
II. Dispositions constitutionnelles contre corruption en RDC
III. Méthodologie des activités stratégiques
IV. Rapports d’activités techniques 2004 à 2010
V. Textes d’accompagnements intégrés
VI. Rapports de pression presse/RDC
II. Dispositions constitutionnelles contre corruption en RDC
III. Méthodologie des activités stratégiques
IV. Rapports d’activités techniques 2004 à 2010
V. Textes d’accompagnements intégrés
VI. Rapports de pression presse/RDC
Rédaction et présentation
Mbu José
Président
National ACDRO/COADRESEAU Asbl, Expert
pays des drogues et tolytoxicomanies, Expert et Analyste pays de corruption, Activiste
terrain depuis 1993, Combattant dans la victoire de Christ, Président de la
Commission d’information de la ligue pour la défense du citoyen par la défense des
droits de l’homme LDDH. Détenteur de multiples formations spécialisées :
-
Du Comité National Interministériel
de lutte anti drogue en RDC
-
De l’UNODC
-
Du GREB
-
De la SADC
-
De l’OCEP/RDC
-
De la DIILS Organe américain
E-mail : kenajolie@yahoo.fr
Phone : (+243) 818100031
www.google.acdro.rdc
I. Encouragement
·
Tout en soulignant le caractère de non inféodation de notre Association
aux institutions en place, sur la question de la corruption, nous ne pouvons
manquer d’encourager la volonté politique exprimée du nouveau Chef de l’Etat à
une lutte contre la corruption en RD Congo ainsi que dans son impunité à se
matérialiser en des faits évidents et concrets car, à homme de valeur, parole
est ténue contre vents et marrées.
Mot du jour
·
Un véritable ami
C’est quelqu’un qui vous aime
Avec tous vos défauts ;
Qui selon les moments conseille ou bien protège ;
C’est quelqu’un qui croit quand tout le monde doute ;
Qui comprend sans un mot dire la peine ou le souci ;
Qui pour accompagner, change un instant sa route sans faire de reproche
ou attendre un merci ;
C’est quelqu’un dont, on sent douloureuse l’absence ;
Parce qu’il sait bien par simple regard, donner à sa présence une valeur
très grande ;
Un ami c’est un don.
Remerciements
·
Nous remercions du fond du cœur, tous ceux qui nous appuient de quelques manières que se soient
pour que, les mains de tous les congolais soient plus propres et nous
permettent à tous d’accéder dans le Royaume des Cieux, là où, il n’y aura de
voleur.
Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement.
A qui on a beaucoup donné beaucoup on lui demandera.
Un jour, la RD Congo devra rendre compte de sa gestion.
Mbu José
Président
de l’ACDRO/COAD – Réseau
II.
Dispositions constitutionnelles contre la corruption
en Rdc
Article 28 : Nul n’est tenu d’exécuter un ordre
manifestement illégal. Tout individu, tout agent de l’Etat est délié du devoir
d’obéissance, lorsque l’ordre reçu constitue une atteinte manifeste au respect
des droits de l’homme et des libertés publiques et des bonnes mœurs. La preuve
de l’illégalité manifeste de l’ordre incombe à la personne qui refuse de
l’exécuter.
Article 34 : La propriété privée est sacrée. L’Etat
garantit le droit à la propriété individuelle ou collective acquis conformément
à la loi ou à la coutume. Il encourage et veille à la sécurité des
investissements privés, nationaux et étrangers.
Article 37 : L’Etat garantit la liberté d’association. Les
pouvoirs publics collaborent avec les associations qui contribuent au
développement social, économique, intellectuel, moral et spirituel des
populations et à l’éducation des citoyennes et des citoyens. Cette
collaboration peut revêtir la forme d’une subvention. La foi fixe les modalités
d’exercice de cette liberté.
Article 56 : Tout acte, tout accord, toute convention, tout
arrangement ou tout autre fait, qui a pour conséquence de priver la nation, les
personnes physiques ou morales de tout ou partie de leurs propres moyens
d’existence tirés de leurs ressources ou de leurs richesses naturelles, sans
préjudices des dispositions internationales sur les crimes économiques, est
érigé en infraction de pillage punie par la loi.
Article 57 : Les actes visés à l’article précédent ainsi
que leur tentative, quelles qu’en soient les modalités, s’ils sont le fait
d’une personne investie d’autorité publique, sont punies comme infraction de
haute trahison.
Article 62 : Nul n’est censé ignorer la loi. Toute personne
est tenue de respecter la Constitution et de se conformer aux lois de la
République.
Article 64 : Tout congolais a le devoir de faire échec à
tout individu ou groupe d’individus qui prend le pouvoir par la force ou qui
l’exerce en violation des dispositions de la présente Constitution.
Article 65 : Tout congolais est tenu de remplir loyalement
ses obligations vis – à vis de l’Etat.
Il a en outre le devoir de s’acquitter de ses impôts et taxes.
Articles 67 : Tout congolais a le devoir de protéger, les
biens et intérêts publics et de respecter la propriété d’autrui.
Article 98 : Durant leurs fonctions, le Président de la
République et les membres du Gouvernement ne peuvent par eux – mêmes ou par
personne interposée, ni acheter, ni acquérir d’aucune façon, ni prendre en bail
un bien qui appartienne au domaine de l’Etat, des provinces ou des entités
décentralisées. Ils ne peuvent prendre part directement ou indirectement aux
marchés publics au bénéfice des administrations ou des institutions dans
lesquelles le pouvoir central ; les provinces et les entités
administratives décentralisées ont des intérêts.
Article 99 : Avant leur entrée en fonction et à l’expiration
de celle – ci, le Président de la République et les membres du Gouvernement
sont tenus de déposer devant la Cour Constitutionnelle la déclaration écrite de
leur patrimoine familial, énumérant leurs biens meubles, y compris, parts
sociales, obligations, autres valeurs, comptes en banque, leurs biens
immeubles, y compris terrains non bâtis, patrimoines et terres agricoles, mines
et tous autres immeubles, avec indication des titres pertinents. Le patrimoine
familial inclut les biens du conjoint selon des titres matrimonial, des enfants
mineurs et des enfants, mêmes majeures, à charge du couple.
Dans les trente jours la fin des fonctions, faute
de cette déclaration, en cas de déclaration frauduleuse ou soupçon
d’enrichissement sans cause, la Cour Constitutionnelle ou Cour de Cassation est
saisie selon le cas.
Article 164 : La Cour Constitutionnelle est le juge pénal du
Président de la République et du Premier Ministre pour des infractions
politiques de haute trahison, d’outrage au Parlement, d’atteindre à l’honneur
ou à la probité ainsi que pour les délits d’initié et pour les autres
infractions de droit commun commises dans l’exercice ou à l’association de
l’exercice de leurs fonctions. Elle est également compétente pour juger leurs
co – auteurs et complices.
Article 165 : Sans préjudice des autres dispositions de la
présente Constitution, il y a haute trahison lorsque le Président de la
république a violé intentionnellement la Constitution ou lorsque lui ou le
Premier Ministre sont reconnus auteurs, co–auteurs ou complices de
violations ou complices de violation
graves et caractérisées des Droits de l’Homme, de Cession d’une partie du territoire
national.
Il a atteinte à l’honneur ou à la probité
notamment lorsque le comportement personnel du Président de la République ou du
Premier Ministre est contraire aux bonnes mœurs qu’ils sont reconnus auteurs,
co-auteurs ou complices de malversations, de corruption ou d’enrichissement
illicite.
Il a délit d’initié dans le chef du Président de la République ou
du Premier Ministre lorsqu’il effectue des opérations sur valeurs immobilières
ou sur marchandises à l’égard desquelles il possède des informations privilégiées
et dont il tire profit avant que ces informations soient connues du public. Le
délit englobe l’achat ou la vente d’actions fondée sur des renseignements qui
ne seraient jamais divulguées aux actionnaires.
Il ya outrage au Parlement lorsque sur des
questions posées par l’une ou l’autre Chambre du Parlement sur l’activité
gouvernementale, le Premier ministre ne fournit aucune réponse dans un délai de
trente jours.
Article 188 : Les forces Armées sont républicaines. Elles sont
au service de la nation toute entière. Nul ne peut, sous peine de haute
trahison, les détourner à ses fins propres. Elles sont apolitiques et soumises
à l’autorité civile.
Article 189 : Les effectifs à tous les niveaux, les fonctions
de commandement en tout temps et en toute circonstance doivent tenir compte des
critères liés à la fois à l’aptitude physique, à une instruction suffisante, à
une moralité ainsi qu’à une représentation équitable des provinces.
Article 193 : L’Administration Publique est apolitique, neutre
et impartiale. Nul ne peut la détourner à des fins propres ou partisanes.
Elle comprend la fonction publique ainsi que tous
les organismes et services assimilés.
III.
Méthodologie des activités stratégiques
Les présents rapports d’activité de l’assistance contre la
drogue ACDRO et du Conseil National des
ONGs de lutte contre l’abus et le trafic illicite des drogues et la prévention
du crime COAD Réseau Asbl permettent à toute personne, observateur, analyste,
expert pays et experts internationaux à voir les multiples méthodologies les
plus actualisées à cette date 2010 être pleinement usés dans chaque acte mis en
œuvre par nos organisations c’est-à-dire :
§ La prévention
§ La sensibilisation
§ La communication mise à niveau
§ La formation et formations exécutives
§ La détection pour alertes et transformations
d’alertes
§ La dénonciation publique et mise en accusation
pénale de partie civile
§ La stratégie des réseaux
§ L’utilisation de l’information stratégique
§ Le full usage des masses médias pour une visée
opérationnelle de lutte en champ national
§ Le plaidoyer présidentiel, parlementaire et
sénatorial
§ Le lobbying de communauté mondiale
§ Production de banque documentaire
§ L’analyse de bonne gouvernance
§ La facilitation des institutions gouvernementales
portant sur une opinion nationale
§ Et médiateur, recherches scientifiques en ligne
d’intégrité humaine et structurelle
IV.
Introduction des rapports 2004 - 2010
Le parallélisme informel des structures
institutionnelles de corruption en RD Congo et la hiérarchie fonctionnelle de
la vie humaine, de la société, de la nature et des cultures au plan mondial et
plus spécifique pour la RD Congo impriment une déliquescence de probité
publique consécutives à un système de
contre valeur et anti – valeur visiblement perçu et aujourd’hui programmé en
système de pensée, qui pour le 3ème millénaire ne peut se définir
qu’à défit à renversement ces principes de moralité, ou irrémédiablement les
considérer telles que normes
Irréversiblement, il est un choix clairement
présenté à tout individu en RD Congo à faire à savoir face à une dérégulation
fonctionnelle institutionnelle continuelle, la cristallisation complexe de
criminalité, l’exploitation illégale et expropriation de l’énergie humaine,
d’exaspération et graduation constante des bases émotionnelles négatives avec
ses conséquences bien connues de tout expert de prévention du crime par des
contre effets ; où trouver son gain de cause pour le congolais ? Là
se situe l’équation actuelle.
Il est tout à fait évident, que la société
congolaise dans son essence la plus profonde doit fonder des réflexions morales
adaptées et appropriées qui viseraient, à l’éclairer vers les horizons et voies
solides de sortie de cette crise sociale et ce, en terme de lutte globale
contre la corruption en vue d’une politique de développement durable et non
laisser l’installation d’un silence social du genre parias, sur cette question.
Attentes d’essence populaire
Il est encore exact et vrai, qu’il faille
modifier la pensée profonde et individuelle sous jacente des mentalités et ôter
de nos vies l’idée de la corruption comme élément intrinsèque de nos vies d’abord
par essence même, les hommes à l’exercice du pouvoir.
A l’ACDRO, nous croyons dure en la possibilité
d’amendement de tout homme face à cette question spécifiquement, les élus
politiques – fonctionnaires – acteurs économiques et plus.
Tout à fait Conscient que la volonté – politique,
les réformes institutionnelles, juridiques, judiciaires sans oublier le secteur
privé et la plus importante part de la Société Civile comme Souverain primaire
ainsi que du quatrième pouvoir de la presse, en RD Congo, devrons s’affirmer en
partenaires pour le respect des normes référencières mais aussi, tous
comprendre qu’il n’est pas question de confrontation d’hommes et de colorations
politiques, mais des idées avec courages, en terme de liberté de conscience –
de pensée – de réflexion que nous vaincrons et prendrons ascendance sur cette
conduite sociale contre éthique, qui sinon à terme, disqualifiera nos enfants
et notre patrie à l’avantage, des autres nations plus lucides sur cette
question déjà aujourd’hui.
A moins de cécité, une gestion collégiale –
éthique et rationnelle de la RD Congo par bonne gouvernance permettra à tout
citoyen congolais de s’autonomiser et s’autodéterminer dans un laps de temps en
des gabaries forts dans tous domaines socio – économiques et culturels.
On laisse entendre en exemple « que seul
Inga phase et I et II » peut générer 40 milliards de dollars annuel en
cash – flow prépayés comme distributeur d’énergie mondiale et d’autres 100
milliards en production de cuivre etc. allez – y comprendre l’inutilité des
actes de corruption actuelle à posto d’une gestion éthique et rationnelle. Que
de temps perdu et de gâchis réalisés pour petits intérêts individuels
minables ; face aux études faisant état de 24.000 milliards de dollars en
potentiel RDC. Comme dit : « quand la Chine s’éveillera » ;
« quand le Congo achètera tous les cerveaux du monde comme
consultant ».
Conclusion
A bien se ressaisir, il n’y a pas à bousculer,
tout un chacun des congolais pourrait bénéficier par voie légale et éthique du
secteur bancaire et financier toutes sortes de financements et de subventions
en sa qualité légitime de national congolais et au maximum se voir être
décemment accompagné par des experts les plus en vue au plan mondial et ce sur
tout projet et finaliser à terme.
La démarche nationale des actes de corruption
nationale comportant une pesanteur de malédiction pour le Congo est inutile et
se démontre comme erronée, peu efficace et non bénéfique considérant en plus le
peu de garantie juridique par attaque judiciaire des personnes y impliquées car,
des pressions contre l’impunité, l’ACDRO n’en lâchera pas jusqu’à visibilité
des efforts soutenue par l’opinion nationale et suivis des tribuns ACDRO.
Tout congolais doit jouir de ce scandale
géologique et économique mis en valeur
que prôné par le Congo dans une juste redistribution des avoirs nationaux.
Il serait même probable, que le citoyen
congolais, n’eusse pas de projet à présenter afin d’absorber cette masse
monétaire à venir.
En fait, suivant note vision à terme, c’est être
fort au sein des Nations du Monde et non manipulable par extension :
parfaire l’autodétermination et aspirations congolaises.
Rapport d’activités axes corruption – criminalité
organisée transnationale 2004
1.
L’organisation ACDRO Asbl a au cours de toute l’année 2004, analysé tous
les faits de corruption (IPC) rendus par voie de presse nationale afin de
retracer les événements et toutes les pratiques de corruption que subissent la
nation et la société congolaise et près de 250 actes ont été ainsi répertoriés
et soumis à débat interne au sein de l’Association.
2.
Suite à cette méthodologie, près de 24 paliers de formes et natures de
corruption ont été saisi comme traçabilité des cibles évaluatives des
indicateurs de perception de corruption et reconversion comportementale pour la
RD Congo.
-
Une institutionnalisation de la corruption en forme spirale de
gouvernance en RDC
-
Une impunité caractérisée dans les classes politiques sur la question de
la corruption ;
-
Une incapacité notoire de l’appareil judiciaire à actionner des sanctions
sur cette classe ;
-
L’appareil judiciaire fortement
gangrené par la corruption et difficultés perpétuelles à dire et à rendre le
droit sur des cibles claires et précises.
-
Une corruption et mauvaise gouvernance installées et entretenues dans
l’administration de la fonction publique et dans les institutions publiques en
RDC
-
Une assise et installation de mode de vie bourgeoisie dans la police
nationale et armée nationale ;
-
Une présence de pratique contre éthique à la commission d’éthique et de
lutte contre la corruption mise en place en période de transition
écoulée ;
-
Une corruption érigée et entretenue en milieu d’organisations
internationales installées en RDC
-
Une corruption érigée en certains milieux diplomatiques de la façon la
plus ouverte et modifiant les intentions au gré des vagues
-
Une corruption et instrumentalisation du milieu bancaire en RDC ;
-
Une forte corruption en milieu douanier et migratoire en en RDC ;
-
Une forte présence de corruption en milieu médical en RDC tant dans la
pratique de la profession que des individus médecins dans leur éthique
déontologique.
-
Une corruption dangereuse et complaisante dans le milieu de la pharmacie
et substance dangereuse et toxique en RDC
-
Des corruptions aggravées, installées et entretenues en milieu scolaire,
primaire, secondaire, supérieur et universitaire
-
Une corruption aggravée en milieu
confessionnel en RDC ;
-
Une corruption en milieux cultuel et sportif en RDC
-
Une corruption populaire visant les matières électorales ;
-
Une corruption et complaisance en milieux associatifs de société
civile ;
-
Une corruption et instrumentalisation de la presse nationale en RDC ;
-
Une corruption entretenue en milieu carcéral de la RDC
-
Une corruption en milieu de noyau familial et pratique d’éthique
négatives des valeurs fondamentales en structuration culturelle et sociologique
-
Un silence complice, complaisance et incapacité majeure de réaction de la
population congolaise pour dénonciation des pratiques de corruption et contre
éthique ;
-
Une mauvaise et mal sinon, absence de gouvernance de la société
congolaise consécutive à la pratique de la corruption ;
-
Et , à divers paliers, complaisance de la communauté internationale
visant la corruption de la RDC Etat – Nation, par silence complice et
insensibilité d’Etat aux alertes de corruption lancés depuis la société civile
congolaise.[1]
3.
L’ACDRO a élaboré près de 24 types de stratégies appropriées à chaque
nature et type de corruption en rapport en ce 2004 et sont en train de se
réaliser ainsi que des supports qui viseront chaque secteur spécifique à remodelation
de termes culturels accouplés d’un plan d’action nationale 2005 – 2007.
4.
La très célèbre organisation mauricienne, ICAC ainsi que les Associations
SAHRI et OSISA/Sud Afrique et Zimbabwe ont invité l’ACDRO/COAD Réseau à Maurice
pour Workshop for civil society and non governemantal organisation working in
anti corruption in the SADC région du 22 au 23 novembre 2004, Messieurs MBU
José et Ngandi Nsandji ont représenté l’ACDRO et le COAD Réseau respectivement
en qualités de Président National et Conseiller Chargé des Etudes et Projets.
40 pages d’état de lieux sur la drogue et la corruption ont été transmis à la
commission comme apport de la RD Congo
sur ces questions. La télévision Mauricienne a interviewé M. Mbu et la presse mauricienne a tiré 80.000
exemplaires de cette interview.
Les organisations participantes membres des
Sociétés Civiles/SADC ont été :
Le Secrétariat Général de la Southern African Developpement Community
SADC/Botswana
National initiative for civic education Malawi
National initiative for civic education Malawi
-
United Nations Office on Drug and Crimes/South
Africa
-
Transparency International/Zambia
-
Coligaçao Pela Reconciliacao, Transparencia et Cidadania/Angola
-
Le COAD Réseau/RD Congo
-
ICAC International Commission Anti Corruption/Ile Maurice
-
DCEC /Botswana
-
FACEIT front Against corupt element in Tanzania
-
Transformation Ressource Center/Lesotho
-
ADVICE From the anti corrupt/Malawi
-
SAHRIT/Zimbabwe
-
OSISA/Sud Africa
5. Pour le 9 décembre 2004, journée Internationale contre la corruption
ACDRO a introduit auprès de la CELC[2] un
projet d’appui à la sensibilisation publique pour cette journée manifestement,
cette commission a formulé les difficultés dont elle fait face et qui ne peuvent en l’occurrence,
financer cette activité. Le PNUD de Kinshasa a reçu la même sollicitation pour
projet à institution intergouvernementale demeuré sans réponse.
6.
Le rapport de mission de Maurice a été transmis à M. Potopoto point focal
contre corruption SAFRAC/RD Congo pour fin d’information, par la même occasion,
l’ACDRO COAD Réseau tient a remercié ce dernier pour les efforts consentis à
notre démarche de voyage vers Maurice. Un rapport de mission a également été
rendu, auprès des ONGs membres du COAD Réseau, sur les possibilités de
financement de nos activités avec des partenaires extérieurs rencontrés à
Maurice ; mais tout cela, en post électoral de la RD Congo 2007.
7.
L’ACDRO COAD Réseau a transmis à M. Koffi Anan, Secrétaire Général de
Nations Unies une lettre Mémo portant recommandations de levée de tout
cloisonnement de confidentialité sur l’affaire du Panel de la RD Congo afin, de
faciliter les populations à la réalisation de meilleur choix électoral par vote
sanction des personnes impliquées – document transmis via PNUD/Kinshasa.
8.
L’ACDRO COAD Réseau a transmis à la représentation de la Banque Mondiale
sous M. Hono Ruhl son relevé d’état des lieux 2004 de la corruption en RD Congo
pour une meilleure approche des financements lancés et leurs objectifs finaux
n’atteignant que très peu les populations en besoin et réels bénéficiaires,
état de faits bien connu de cette institution, mais se pérennisant dans cette
même voie contraire aux populations congolaises
9.
L’agence nationale de presse congolaise a fait état du document de l’état
des lieux 2004/ACDRO COAD Réseau contre la corruption (IPC) par son numéro 753
du 12 janvier 2005, d’autres organes de presse nationale : tempête des
tropiques numéros 26 et la cité africaine numéro 773 ont rendu public ces
activités et efforts pour cette lutte en RD Congo.
10.
L’ACDRO COAD Réseau a participé par invitation de groupe d’experts de la Banque
Centrale du Congo à l’élaboration de l’avant projet de loi nationale contre le
blanchiment et le financement du terrorisme dans le cadre du Greb[3] tenu à
l’Hôtel Memling à Kinshasa.
11.
L’ACDRO COAD Réseau a formulé de vive voix ses inquiétudes auprès de la CELC,
face au peu de visibilité des activités contre corruption que la CELC a produit
pour 2003 – 2004 et 2005, à cet effet, un compte rendu de constat a été rendu
public par notre organisation.
Rapport d’activités axes corruption – criminalité
organisée transnationale 2005
1.
En ce début d’année 2005, l’ACDRO COAD Réseau a transmis au Vice –
Président de la République en Charge de la Politique Sécurité et Défense
Nationale l’état des lieux des drogues et de la corruption ainsi que leurs
stratégies de lutte et plan d’action des ONGs spécifiques à ces programmes en
vue de voir ce dernier s’y pencher de façon significative, en sa qualité et
rôle appropriés de sécurité d’Etat et de prévention du crime mais encore une
fois, peu encourageant dans cet
environnement peu propice à ces types d’activités, où tous nous savons combien
la transition a eu à puiser les caisses de l’Etat à des fins plus que privés.
Les multiples demandes d’audience auprès de ce
dernier M. Azarias Ruberwa n’ont jamais abouti faute soit dit de protocole
alors que la prescription judiciaire existe encore contre ces crimes à cette
date en RDC par les faits de la transition (10 années)
2.L’ACDRO COAD Réseau s’est équipée d’un site Web : www.acdroblog.blogsource.com afin de mieux verser l’information aux populations
congolaises et dans l’Opinion Mondiale sur l’état des lieux de la corruption et
la drogue au Congo.
3.
L’ACDRO COAD Réseau a mis en page et en public un organe de presse
sectorielle sur les questions de la prévention du crime – ICCN NARCOTIQUE afin
de permettre à une meilleure analyse des questions et construction culturelle
de cette philosophie au sein de l’administration de l’Etat et ensuite en ce qui
vise le grand public en questionnements d’opinion.
4.
L’ACDRO COAD Réseau a introduit auprès du Ministère de la Culture et des
Arts, des messages préventifs modificateurs de comportements contre corruption
pour multiplication et vulgarisation encore une fois, notre démarche est
demeurée sans suite, la corruption plus qu’ostentatoire
en RD Congo dans ses IPC (Indicateurs de perception de corruption) comme
nouvelle culture sociale.
5.
L’ACDRO COAD Réseau ne cesse de transmettre auprès des structures
Etatiques toutes formes de lettres administratives en vue de meilleure
gouvernance contre les drogues et la prévention du crime notamment la
corruption et pour 2005, plus de 120 lettres ont été lancées car, il est
évident, que le mandataire congolais à la charge des affaires publiques doit
s’imprégner du désidérata populaire et appréciation de Société Civile pour une
volition culturelle positive et non pas le contraire (Contrat électoral
oblige).
6.
Nous faisons pression auprès des Partis Politiques, afin de les voir
préciser de plus en plus leurs stratégies matérielles de lutte contre la
corruption spécialement en période préélectorale et nous présenter d’ores et
déjà leurs programmes et Messieurs mains propres et ôter toutes dispositions
préélectorales favorisant cette pratique en moment électorale et non lors d’accès à l’Imperium d’Etat.
7.
L’ACDRO COAD Réseau par ses membres ne cesse de lancer des études
comportementales de bases émotionnelles sur la question entendez : les
déterminants qui motivent la corruption dans nos populations et qui prennent
assise sur la crise de la représentation politique et passivité de citoyens
comme cofacteurs de conduites corrompues.
8.
L’ACDRO COAD Réseau a formé en 2005 près de 120 jeunes de l’Organisation
PCD/Asbl à l’Eglise Adventiste de Bandalungwa sur les mécanismes de lutte
contre la drogue et la corruption et par devers, apporter une rectitude de
jugement des citoyens de ces actes. Voir ACP n° 794.
9.
Après analyses, l’ACDRO COAD Réseau s’est désolidarisée des Commissions
mise en place contre la corruption afin d’être indépendante d’elles et pouvoir
affirmer plus simplement sans inféodation ces questions ; sans cette
stratégie en telle période c’est l’étranglement et il est nécessaire pour nous,
de rétablir, le triangle démocratie – bonne gouvernance et transparence en
rapport à multiple tentatives de débauchage politique pour des rôles
ministériels corruptifs à l’endroit de M. Mbu José ayant été rejeté par ce
dernier
10. Le
Représentant Régional de Lutte contre la Drogue et Corruption au Nigéria, M.
Paul Salay a eu lors de sa visite de travail en RD Congo a rencontré le
Président et Vice – Président du COAD Réseau MM. Mbu José et Iyongen ceci, pour
clarification de l’état des lieux de la drogue et corruption en RD Congo on
retiendra que cette personnalité a rendu près de 30 années d’efforts de lutte
dans ces secteurs comme fonctionnaire international dans les systèmes des
Nations Unies et plaide la cause de la RD Congo auprès de cette institution.
Rapport d’activités axes corruption – criminalité
organisée transnationale 2006
1.
Afin de s’assurer des activités réalisées et réalisables par l’OCEP[4], le
Président National de l’ACDRO COAD Réseau M. Mbu José a eu un entretien avec la
Direction de cette Organisation, représentée par le Prof Mwendabali, où
plusieurs échanges de vue ont été discuté. Les ONGs ont convenu de travailler
avec cette structure pour appui de société civile à la lutte contre la corruption, néanmoins un protocole
d’accord partenariat devra être conclu entre les deux parties sur l’option
lutte contre la corruption et l’anti drogue.
2.
Le Président National de l’ACDRO COAD Réseau a présenté au cours de la 3ème
année d’existence de la CELC, un projet d’appui international contre
la corruption du 09/12/2006 à être financé par cette structure gouvernementale,
mais rien à faire, encore une fois, la CELC s’est démontrée non capable à
financer les activités de société civile contre la corruption. Nous prenons
acte de ce continuel manque de financement pour ce type d’activité depuis les
structures gouvernementales congolaises. De plus, l’ACDRO COAD Réseau a eu se
prononcer officiellement auprès de cette structure et à la placer sur le banc
des personnes inactives quand à la réalisation de leur mission que celle
d’ouverture d’actions judiciaires contre les corrupteurs et les corrompus forts
rependus à Kinshasa et au Congo et bien répertoriés de notoriété public, la
presse nationale faisant foi, multiples immeubles et biens publics en exergue
non justifiables, notamment aussi :
·
Le nombre des dossiers mis sous RMP et.ou RP dans les institutions
judiciaires ;
·
La liste nominative des personnes et institutions réellement impliquées
dans les prévarications, détournements des fonds publics, extorsions, spoliations,
concussions et gabegies à vulgariser ;
·
Le nombre des organisations, institutions, écoles, entreprises,
communautés de base, sensibilisées à cet effet et le résultat d’impact ;
·
Les masses monétaires et financières saisies – gelées ou confisquées,
leurs identifications et tracements.
·
Les diverses contraintes en opposition à cette lutte durant ce mandat
ainsi que leurs réelles raisons clairement dénoncées ;
3.
Les Organisations Membres du COAD Réseau ont été invité par l’OCEP en
date du 16 janvier 2006 en vue de participation à la journée de sensibilisation
des administrateurs d’institutions académiques à la Salle de Conférence du
Ministère des Affaires Etrangères. La représentation du COAD Réseau par son
Comité Directeur a été faite par MM. Mbu – Iyongen – Mme Muzairungu, ainsi que
de M. Siama respectivement Président National – Vice –Président – Conseillère
de Programmes et Responsable de la Sécurité, quelques membres de l’ACDRO COAD
Réseau ont accompagné cette suite. A cette occasion, la déclaration du 09
décembre de notre Association a été transmise à l’OCEP ainsi que les 24 paliers
IPC.
4.
La déclaration intitulée mot de circonstance du 09 au 12/ 2006 journée
internationale contre la corruption présenté par Monsieur MBU expert de
programme contre corruption de formation SADC a rendu les recommandations
auprès du gouvernement notamment de solliciter la justification de l’origine
des avoirs de tout un chacun de citoyen et installer une nouvelle culture de pratique
sociale. Cette déclaration a été rendue publique par le Journal le Phare du 11
Janvier 2007 et lancé sur le net par Allafrica.com. la Présidence de la
République – Le Parlement Congolais – la Primature – l’Union Européenne – la Banque
mondiale et le PPRD en ont reçu copies.
5.
Une lettre portant référence n° 0300/107/CG/PN/COAD avec objet de
félicitations et encouragement a été adressée au Premier Ministre avec une
présentation des 24 paliers (IPC) de corruption et à réaliser au Congo, pensons
– nous de sa part.
6.
Une lettre datée du 05 février 2006 a été adressée au Président du
Parlement Congolais afin de solliciter de ce dernier un renforcement de texte
de loi visant la justification des avoirs et l’origine des fonds du citoyen
congolais afin, d’obstruer le phénomène d’enrichissement sans cause trop
évident et voir le Parlement Congolais être catalyseur d’une orientation
culturelle contre corruption.
7.
L’ONG ACDRO a eu à solliciter du nouveau Gouvernement une audience auprès
du Ministre Près le Premier Ministre pour de pourparlers de la mise en place
d’un forum sur la question de corruption car, de toute évidence un audit national
de la Nation doit commencer depuis la post coloniale c’est-à-dire : de
1960 à ce jour et non pas uniquement sur la période dite de la transition
visant le patrimoine national.
8.
Un mémorandum a été adressé auprès du gouvernement congolais et aux
populations congolaises et exploité par voie de presse nationale de l’organe Le
Phare n° 3030 pour appel de consensus national quand à l’initial, nature, forme
et orientation de la lutte contre la corruption en RD Congo et enfin pour
définir et dégager le financement car, de toute évidence il faut exhumer les
dossiers en archive nationale depuis l’indépendance qui doivent servir de
reddition de responsabilité face au « génocide économique » de la RD
Congo et responsabiliser désormais, l’acte posé par tout être humain dans la
gestion de la chose publique.
9.
Une mise au point critique sur le rapport répressif gouvernemental 2006
de lutte anti drogue en RD Congo a été rendu public par l’ACDRO et par voie de
presse par l’organe la référence plus n° 6918 faisant état de la corruption de
ce service et présentant des pressions sur cette institution à libérer les
trafiquants des drogues.
10. Le
Président National de l’ACDRO et le Premier Vice – Président de la LIPILDRO ont
débattu sur le Canal Télévisé RNTC2 sur la question de la corruption
institutionnelle en RD Congo et sollicité des populations plus d’éveil en ce
qui concerne la lutte contre la corruption dans ses fruits. On laisse entendre
que cette émission a galvanisé le public et a été à multiple fois rediffusée
par demande populaire. Une Emission du dossier de l’écran présenté par Pierre Kangu,
journaliste.
11. Les
deux Partis Politiques les plus en vue actuellement en RD Congo depuis la fin
des élections 2006 : le PPRD et le MLC ont reçu la visite du Président de
l’ACDRO COAD Réseau afin de transmission de l’état des lieux de corruption en
ses 24 paliers et pour écoute de l’intention de ces deux personnes morales à
l’égard de cette lutte ainsi que, leur vision qui en faite refonderons l’Etat
congolais au regard des suffrages prononcés à leur égard respectivement.
12. Une
lettre de mécène à l’intention du public et au bénéfice de la personne morale
de l’ACDRO COAD Réseau a été lancée en vue de campagne de récolte de fonds pour
appui à ce programme dans les ASBL, sous le prisme Etat – secteurs privés et populations.
Malheureusement il et constaté très peu d’apport du public pour l’aide à consolidation de cette lutte tant de
la part des nationaux que de la communauté internationale valablement
représentée en RD Congo.
13. Dans
le cadre de l’appui à la lutte contre le blanchiment, l’ACDRO, a sollicité
auprès du Gouverneur de la Banque Centrale pour financement de pins à intégrer
en système administratif qui vise à rappeler la prévention contre la corruption,
assez étrange, cette banque Centrale à l’instar des autres banques Nationales
n’a pas daigner nous retourner la simple réponse par voie de Net, ceci nous
aide à mieux cerner la volonté de décision politique du quinquennat en cours et
de la majorité constitutionnelle établie (Cab.gouv@bcc.cd). Or, il y a nécessité aujourd’hui pour
cette institution à lutter contre la thésaurisation monétaire en premier temps,
thésaurisation permettant achat d’armes et terroriser les populations.
14. L’ACDRO
COAD Réseau a transmis ses vives félicitations à la Conseillère Principale en
charge des questions de bonne gouvernance et corruption auprès du Chef de
l’Etat, Mme Munga lors de sa nomination et une documentation de l’Association
par la même occasion a été introduite en ses bureaux en vue de visibilité des
efforts de notre Association sous référence ACDRO Pres 08/04/07 en attente
d’une rencontre avec cette dernière pour un entretien de vive voix et cerner le
profil de ce contact et de cette dernière.
15. En
vue de renforcer les capacités des Partis Politiques au Congo l’ACDRO a conçu
des modules préventifs et modules de formation très simplifiées des questions
de corruption ceci tant soit peu afin de dynamiser les partis Politiques
congolais contre ce cancer ainsi que, les multiples approches géostratégiques
qu’il y a à la corruption dans les Etats, il va sans dire que la question des
drogues en fait également partie.
16. L’état
de lieux de la corruption dans ses 24 paliers (IPC) a été transmise à M. William
Lacy Swing, représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies afin
d’en référer à qui de droit et apprécier l’érosion de corruption créée dans la
Nation Congolaise tant par les nationaux
que la communauté internationale en des contrats léonins.
17. Un
suivi minutieux de l’ACDRO COAD Réseau est mis en œuvre sur les activités gouvernementales de
l’OCEP mise en place, tout en considérant, essentiel, qu’il faille
prioritairement sensibiliser les agents de l’administration publique, nous
attendons également de cette direction plus de faits marquants depuis le ministère
de la Justice où manipulations, réquisitions d’informations, raquettages au nom
de la justice, gels d’informations ont été dénoncé mais non punis et non
assainis[5].
18.
Une équipe de l’ACDRO COAD Réseau se charge à réactualiser toutes les
spoliations cadastrales de l’Etat afin de permettre à terme des indicateurs
plus actualisés sur la question depuis 1990 et appeler à leurs justifications.
19.
L’ACDRO COAD Réseau a entrepris une campagne de sensibilisation au sein des
Eglises commune de Kinshasa comme une des réponses attendues par tous contre la
corruption.
20. Au
travers des activités de l’ACDRO COAD Réseau un noyau de journalistes détectives
se crée sur l’opinion corruption et drogue et à terme conclure d’une spécialité
à défendre et à s’exprimer conséquemment au bénéfice de cette lutte très
engagée. Nous laissons tomber un voile sur leur identité afin, de leur élargir
le champ stratégique d’activités de presse.
21. L’ACDRO
COAD Réseau ne cesse de rappeler aux institutions la nécessité qu’il y a
aujourd’hui à ratifier le protocole contre la corruption de la SADC et attendre
plus de dynamisme de la part de la Société Civile et de nouvelles perspectives
sur la question de la corruption de la RD Congo.
22. L’ACDRO
COAD Réseau a dans le cadre d’une émission télévisée de la chaîne RTNC 2
premier signale télévision du Congo et sous le thème de la famille à plaider et
insister sur l’urgence nécessaire et
indispensable qu’il y a à solliciter 2
milliards de dollars pour un triennal par canal de coopération bilatérale et
multilatérales bien entendu remboursables et endiguer une fois pour toute, la question
salariale et prendre le départ utile et tant attendu de la reconstruction tous conscients
à ce jour, que le congolais veut réellement toute la totalité de son effort
rendu de capacité force de travail et sortir de la grève perlée quotidiennement
réalisée en RD Congo et l’insidieuse politique d’entrainement d’hommes à la
pratique de la corruption.
23. Le
Président National de l’ACDRO COAD Réseau s’est entretenu avec le Conseiller
Socioculturel du Gouverneur de l’Hôtel de Ville de Kinshasa sur les grands
enjeux de la reconstruction qui ne peuvent passer que via une lutte radicale
contre corruption et modifier les comportements culturels des populations.
Notre associations s’engage à prévenir contre la corruption avec cette
institution républicaine si de façon non inféodée/Février 2007.
24. En
orientation de jouer pleinement les cartes du NEPAD, notamment par une
sensibilisation de son utilité ou pas, l’ACDRO COAD Réseau a sollicité de
l’USAID Kinshasa, la mise en place d’une conférence mais, l’interface n’a pas
répondu à cette demande des Associations congolaises contre la corruption. Or,
il est nécessaire de satisfaire la connaissance du public des limites que le
NEPAD a déjà présenté dans d’autres pays ainsi que quelques avantages et traduire
les recommandations de la SADC sur le NEPAD en RD Congo.
25. Nous
avons réédité auprès de la représentation de la Banque mondiale à Kinshasa
notre projet programme de lutte contre la corruption et à appuyer
l’assainissement dont se revendique cette institution dans le monde, mais
encore une fois même la règle administrative de simple réponse en réception documentaire ne
nous a pas été rendu comme égard.
26. En
date du 23 avril 2007 par M. Mbu José, l’ONG ACDRO COAD Réseau et ce au nom du
regroupement des ONGs contre la corruption a été reçu en l’audience à la
Présidence de la République par la Conseillère Principale du Chef de l’Etat en
charge de la Bonne gouvernance et Lutte contre la Corruption/BBGLC en vue de
transmission de recommandations de la Société Civile formulées en 8 points
comme indicateurs de processus à cette lutte en RD Congo, voir l’Agence
National de Presse ACP n° 1324 du 26 avril 2007 et insister sur des signes
forts depuis l’Etat.
27. L’ACDRO
COAD Réseau a transmis également auprès du BBLGC des termes de référence
d’activités visant la dynamisation de la lutte contre la corruption au Congo où
toutes les couches sociales sont atteintes comme cibles ainsi que la
proposition d’un projet forum libre débat contre la corruption. Finalement non
conclu de la part de la Présidence de la République.
28.
Les représentations diplomatiques des USA – Sud Afrique – Allemagne – Royaume
Uni et U.E ont reçu copies des recommandations de société Civile transmises au
BBGLC pour information structurelle verticale.
29.
L’ACDRO COAD Réseau a fait don au Regroupement des ONGs de prévention du Crime de 50 messages
préventifs prenant assise sur un moment socio – culturel – un questionnement et
une réponse sociale. Ces messages sont revêtus de l’exclusivité COAD Réseau et en recherche de mécènes pour
leur multiplication et vulgarisation public.
30.
Dès le retour en RD Congo de M. Potopoto point focal de SAFRAC de l’Afrique du
Sud, pour renforcement de capacité des experts contre la corruption M. Mbu José
a rencontré ce dernier en vue d’analyser l’évolution des efforts de cette lutte
en RD Congo. Il a été retenu au cours de cette rencontre qu’il ne faille
nullement disperser les efforts de la dynamique contre la corruption en RD
Congo.
31. En
date du 12 mai 2007, le Président de la Représentation du regroupement des ONGs
de prévention du crime a rencontré pour renforcement de stratégie Mme Djungadenke
responsable du programme de lutte contre la drogue de EMK,[6] cette
rencontre a porté sur l’orientation de contre corruption et de canalisation des
supports contre corruption et harmoniser cette activité avec les 180 membres
déjà formés par cette Assemblées sur ces questions.
32. Depuis
mai 2007 un forum libre débat conçu,
préparé est en attente de bailleur pour sa mise en place, douze intervenants
spécialistes des questions de corruption et bonne gouvernance porteront leur
connaissances, expertises et savoir – faire comme repères au chevet de la
Nation malade de cette cause. La République a reçu une demande de financement
de ce forum et nous attendons de voir comme indicateur si réellement, elle veut
s’appliquer à cette lutte et à cette date cela fait déjà 3 mois, que cette
dynamique se dénature on sait pourquoi ?
33. En
vue de suivre de plus près, les attentes et orientations souhaitées par la Fédération des Entreprises
du Congo M. Mbu José a rencontré le Conseiller Juridique de cette structure où,
les Entrepreneurs se plaignent quelque part de cette culture ayant pris une
assise nationale et qui n’honorent pas les congolais et le Congo. Les
entreprises du Congo sont très heureuses de toute avancée qui se présentera
dans ce domaine mais également, entendent se voir être rassuré sur le caractère
non associatif des actes de corruption qui comportent de pénalités judiciaires
aux personnes physiques et morales.
34.
Notre Association a lancé une réflexion
contre la corruption auprès de 11 Organisations superstructures des femmes sur
la responsabilité qu’emportent les femmes dans notre pays sur la question de la
corruption. L’ACDRO COAD Réseau estime que les femmes, épouses et mamans
devraient exiger de leurs maris et époux plus des mains propres et faire une
guerre contre l’argent sale au sein des foyers notamment l’argent mal acquis et
d’enrichissement sans cause. Donc, la femme a un rôle et un pouvoir fort
considérable à la résolution de la corruption au Congo et nous attendons leur
apport du fait de leur majorité sociale.
35.
Dans le cadre de sensibilisation de population par voie évangélique, plusieurs
Pasteurs et Hommes de Dieu ont déjà été contacté en plate forme par l’ACDRO
COAD Réseau en vue de mise en œuvre d’une large campagne contre la corruption
impliquant plus de 52 thèmes spécifiques pour une meilleure adhésion et
consensus national à modification comportementale face aux actes de corruption
ayant attaqué sévèrement l’âme du congolais.
36. En
vue de dynamiser l’effort national de la lutte contre la corruption et déjouer
toute association administrative aux actes illicites de corruption l’ACDRO COAD
Réseau a lancé auprès de 25 Syndicats et Intersyndicaux à ce jour son appel
national et argumentation à persuasion syndicale et de large public pour
dénonciation des faits de corruption (IC) par lesquels cette Association très
engagée en RD Congo éclaire le citoyen congolais sur les articles
constitutionnels 27 – 28 – 56 – 65 et 67 qui les délient de toutes formes
d’obéissances à des ordres illégaux et illicites depuis les institutions et qui
visent les actes de corruption sous prétexte du secret professionnel et devoir
d’obligation traduits par nous, par le silence complice pleinement pénalisant.
37. En
vue encore une fois de rencontrer la crédibilité du Gouvernement en place,
ainsi que de toutes les structures institutionnelles gouvernementales mise en
place pour la lutte contre la corruption, notre Association a recommandé au ministre
du Portefeuille à vider les dispositions constitutionnelles ayant trait à la
haute trahison de certains agents de l’Etat qui aujourd’hui, sont exposés du
fait de la ratification de contrats gouvernementaux reconnus officiellement Léonins
en vertu des articles 56 et 57 de texte constitution de RD Congo, et faire
suivre les pénalités judiciaires pour ce. Donc, histoire à suivre de près afin
de voir la capacité pénale de ces institutions à jouer démocratiquement contre elles – mêmes et alors les qualifiées
de bonne gouvernance face aux témoins que nous sommes RD Congo et percevoir la
volonté de libération longuement prônée depuis la deuxième République (9 ans).
38.
L’ACDRO COAD Réseau attend toujours de la part des institutions en place la diffusion
de noms de personnes, animateurs et profils mise en place en question de lutte
contre la corruption en ce que nous pourrions appeler commission de suivi
indépendant de lutte contre la corruption en RD Congo, que du reste, à cette
date de juin 2007 nous ne voyons pas et à laquelle la Société Civile n’est pas
impliquée par droit d’avis techniques des experts de Société Civile inscrit en
Protocole et diverses conventions contre corruption.
39. En
cette fin de semestre 2007 et après toutes les déclarations politiques s’étant
prononcé sur la lutte contre la corruption les institutions gouvernementales ne
libèrent pas 1 franc congolais aux organismes très engagés à cette lutte
notamment les ONGs de prévention du crime pour contre effet de transparence.
Cette indication pour nous se démontre très claire sur le très peu de volonté
politique jusqu’à présent, à une lutte vraie et engagée malgré toutes les
façades mise en place car, déclarer un programme demeure une chose, mettre les
structures en place en est une autre et le financer encore une autre pour fins
des résultats radicaux et de respects des textes qui fondent la troisième
République.
40.
Nous attendons pour transparence encore à cette date la dénonciation de
personnes Autorités de l’Etat qui font pression sur les organes de l’Etat à
libérer les trafiquants des drogues et mieux géré le tableau des drogues ci –
bas au Congo Kinshasa.
Les statistiques de la RD Congo sont scandaleuses
consécutifs aux déterminants de carence, de manque, de perte, de traumatisme et
de manipulation par marketing ainsi que du phénomène de ballon des drogues et
visant à corroborer les faits, la plus récente étude du PNLCT[7] et des
ONGs 2005 nous indique :
N°
|
Communes
|
Quartiers
|
Avenues
|
Sites
|
PV(5)
|
PC (6)
|
PR (7)
|
Total
|
01
|
KASA–VUBU
|
7
|
65
|
288
|
94
|
29
|
124
|
247
|
02
|
KINSHASA
|
7
|
39
|
986
|
838
|
282
|
40
|
1.160
|
03
|
KINTAMBO
|
8
|
41
|
181
|
107
|
103
|
65
|
275
|
04
|
LEMBA
|
12
|
128
|
286
|
133
|
208
|
12
|
353
|
05
|
N’DJILI
|
13
|
94
|
131
|
118
|
108
|
8
|
234
|
TOTAL
|
41
|
267
|
1.869
|
1.200
|
730
|
243
|
2.363
|
PV =
Point de vente
PC=
point de consommation
PR=
Point de ralliement des toxicomanes et gangs
A toutes nos autorités en place et en exercice de
l’impérium national ;
Aux populations congolaises victimes de la
corruption
Et à toute la communauté mondiale interface à la lutte contre la corruption
Synthèse de l’état des lieux 2eme
semestre 2007
Le modus operandis de la question de la corruption rencontrée en RDC se cristallisant le jour le
jour, consécutive à une déliquescence et mutation inconnue de forme et nature
de la puissance judiciaire rendent imperceptible et assez difficile à prédire
le devenir de cette nation pour nous experts à ces questions en RDC.
Et malgré l’évidence vraie aujourd’hui construite et
instituée des institutions mises en place acquises au prix des cinq millions
d’hommes tombés par guerres successives, l’inertie institutionnelle choisie,
sur l’aspect de la corruption et installée par un système national de gestion
et de gouvernance où, incitateurs et instigateurs (pouvoir politique) acteurs
principaux et co-auteurs (vassaux), complices (subalternes sociaux
fonctionnaires de l’Etat) et le silence complice (le large public) le silence
(communauté internationale) laissent pérenniser de façon sans égale à une
pratique sociale que à terme, rendra difficile une modification comportementale
nationale à ce sujet (hérédité environnementale).
Malgré ce, il se perçoit avec doute d’une part, dans le chef
des animateurs institutionnels, une recherche pour certains à résolution de
cette crise ainsi que de la capacité nationale à renversement, du fait de son
étendue dans le cycle sociologique et variabilité des segments sociaux
La misère sociale et la séparation des couches sociales dues
principalement par les rapports rémunérateurs salariales insignifiant, des
efforts consentis également par tous, laissent la société assez perplexe et
d’une insensibilité notoire pour la matérialisation de cette lutte, encore une
fois, de la façon radicale et obligée en cette période cruciale de deuxième
semestre 2007 ; alors que, les cibles claires de lutte contre la
corruption incontournables majeures et catalisatrices pour une perception idéologique de
comportement social contre corruption ne sont pas prises en compte et obtenir
une construction mentale et morale et une adhésion nationale à cette lutte
appellent à des signes forts contre la corruption de la part de la justice
congolaise non encore motivée.
Tout en reconnaissant depuis le 16 septembre 2007 par le
parlement et le 25 octobre 2007 par le Sénat l’adoption du protocole des
Nations Unies et conventions pour extradition ratifiées par la RDC, énormément des facteurs déterminants
sont absents et font défaut à cette lutte notamment :
1-
La conception d’un programme national face à la criminalité
transnationale
2-
Une recherche de consensus depuis l’essence populaire nationale visant
les bases émotionnelles
3-
La nécessité d’ôter toute opacité de l’histoire du Congo sur les divers
crimes économiques commis requérant une
réédition de responsabilité, la communauté internationale impliquée.
4-
Formuler une réponse face au devoir de conscience à l’endroit des
générations montantes sur l’exacte raison de la débâcle continue encore à ce
jour de la nation dans sa gestion par des réédition des contrats léonins
5-
Responsabiliser les acteurs politiques sur les divers états de lieux
connus et sur les divers segments variables
de corruption semblant ne pas inquiéter leurs orientations politiques
encore en ce novembre 2007
6-
Etablir un répertoire des cibles humaines que sont les politiques,
militaires, citoyens ordinaires connus de notoriété publique impliqués et
l’organisation de l’approche concertée des sanctions et aides à la décision
répressive tous conscients, de la criminalité de l’acte de corruption
7-
Répertorier les périodes cibles des débuts et des départs sans frein et
arrêt, de ces crises et formuler leurs construction de communications publiques
les justifiants ou les désapprenant suivis de leurs condamnations
8-
Répertorier les entreprises d’Etat,
publiques et privées impliquées et capitalisées par des fonds illicites
d’enrichissement sans cause.
9-
Intérioriser les procédures d’applications de ce programme national
visant toute na nation encore, difficilement perçu depuis les élites à la
gouvernance de la nation appelant une dynamisation fonctionnelle de
sensibilisations.
10-Le choix non encore pensé et établi de la
personnalité appropriée comme juge unique ainsi que de son profil de haute
moralité et expertise avérée qui couvrent toute la République et ayant en
maîtrise toutes les conventions internationales à la criminalité organisée.
11-La nécessité absolue de la mise en place, depuis
la RDC et des autres nations de façon claire le programme pratique de
protection de témoins tous connaissant l’environnement congolais encore peu
propice à cette lutte à cette date.
12- La présentation transparente officielle et
publique de toutes les données déjà existantes sujets à poursuite judiciaire et
leur accessibilité à tous les intervenants reconnus en protocole de la SADC.
13-La définition de la difficulté rationnelle de non
passage à l’acte répressif et contre impunité et y apporter les stratégies et
correctifs appropriés au bénéfice du pouvoir judiciaire gangrené des mêmes
effets.
14-L’organisation et production du financement des
activités gouvernementales et non gouvernementales comme un absolu de mise en
place de cette lutte.
Recommandations
La Société Civile de lutte contre la Corruption et de
prévention du crime recommande aux institutions en place :
1. L’intégration totale de l’article 4 du protocole
de la SADC notamment en ces points alinéa C – D – E – F pour conformité de
protocole
2.
Pour évidence de transparence nous attendons du gouvernement en place,
l’audit de la nation pour la période de la transition (faits prescriptibles)
3.
Nous appelons l’ensemble de la nation à une lecture unique de l’actuelle
constitution qui fonde la 3ème République notamment en ses articles
56, 57 et 188
4.
Appelons le Ministère de la Justice à l’ouverture d’informations
automatiques face à tout acte illicite ayant trait à la corruption,
détournement, prévarication et autres rendus publics chaque jour dans les
organes de presse.
5.
Nous attendons des institutions en place à plus de transparence pour tous
les cas dénoncés tant bien même depuis le Sénat et le Parlement en ce qui porte,
sur le suivi des décisions prises et options levées cloisonnées dans les
commissions en interne
6.
Attendons du Ministère du Portefeuille, la publication nominale des
personnes impliquées en contrats léonins conformément à la Constitution en ses
articles 56 et 57
7.
Afin de garantir des avancées dans le programme anti corruption en RDC,
recommandons au Ministère de la Justice la mise en place d’un juge unique pour
la République sur les matières ayant trait à la corruption à l’instar du juge
Brugaire, feu Falconne ou Eva Jolie.
8.
Recommandons aux institutions en place pour question de transparence et
d’adhésion populaire à cette lutte un compte rendu régulier en mensuel de la
gestion sur la gestion nationale sur la question de la corruption depuis la
BBGLC/ Présidence de la République – Conseiller Spécial du Premier Ministre
pour la lutte contre la Corruption et du Comité pour traçabilité des Finances
Publiques.
9. Appelons une qualification plus évidente des
personnes mises en place sur ces questions accouplées d’une expérience dans ce
domaine pour une attente effective des résultats
10. Nous
appelons les institutions gouvernementales dans le protocole de la SADC depuis
le 15 novembre 2007 à informer les Organisations Non Gouvernementales sur les
multiples contrats établis pour certains avec précipitations et rendre public
le contrat des Chinois portant sur trente années à venir en exploitation
minière du Congo)
11.
Attendons un rapport des effets du DSCRPC sur les traçabilités financières du Congo de l’année en cours 2007 ainsi que
de l’impact d’assainissement des finances publiques prônées.
12.
Invitons tous les citoyens congolais conformément à l’article 67 de la
Constitution à violer le secret professionnel, devoir de réserve et
d’obéissance sur des faits avérés et évidents de corruption institutionnelle
publique et privée. Cfr articles constitutionnels 27 – 28 – 56 – 57 – 65 et 67, nul n’est tenu d’exécuter un ordre
manifestement illégal… à l’association criminelle des faits de corruption.
13. Appelons
tous les étudiants à la dénonciation auprès de l’ACDRO COAD de toutes les
formes d’harcèlements estudiantins pour mise en place d’action publique depuis
les associations en partie civile.
14.
Appelons tous les membres de la Société Civile à dénoncer toute forme de mal gouvernance
et de corruption morale et éthique au sein des associations, reconnues biens
publics par le légataire Etat congolais et assainir la gouvernance pour fins
d’efficacité et viabilité dans la dynamique de la Société Civile.
16. Sollicitons
sans inféodation auprès du Chef de l’Etat, initiateur principal à la lutte la
corruption, un financement des activités dans les ONGs de la composante
prévention du crime en termes d’appui institutionnel
En conclusion
En vue
d’intervenir valablement contre la gravité de la corruption à l’intérieur de
notre Etat, notamment contre l’utilisation détournée de la Fonction Publique
pour des gains personnels où partis politiques et décideurs ensemble,
institutions et populations usant de la corruption dans son étendue, pratiqué
par le gouvernement et perçu par le grand public, continuellement repris et
relayé par les médias comme témoins ; notre organisation ACDRO conduisant
près de 42 ONGs de prévention du crime s’est choisie la méthode de
quantification annuelle des activités de la Société Civile, telles que pressions
sociales et lobbying communicationnels et ainsi mieux refléter une dynamique
circonvolutionnaire sur les individus, institutions publiques et privées,
communautés des hommes, femmes et enfants, les experts pays et autres
chercheurs aussi bien que les représentations diplomatiques établies au Congo
Kinshasa et modifier l’opinion nationale en orientation d’un succès annuel et
victoire à terme contre la corruption par la réduction maximale du degré
actuel.
Des indicateurs communicationnels retenus et attendus à cette
phase :
-
Le nombre d’institutions gouvernementales approchées en audience et
intéressées
-
Le nombre de rapports transmis aux institutions verticales et
horizontales
-
Le nombre de parlementaires et sénateurs membres d’honneur acquis et
rangés annuellement en causes associatives de lutte radicale contre la
corruption
-
Le nombre de lobbyings approuvés et concertés au plan mondial qui vise la
réalisation de ce programme en RDC
-
Le nombre de données sous Rôle Pénal au sein des institutions judiciaires
-
Le nombre des femmes formées comme appui à nos activités dans les foyers pour
un refus de l’argent sale
-
Le nombre des conférences produits au sein des écoles et universités
-
Le nombre des points focaux posés aux institutions, entreprises publiques
et privées
-
Le nombre de campagnes réalisés et célébrations des journées
internationales en relation
-
Le nombre d’émissions radio TV produit en intervention de consultation
ONG – Société Civile.
-
Le nombre d’organes de presse s’étant exprimé sur la question de la
corruption en général et entretenus
-
Le nombre de supports disséminés dans le grand public en pourcentage de
pénétration de la population 70.000.000 de personnes
-
Le nombre de séminaires confessionnels en assise de la corruption des
mœurs sociales
-
Le nombre d’indicateurs structurels indépendants posés
En présentant notre rapport d’activité de 2007 de
lutte contre la corruption et de prévention du crime, nous tenons de la part du
monde associatif de la République Démocratique du Congo et de la composante
Société Civile à formuler toutes nos considérations les plus franches et
remerciements, par la même occasion, à tous ceux qui nous sont sympathiques et
ceux qui contribuent de quelques manières à l’établissement des conclusions de
nos activités à tous les coins du monde.
1)
Pour ce deuxième semestre 2007 l’état des lieux sondages du CELC a été
longuement analysé par notre association ACDRO en vue de dégager les meilleures
approches sociétales à suggérer aux institutions et réduire les statistiques
présentées que de : 23% d’actes de corruption provenant de la Présidence
de la République – 13% de la Magistrature Nationale – 9,17% des Douanes
Congolaises et de 8,41% de la Direction des Impôts en ordre utile 44% des hauts
cadres nationaux corrompus – 43% des cadres d’exécution – 33 % d’agents de
collaboration – 32% les agents d’exécution ce qui forment l’hiérarchie de la
corruption nationale congolaise. Tableau sombre recommandant des actes de
puissances judiciaire fort du fait que la police est en 1ère
position suivie de la magistrature, instruments incontournables à ce niveau à
résoudre la question de la corruption ; de toute évidence, une équation
est posée à la nation ainsi donc nous soulignons nos intensives préoccupations,
l’opinion nationale avec nous, d’une telle érosion administrative
d’impuissance.
2)
Nous avons adressé au Président de la république, Sénat, parlement, au
Premier Ministre en place, au Procureur Général de la République à la Commission
de révisitation des contrats léonins la juste équitable et fondée, décision de
voir le Ministre du Portefeuille présenter tous les signataires desdits
contrats léonins en leur qualité de
fonctionnaire et les traduire en justice conformément aux articles 56 et 57 de
la Constitution et à cette date, rien ne s’est manifesté encore conformément au
respect constitutionnel ainsi, notre attente demeure de voir ces deux articles être
vidés par les institutions Cfr lettre référence ACDRO/012/06/07 PN.MP
3)
L’ACDRO ainsi que les organisations LIPILDRO, institutions pour la bonne
gouvernance et la représentation de transparence ressources respectivement
animées MM. Mbu José, Iyongen Marc, Jonas Tshiombela et de Henri Ekolo avons
débattu autours de deux émissions sur la télévision nationale RTNC2, dossiers
de l’écran du journaliste Pierre Kangu sur le thème’’ questionnement de l’état
de la corruption en RDC’’ ayant
rencontré une forte audience et rediffusée à multiple fois en incitation à une
rectitude de jugement dans l’opinion nationale contre la corruption.
Une rencontre technique se tient de façon régulière avec la
représentation de la SAFAC Sud Afrique par son focal M. Joseph Potopoto où
plusieurs documentations sont échangées au bénéfice tant de la Société Civile,
du COAD RESEAU que de la SAFAC qui vise particulièrement les efforts de cette
lutte en RDC
4)
Plus de 3.000 associations, experts gouvernementaux, institutions
internationales, Etat congolais ont eu à recevoir dans le monde le rapport 1e
semestre 2007 de la corruption de la RDC libéré par l’ACDRO. Les organes de
presse ‘’Le Phare, Le Soft, Le Potentiel, l’Observateur et la Référence Plus en
ont tous reçu copie pour exploitation à l’intention de l’opinion nationale et
notre association demeure ouverte à tout débat public avec quiconque pour une
critique intelligente de ce rapport. Transparency International, Amnesty
International, l’Union Européenne Kinshasa ainsi que le Bureau du 1er
Ministre Français ont reçu de façon particulière, cette documentation en vue de
convenir avec nous, d’une pression internationale en soutien à la RDC à se
réaliser conséquemment à l’état de lieu actuel comme déterminant.
5)
L’ACDRO COAD RESEAU a lancé un appel aux institutions en place et aux
populations congolaises en vue d’insister et se déterminer à une seule et
unique lecture de la constitution de la Troisième République face à
l’impression laissée par les deux poids et deux mesures sur certaines questions
d’intérêts national manifestement, que celle, de l’incurie de la pratique de la
corruption et garantir le triangle, transparence, bonne gouvernance et démocratie
6)
Face à l’absence continue, de la RDC, à ne pas financer nos objets et
missions encore à cette date de novembre 2007, nous avons appelé toutes les
personnes de bonne volonté à nous soutenir financièrement assez étranges, pas
de feed-back tant institutionnel que de subvention publique ne nous sont
retournés.
7)
De façon régulière, nous transmettons à l’OCEP, notre documentation pour
analyses communes et complémentaire en attente de voir cette institution d’Etat
dans son programme d’éthique professionnelle
à établir un fichier des avoirs de tout agent de l’Etat depuis 2000 et à cette
date, fichier non encore disséminé dans ce milieu comme terme évaluatif.
8)
Notre organisation ACDRO/COAD RESEAU a rencontré les membres du parti
UDEMO ‘’Union des Mobutistes ‘’ afin d’être clarifiée sur la procédure des
recouvrements des 10.000.000 Usd de Feu le Maréchal Mobutu et à savoir qui en
assurera la gestion car, on semble percevoir dans ce pays que tous ceux
considérés comme ayant pillé la République, encore peu, récupèrent leurs avoirs
allez y comprendre.
Ainsi donc, nous attendons l’épilogue de cette
histoire face à l’institution d’Etat qu’est l’OBMA (Office des biens mal
acquis).
9)
Nous avons jugé nécessaire de transmettre à la Confession épiscopale du Congo,
notre entendement sur la question de la corruption, tous conscients, de la
dimension de l’Eglise Catholique du Congo comme interface dans ce dossier ayant
trait à la nation et avons fait comprendre l’irrationalité qui existe à
revisiter tout contrat déjà officiellement reconnu léonin et des personnes
impliquées ayant trahi la nation Cfr Constitution Articles 56 et 57.
10)
Nous avons désapprouvé publiquement, le silence que la Banque Centrale laisse
peser sur le patrimoine en Or de la République Démocratique du Congo disparu ou
en dépôt que jusqu’à ce jour nous ne recouvrons pas. D’ailleurs à ce sujet,
nous en appelons à la nation au travers des institutions les plus appropriées à
lancer une réquisition d’information auprès de cette banque Nationale visant
cette situation post 1960.
11)
Nos experts de l’ACDRO COAD RESEAU ainsi que ceux de la SAFRAC, de
l’association indépendante des jeunes contre corruption ainsi qu’un expert de
la CELC le Professeur LUBOYA, analysons la dynamisation d’agents contre
corruption indépendante et plus pesé valablement encore conscients, de la façade de cette lutte en RD
Congo en cette période de novembre 2007
12)
Nous avons suite à la grande décision gouvernementale prise, que celle de
se désintéresser de nos entreprises congolaises connues de tous, subissant un
immobilisme choisi, attiré l’attention constitutionnelle des citoyens de
procéder par référendum partiel, pour cette grande décision économique, tous
conscients que ces entreprises ne sont nullement des canards boiteux mais mises
dans cet état pour d’autres fins inavouées.
13)
Plusieurs visites de courtoisies sont établies entre l’ACDRO COAD RESEAU
et l’Ancienne CELC qui visent entre autre à réorienter la dynamique nationale
contre corruption malgré vents et marrés et à ne pas disperser nos efforts et à
courber la corruption en RDC conscients, du besoin imposant de cette activité
en RDC.
14)
Les membres du comité de gestion du COAD RESEAU ont tous reçu le
programme 2005 – 2010 de la SADC contre
la corruption nécessairement en vue de synchronisation des activités, ONGs /
RDC, document stratégique pour les Associations congolaises et s’organiser à
fonctionner avec la SACC incessamment mis en place depuis la SADC – 2007.
15)
Le Président du COAD RESEAU et de l’ACDRO a rencontré pour analyses
philosophiques le Président National de l’ONG LDDH et conclut avec les experts
de cette organisations les approches de droits de l’homme totalement à
impliquer pour une réussite de cette lutte en RDC par correctif des actes posés
et un apport très considérable est rendu par la LDDH, présidées par MM Bossassi
Epole, Koka Mwepu, Belankulu, Me Kandoni, Botuli et Takamoza.
16)
Le COAD RESEAU en appui de l’ACDRO a sollicité du ministre de la Justice
la convocation d’une assemblée générale du CNILCDPC[8] et
fédéré les activités de prévention du crime transnationale telles que
recommandées par la SADC et faire jouer ce rôle approprié à ce comité notamment
de transparence et de bonne gouvernance judiciaire.
Nous attendons donc encore à cette date, la
décision éthique du Ministre de la Justice fin novembre 2007.
17)
Plusieurs experts de notre
association sont de façon régulière à l’écoute de toutes les émissions des 50
chaînes de télévisions et Radios congolaises en vue de décrypter , la
participation ou pas des acteurs sociaux politiques à une pratique de probité
publique et suivie des actes d’Etat
ayant trait à la lutte contre la corruption et la bonne gouvernance.
Cette approche permet également une plus large
dimension d’intervention de Société Civile contre la corruption par droit de
réponse et à débattre avec les précités n’ayant pas nécessairement, une
orientation suivant le plan de la lutte contre la corruption de la SADC, que
celui de la RDC, d’ailleurs pas bien précisé encore à cette date.
De la même méthodologie nous pouvons apprécier
les fréquents questionnements de l’opinion publique comme indicateurs à
résolution.
18)
Encore à cette date de novembre
2007, le Sénat congolais ainsi que le Parlement de par leurs débats publics nous
avons pu percevoir et cerner la tentative de fragilisation des élus du peuple
par insécurité dirigée en vue de recherche à muselage de ces personnalités
institutionnelles, s’agissant de la corruption.
Ceci laisse penser que les ONGs de lutte contre
la corruption se sentent également dans ce même état d’insécurité.
Il est bon que la communauté internationale
prenne acte de cette forme de gestion humaine venant de la part des
institutions congolaises en place.
19)
Au cours de ce deuxième semestre 2007, il a été fait transmission
documentaire au FMI par lettre ACDRO/014/012/07/PN/FMI en vue de sollicitation
d’appui financier indépendant pour la lutte contre la corruption en RDC. Notre
organisation reste sans réponse administrative de cette institution en
résidence en RDC.
20)
Une contribution technique au In
ac ‘’intégrité en action’’ structure des experts nationaux à la lutte contre la
corruption a été produite en vue d’aider la dynamique nationale de cette lutte.
21)
Une étude comportementale de
réseaux intérieurs étatiques de corruption a été menée et élaborée qui présente
la structuration des personnes et associations des personnes en nature, forme,
type et modus operandis de corruption et rendu public au bénéfice de ce
programme national comme indicateur à démantèlement.
22)
Une palette des questions de comportements sociologiques de corruption
morale a été élaborée par l’ACDRO pour un sondage public a échantillon de 500
personnes visant tous les milieux sociaux et interpréter la perception de
l’érosion morale de corruption sociale en RDC 2007, les résultats seront rendus
publics.
23)
Notre organisation en sa mission de prévenir le crime a reçu la plainte
du Professeur Luboya, expert de corruption depuis les institutions
gouvernementales et la mise aux arrêts dont il a fait l’objet malgré toutes ses
immunités consécutives au rôle dont il a produit au sein de la CELC. Encore une
fois, il est prouvé par cet acte que des difficultés réelles sont manifestes à
protéger valablement les activistes contre corruption au Congo en ce novembre
2007 où, cette personnalité a été mise aux arrêts et poursuivie, relâché alors
détenant une immunité gouvernementale d’expert contre corruption. Cette
situation appelle la communauté internationale par l’ODCCP et l’UNICRI à
garantir une protection pour les
activistes congolais dans cette lutte.
Cet acte a été posé par un certain Monsieur NGOT
dont l’affaire est suivie avec copie auprès de la Présidence de la République.
24)
En ce semestre 2007, notre
organisation ACDRO COAD RESEAU a pris part comme composante de la Société
Civile à la journée d’appui à la bonne gouvernance locale à laquelle ont
participé, les Ministres provinciaux de Kinshasa ainsi que les députés
provinciaux avec le Gouverneur de la Ville de Kinshasa pour la transmission du
document de travail intitulé : Gouvernance
de la Ville Province de Kinshasa Capitale de la RD Congo avec l’appui du
PNUD/AIT représenté par Monsieur Daniel STROUX. Un appel à l’éthique a été
lancé pour la gestion de ce programme en RDC et particulièrement par cette
ville province. Un constat majeur demeure dans ce rapport du début à la fin, la
mal gouvernance par la corruption généralisée.
25)
M. Potopoto Joseph, point focal
SAFRAC RDC, Professeur Luboya, expert CELC, M. Mbu José, Président ACDRO COAD
et M. Bertin Mulongo de l’organisation contre l’immigration clandestine ont
produit comme fondateur les textes statutaires de la nouvelle organisation
d’experts indépendants ‘’intégrité en action’’, structure appelée à faire
office à un groupe d’experts indépendants pour la RDC en matière de corruption.
Notre approche COAD, au sein de cette structure
est de la présence de 42 ONGs anti drogue et anti corruption pour dynamisation
sociale.
26)
En ce Novembre 2007, le ministre
de la Justice de la RDC, Roger Miessi a reçu en audience technique les experts
indépendants que sont MM. Mbu José et Joseph Potopoto pour analyses de l’état
de lieux de la corruption et sa dynamisation. L’ACDRO COAD RESEAU a transmis au
Ministre les Rapports d’activités 2004, 2005, 2006 et 1er semestre
2007 de la corruption de mains propres.
M. Potopoto au cours de cette audience a obtenu
l’appui décisionnel du ministre en ce qui concerne la traduction et la
production de tous les documents de travail de la SADC qui visent la corruption
tous conscients, du rôle linguistique et du véhicule communicationnel du
français en RDC.
La traduction de ce document permettra la
dynamisation de toutes les organisations gouvernementales ainsi que la Société
Civile dans cette lutte et s’harmoniser avec l’esprit de la SADC. Des
félicitations ont été formulées depuis
son Excellence à ces deux personnalités pour leurs efforts en cette
lutte.
27)
L’ACDRO/COAD RESEAU s’est prononcé
sur la participation des ONGs : Fondation OSISA, Carter et Rotshilde en ce
qui concerne leurs apports à la révisitation des contrats officiellement
reconnus léonins par l’Etat congolais.
L’ACDRO leur a exprimé toutes ses craintes et a
déploré la procédure gouvernementale du fait des articles 56 et 57 de la
Constitution qui décident de la traduction en justice d’ipso facto des agents
de l’Etat impliqués qui n’est d’application.
L’ACDRO persiste et signe à requérir dans
l’application la conformité des textes constitutionnels face aux contrats
léonins.
28)
Du 12 au 14 novembre 2007, l’organisation SAHRIT Sud Africain
a invité le Conseil National des ONGs de lutte contre l’abus et le trafic
illicite des drogues et la prévention du crime COAD RESEAU à l’Hôtel Arcadia
Prétoria Sud Afrique pour un atelier consultatif de la société civile pour la
promotion régionale et le lobbying visant l’harmonisation des législations et
le suivi de la mise en place de ce programme en RDC. Le COAD RESEAU a donné
mandat au point focal de la SAFAC, M. Potopoto pour sa représentation.
Rapport d’activités axes corruption – criminalité
organisée transnationale 2008
1)
Dès le mois de janvier 2008, l’organisation ACDRO par son président national a eu à
rencontrer M. Potopoto, expert près la SAFAC en
RDC ainsi que le Professeur Luboya expert en charge de la Bonne gouvernance et leadership pour multiples
échanges ayant trait à l’avancement de la lutte contre la corruption en RDC et
tous trois à ce sujet avons décidé de mettre en place une structure nationale
de lutte contre la corruption regroupant les ONGs de haut niveau technique et
indépendants en vue de soutenir et de souligner une vraie démarcation
oppositionnelle associative et également, lors de cet entretien toutes les
questions ayant trait à la lutte anti drogue ont été analysé comme indicateurs
terrains 2008 en rapport des attentes de l’ODCCP, ONUDPC de la réduction de
l’offre et de la demande des drogues.
2)
Un contact annuel du Président National de l’ACDRO/COAD RESEAU a été
effectué avec les membres de l’ACDRO de toutes les communes pour fin de transmission
des vœux et débats pour les nouvelles stratégies 2008 à appliquer. Plusieurs
documents élaborés par le comité de gestion du COAD RESEAU ont également été
transmises pour meilleures argumentations publiques et dénonciations des faits
contre les pratiques de corruption et inciter à la mobilisation publique contre
ce fléau en RDC
3)
En vue de recherche de financement, le Président de l’ACDRO et du COAD a
été reçu à la Banque mondiale Kinshasa, par Mme Louise Engulu en charge de la
communication de cette institution. L’état de lieu de la corruption en RDC leur
a été transmis pour gouverne et une demande de subvention pour ONGs a été faite
mais comme de coutume cette institution n’a pas satisfait à notre demande soit
dit que la banque Mondiale ne finance pas ce type d’activités. Ces propos nous
ont paru fort contradictoires, du fait qu’un fonds de lutte contre la
corruption existe au sein de la banque Mondiale à chacun d’apprécier de l’ordre
de quarante milliards de dollars sous Zoellick.
4)
Au mois de février 2008 nous avons mis en place dans le cadre de
l’émission dossier de l’écran de la RTNC2 présentée par le journaliste Kangu une
émission de sensibilisation et de promotion des activités contre corruption
faisant état des réseaux de corruption et des lois en RDC. L’audience de cette
émission était nationale et nous pensons avoir atteint près de 15.000.000 des
téléspectateurs en terme évaluatif de sensibilisation.
5)
Notre organisation a eu à rencontrer Mme Munga, ex-conseillère principale
près le Chef de l’Etat pour la bonne gouvernance à ce jour ministre des Postes
et télécommunication en vue de sollicitation d’un appui institutionnel pour
notre lutte, mais encore une fois quelle n’a pas été notre déception à son
écoute, nous entendre dire qu’il n’ya pas des moyens pour cette lutte alors que
ce Ministère est cité en corruption des bandes fréquences, etc.
6)
Plusieurs documentations préventives ont été conçues et élaborées au
nombre de 70 spécimen par l’ACDRO CAOD en vue de toute éventualité de
financement comme supports communicationnelles publics : tracts,
dépliants, A4 et affiches en lingala et français, documentations à imprimer au
minimum pour 6 millions d’exemplaires faisant le 1/10e de nos
populations et croire commencer une vulgarisation publique.
7)
Un contact par documentation administrative a été introduite auprès de la
DFID – Kinshasa près l’Ambassade de Grande Bretagne pour un éventuel
partenariat avec cette organisation. Encore une fois, aucune réponse en sens de
respect administration et égard ne nous a été accordé et ce en terme de bonne
gouvernance tant clamée par ce dernier.
8)
Une analyse des dossiers en cadastre minier en RDC pour les contrats
léonins et prise de position de notre part a été lancée et rendu public en vue
de la mise en accusation et radiation de ce type des contrats. Les membres du
COAD RESEAU ont reçu cette analyse pour une dynamique commune contre ce système
de gestion du patrimoine public. Il a été demande depuis notre organisation, un débat public
avec le ministre ayant responsabilité de prévarication de ces titres à une
émission télévisée mais ce dernier a refusé l’offre à débat public. Nous des
citons le ministre des Mines d’alors (2004).
9)
Après réception et pour transmission aux membres du COAD RESEAU et
membres également du CONAC/RDC, plusieurs documentations de gestion ont été
données pour gouverne dont :
1-
Document de représentation/CONAC
2-
La prévention des grandes entreprises/CONAC
3-
Le plan d’action 2008 de la CONAC /RDC
4-
La stratégie nationale de lutte contre la corruption /CONAC/RDC
Cette activité à base documentaire a permis
l’élévation et la dynamisation de cette structure contre la corruption en RDC
notamment en des activités par voie de presse télévisée.
10)
L’Organisation ACDRO dans son axe
contre corruption a eu à analyser le code d’éthique congolais pour agents de
l’Etat par une évaluation de terrain notamment de l’impact réel, cette étude et
approche évaluatives ont été rendues publiques et transmises à la Direction
générale de l’OCEP, du ministère de la Fonction Publique organe concepteur de
ce Code fin mars 2008 et notre conclusion a été que, ce document n’est pas pris
en compte en ce moment dans la Fonction Publique faute de multiples éléments
sociaux.
11)
Le Président de l’ACDRO et
Président en exercice du COAD RESEAU à rencontré le samedi 22 mars 2008 la
plate – forme des hommes de Dieu de la Commune de Ngaliema/Ozone en vue de voir
comment mettre en place un programme préventif au sein et avec les Eglises pour
une nouvelle redéfinition de la
dimension spirituelle contre la corruption. A cet effet, un contrat programme a
été élaboré pour conclusion des termes de référence. De la même manière pour la
commune de la GOMBE le Pasteur René Futi Luemba a reçu le dit projet programme.
12)
Afin toujours d’intervenir en faveur de cette lutte le Professeur Luboya Administrateur
de bonne gouvernance et leadership a rencontré le personnel administratif du
PNUD/RDC et a transmis de la documentation en vue de la mise en place d’un
cadre de concertation et de collaboration des experts congolais depuis la
Société Civile au travers de M. Guy Kalasi. Encore une fois, une pesanteur
notoire s’est perçue en contradiction de cette initiative depuis le PNUD RDC
13)
Le président National de l’ACDRO/COAD a rencontré Mme Malamba Chantal,
conseillère près le Chef de l’Etat à la Présidence de la République afin, de
lancer encore un plaidoyer depuis sa personne en vue de voir une plus grande
catalysation de cette lutte depuis et près le Chef de l’Etat, d’autant plus, que ce
dernier a eu à faire une promesse électorale à ce sujet.
De toute évidence, les activistes congolais en
lutte contre la corruption n’ont pas cessé de frapper à toutes les portes afin
de soutenir cette lutte en RDC et de
déterminer les institutions pour traduire en des faits matériels et palpables
la conclusion de cette lutte.
Il semble se percevoir pas mal de conflits
d’intérêt depuis les institutions politiques congolaises à tous les niveaux structurels
et laissent le régime en place en incapacité de lutte vraie.
14)
Comme d’accoutumée l’ACDRO/COAD RESEAU n’ont pas cessé de matérialiser
leur collaboration avec l’OCEP ‘’l’Observatoire congolais pour l’éthique
professionnelle dont le Professeur Mwendambali assume la Direction Générale. Au
cours de ces entretiens et rencontres de très franche collaboration sont
manifestées par les deux parties. Néanmoins les ONGs insistent à cette date
pour plus d’avancée de ce programme en général et toutes sortes de débats
techniques sont engagés pour dynamiser cette lutte nationale qui avance à pas
de tortue.
15)
Le Professeur Luboya, expert de bonne gouvernance et partenaire dans la
CONAC a rencontré via le PNUD l’organisation béninoise contre corruption en
visite de travail à Kinshasa et ce dernier
a transmis à nos amis et au PNUD l’état des lieux de la corruption en
RDC ainsi que tous les efforts réalisés par voie de presse écrite,
Radiotélévisé et virtuelle et matérialiser la présence des ONGs congolaises car
il semble être dit que les ONGs congolaises ne sont pas très représentatives
dans la matière.
16)
En ce deuxième semestre 2008 près
de 400 organes de presse congolaise ont été depluché en vue d’établir les
indicateurs qui citent les actes de corruption et de mauvaise gouvernance. Tous
ces actes ont été segmentés et étudiés avec des visées stratégiques pour chaque
segment de société et ont présenté les IPC/RDC de corruption 2008 des
indicateurs de perception de corruption 2008
17)
Plusieurs documentations en terme de plaidoyer, analyse, appelle de bonne
gouvernance et recommandation, mise à
niveau institutionnelle par ICCN Narcotique ont été transmises aux ministères,
institutions, organisations internationales et non gouvernementales et reflétée
l’opinion de la Société Civile congolaise en totale désapprobation sociétale
contre tout acte de corruption et de prévarications d’Etat. L’essentiel pour
nous dans cet environnement est de souligner notre détermination et influencer
contre ces comportements dans la société congolaise et toute la société
congolaise commence à convenir de lutter contre ce fléau national
18)
Par invitation pour une formation exécutive de la DIILS américaine,
institut des études juridiques internationales de défense pour un séminaire de
formation sur les aspects et actes juridiques de lutte contre la corruption
ayant visé :
1-
La convention des Nations Unies contre Corruption
2-
La convention de l’Union africaine sur la prévention et la lutte contre
la corruption
3-
La convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale
organisée
4-
Les recommandations du Conseil de l’Europe sur les Règles communes contre
la corruption dans le financement des partis politiques et campagnes
électorales
5-
Les résolutions adoptées par l’Assemblées Générale des Nations Unies sur
l’entraide judiciaire et la coopération internationale en matière pénale
6-
La transparence budgétaire et meilleure pratique de l’OCDE
7-
Le code de conduite pour les agents de l’Etat, l’ACDRO/COAD a pleinement
participé à cet enseignement de très haute qualification.
Cette formation a sanctionné notre organisation
par un brevet et le formateur principal a été le Général de l’Armée Américaine
NEVILS, Premier procureur près la Cour martial des USA. Une restitution de
formation a été faite aux experts de l’ACDRO par Mr MBU José expert pays
ACDRO/COAD.
19)
L’organisation Bercy de Mme Kamitatu
Bomboko, ayant mission de sondage public a transmis à notre organisation ACDRO
Asbl, le rapport 2007 de Transparency International en rapport aux divers
piliers d’intégrité dans notre pays. Ceci, pour une meilleure visualisation de
cette question et approche plus profonde à l’analyse de réformes
institutionnelles.
Ce document a servi de document de travail pour
la restitution au sein du COAD RESEAU.
L’ACDRO a tenu à féliciter ici, les divers
rédacteurs de ce document catégorisé de très haute portée technique et cela
conçu par des congolais.
20)
Les experts Potopoto, Luboya et Mbu se sont réunis en séance de travail
pour une analyse technique au profit du ministère du Portefeuille en ce qui est
du programme de l’énergie électrique que propose l’entreprise Mag Energy à
notre pays.
Plusieurs contre – indications ont été produites
et rendues publiques à faciliter la décision institutionnelle accompagnée d’une
émission télévisée à large impact sur Antenne A.
21)
L’Organisation ACDRO/COAD RESEAU a élaboré un programme national auquel
toutes les organisations non gouvernementales de lutte contre la corruption
pourront intégrer et faire avancer la dynamique nationale de cette lutte en
quête d’un programme clair qui vise la Société Civile en ses 19 activités
locales, provinciales et nationales et réduire véritablement les actes de
corruption de notre société si bien sûr financé, à la hauteur attendue de
1.952.000 dollars pour un triennal car il est illusoire de lutter contre les
milliards de la corruption par des financements modiques de 500 dollars pour cette
activité nationale programme à intégrer intitulé :
Elévation de front
social contre corruption et conversion
en visibilité
1.
Prévention publique TV
·
Pression et mise en place de front et modification d’opinion nationale
2.
Prévention publique Radio
·
Pression et mise en place de front et modification d’opinion nationale
3.
Prévention par sensibilisation évangélique
·
Visant exhortation à restitution des biens mal acquis
4.
Supports publics et supports de communication
·
Sensibilisation et campagne de proximité individu
5.
Formation des leaders
communautaires
·
Accompagnement des activités
6.
Communication universitaire
·
Mise à niveau des potentiels cadres
7.
Sondage et études des entreprises
·
Evaluation de la corruption – conversion des stratégies d’entreprises et
alertes d’entreprises contre corruption
8.
Société Civile contre corruption
·
Dynamisation de 50 superstructures nationales et provinciales
9.
Partis Politiques
·
Conscientisation des divers textes constitutionnels et conventionnels
10. Elus du
peuple
11.
partenariat ONG – Fonction publique
·
Activités communes
12.
Sensibilisation au niveau des postes et services de police
·
Information complémentaire du caractère irréversible des lois
13.
Investigation
·
Achat documentaire des matrices pour plaintes publiques
14.
Installation TIC anticorruption
·
Mise en place des sites associatifs électroniques et formations à
distance.
15. Traduction documentaire des programmes de la SADC – ONG – Société
Civile
·
Maîtrise des programmes interrégionaux
16.
Erection d’une bibliothèque visant les conventions internationales
·
Acquisition de 42 conventions, traités et recommandations internationaux
de prévention du crime.
17. Présence de rencontre extérieure de représentation Société Civile
Congolaise contre corruption
·
Lobbying international et régional
18. Elaboration
du rapport annuel et sectoriel RDC contre Corruption
·
Visualisation de l’état des lieux, résultats des activités et traduction
anglais
19. Multiplication de l’organe ICCN – Narcotique
Et tant que la RDC ne libérera pas des fonds de
lutte conséquente il ne faudra pas s’attendre à des réalisations efficaces
contre ce phénomène
22)
L’ACDRO COAD RESEAU dans sa lutte contre la corruption a relevé
l’ensemble des dispositions constitutionnelles contre la corruption et l’a
coulé sous forme de dépliant pour aide sociale à mémorisation et une partie a
été retourné au parlement et sénat congolais pour sollicitation d’application
in extenso.
23)
Une analyse sur l’évolution sociétale de la réforme institutionnelle a été faite également, pour suivi de cette
activité gouvernementale de conversion des entreprises et leurs nouvelles formes
de gouvernabilités ainsi que probablement de l’origine des fonds à
recapitalisation qui demeurent opaques à certains cas.
24)
Une rencontre technique a permis de croiser les 3 organes de presse et de
sensibilisation des nos activités sur cet état des lieux spécialement les
organes : ICCN Narcotique, Graig et Ngulu respectivement des associations
ACDRO/COAD – Graig et Ngulu visant une dynamique en vue de plus de visibilité
de ces supports publics.
Ces documents ont été transmis, encore une fois,
à M. Guy Kalasi du PNUD en vue de leurs financements et jusqu’à présent nous
sommes en attente d’une réponse favorable du PNUD pour l’impression.
25)
Plusieurs émissions télévisées sous le titre de dossiers de l’écran de la
chaîne RTNC2 ont été produites cette année par le journaliste titulaire Pierre
KANGU en vue de pression et modification d’opinion nationale avec notre
participation.
A ce sujet, nous remercions également le
Ministère de l’Information et Presse pour la facilitation que nous avons eu à
faire l’objet. (Voir les bandes archives RTNC et rapports de communications
Presse ACDRO.COAD RESEAU) ci en annexe.
26)
Vers la fin de ce deuxième semestre 2008, plusieurs supports ont été
élaborés encore une fois, pour une vulgarisation publique portant titre :
1-
Responsabilité et conséquence du silence
2-
Responsabilité citoyenne et constitutionnelle contre la corruption en RDC
3-
Et de 8 supports tracts de lutte contre la corruption des matières
électorales
27)
Par voie virtuelle d’Internet, notre organe de presse ICCN Narcotique
mensuel électronique a produit 26 numéros mensuels à 3.000 exemplaires chaque
transmission où sont touchées les institutions gouvernementales, toutes les
diplomaties en RDC ainsi que tous les experts de cette question dans le monde
et ce, mensuellement et situer les efforts de la RDC dans cette lutte.
Ce document électronique se parfait le jour le
jour dans la qualité et le fond du sujet et nous présentons toutes nos excuses
pour les quelques coquilles.
28)
Les experts de l’ACDRO/COAD RESEAU ont élaboré après observations,
lecture et analyse la typologie des réseaux de corruption et de criminalité
institutionnelles établies en RDC comportement contraire à l’application de
l’instrument du code d’éthique de l’Agent Public de l’Etat et au Statut
du personnel de Carrière de la Fonction Publique Congolaise. Ce travail
a été rendu public pour maîtrise de l’environnement et transmis au groupe de
réflexion de la banque Centrale contre le blanchiment et le financement du
terrorisme via le Directeur Faizi et l’Analyste Superviseur ILITO/Banque
Centrale du Congo dont schéma des réseaux ci – bas :
1-
Individu fondé de pouvoir agissant en singleton et sous double
cloisonnements
2-
Groupe restreint d’individus (3 personnes) agissant sous le double
cloisonnement
3-
Tout un service au courant des manœuvres de corruption et gardant le
silence, renseignements administratifs entendus
4-
Des cadres directeurs, gardent le silence devant certaines situations
intéressées,
5-
Des cadres directeurs négocient, le Secrétaire Général sachant et signant
par contre partie
6-
Le Secrétaire Général devant le Ministre opérant l’illégal
7-
Le ministre et son cabinet prévariquent et le silence est tenu
8-
Des ententes entre ministres sont conclues et exprimées en contre partie
9-
Des ministres et cadres supérieurs directeurs, agissent en aparté
cotérique et ethnique sur le patrimoine national
10-
L’ensemble de la hiérarchie est coiffé par des autorités directes au
sommet
11-
Un réseau de rencontre extérieure des cadres est établi où, le Ministère
est complètement dirigé et réorienté depuis les décisions extérieures à
intérêts illicites
12-
Les sentinelles (surveillants) utilisent les lieux institutionnels
nuitamment tels que lieux de rencontre
13-
Et, le secret professionnel, devoir de réserve et devoir d’obligation
sont les cloisonnements informationnels qui sont utilisés comme instruments à
la réalisation des actes de corruption.
Rapport d’activités axes corruption – criminalité
organisée transnationale 2009
1. En début d’année 2009 nous avons encore une fois lancé
un appel auprès de M. Guy Kalasi du PNUD pour plus
d’orientations qui visent ce combat mais à notre avis et en finalité, nous
croyons comprendre que cette organisation semble faire marche arrière face à cette lutte. Nos stratégies de lutte
et plan d’actions clairement établies n’ont reçu aucun écho malgré ses
multiples promesses faites à l’ACDRO pour ce, et en rapport à la Convention des
Nations Unies contre la Corruption. Cfr correspondance électroniques
2.
L’ACDRO/COAD a transmis à l’OCEP les matricielles de 40 supports qui
visent le FONALC ‘’Forum National de Lutte contre la Corruption’’ qui prendra
incessamment lieu pour leur financement en l’occurrence de 20.000$ ;
encore une fois, cette institution n’a pas fait écho à notre demande assurément
faute de financement. Encore une fois nous observons ensemble que la RDC ne
veut pas financer sa lutte.
3.
Le point focal de la SAFAC Sud Afrique/RDC M. Potopoto Joseph a eu à
prendre contact avec le COAD RESEAU ceci pour des séances de travail. Plusieurs
compte – rendus des deux parties sont échangées comme nouvelles orientations et
précautions à prendre face à la criminalité de col blanc de plus en plus en vue
installée et entretenue en RDC. A chaque réunion, les deux parties établissent
et réactualisent un panel situationnel et nominatif des personnes impliquées
dans les institutions et des activités de corruption perçues de façon notoire.
4.
Dans le cadre des activités anti
drogue et contre le tabac en 2ème segment de lutte de
l’ACDRO/COAD RESEAU, l’ACDRO a été invité à un séminaire de travail par l’OMS
/PNLCT ministère de la Santé en vue d’élaboration des stratégies et lignes
directrices du Comité Multi sectoriel contre le tabagisme en RDC à la salle de
conférence de l’Hôpital de Kintambo.
Plusieurs résolutions bien évidemment ont été
prises ; mais même ce secteur semble ne pas être épargné de la corruption
où les tabassicoles participent à l’élaboration de la loi tabac chose
majestueusement interdite par l’OMS à travers le monde. La contre bande du
tabac est constatée également en RDC, et l’organisateur ministère de la Santé par
le PNLCT s’est montré au cours de ces séances incapable de faire vider les
lieux les personnes non indiquées
5.
En cette date de 2008, plusieurs émissions sur les chaînes de télévisions
ont été mise en place par l’ACDRO ainsi que de M. Jonas Tshiombela coordonateur
de la nouvelle Société Civile afin d’orienter et de faire pression sur les
institutions et d’évoluer car, cette lutte semble avancer véritablement à pas de
tortue. Le cadre de ces émissions a été la RTNC2 et autres où on compte à cette
date près de 37 émissions produites par la télévision où nous dénoncions cette
absence de sensibilité des institutions gouvernementales face aux alertes de
corruption lancées depuis la Société Civile par les Experts : Iyongen,
Muzairungu, Kimanda, Mbu, Poto Poto, Luboya, Me Ekolo, M. Mbombo et Me
Kitambala
6.
La Nouvelle société Civile conduite par M. Jonas Tshiombela a reçu
plusieurs documentations scientifiques du laboratoire du COAD RESEAU pour mise
à niveau et activités communes avec son organisation.
7.
En vue de l’ouverture des frontières sur l’Afrique australe par la SADC
d’ici 2011, l’ACDRO/COAD RESEAU et la SAFAC RDC,
rappellent constamment la RDC du retard qu’elle présente et accumule sur le
programme de la SADC sur la question de la corruption, car au terme de l’année
2010 tous les pays membres de la SADC devront être à même réalisation des
efforts en ce qui porte contre la corruption alors que encore à cette date, le
citoyen congolais n’a pas de carte d’identité hermétique ; comment
s’assurer alors, des ressortissants de la RDC tous conscients aussi que le
Passeport congolais n’est pas à la portée de toutes les bourses (250 Usd).
8.
De façon régulière le COAD RESEAU superstructure de plus de 45 ONGs de
lutte contre la Corruption fait des contacts de convivialité avec ses membres
conscients malgré toutes des difficultés de leurs fonctionnements mais
également de l’attachement qu’ils ont à désirer lutter ; nonobstant,
toutes ces associations ont mis en place un réseau d’information contre la
corruption fort nécessaire et considéré comme informations stratégiques. Malgré
cela, le COAD RESEAU présente au gouvernement au nom de toutes ces associations
et de façon permanente toutes les recommandations de leur part avec essence
populaire et expertise de conseil gouvernemental.
9.
Dans le sens d’appui à son Eminence le Cardinal du Congo, Laurent Monsengwo
Pasinya dans sa lutte contre le kuluna, supu na tolo et corruption, l’ACDRO
COAD RESEAU a collaboré avec la télé RTCE pour dynamisation de cette lutte par
expertise technique plus appropriée à ce phénomène posé dans nos populations
tous conscients, de la responsabilité associative des ONGs et de ses missions
anti drogues et contre criminalité organisée et deux émissions TV ont été
faites dans le cadre de l’émission ‘’Gaieté Matinale’’.
Nous encourageons notre Eminence le Cardinal à
persévérer et il peut s’attendre à l’appui inconditionnel de notre part pour
cette lutte.
10.
A la demande de l’éveil du Congo Londres/ Grande Bretagne sur l’état
exact de la corruption dans ses IPC et indicateurs de faits avérés de
corruption le Président du COAD a reçu la représentante de cette organisation Mme
Solange à Kinshasa, et un rapport de toute la situation actuelle de la RDC lui
a été transmise afin, de sensibiliser le milieu congolais de la diaspora et
lutter ensemble tant depuis l’intérieur que l’extérieur par une communication
exact et saine.
11.
L’organisation ACDRO/COAD RESEAU a élaboré 72 recommandations pour le
forum national tant appelé des experts congolais afin de produire la stratégie
nationale de lutte contre la corruption (FONALC) ce document vous est mis en
annexe pour lecture. En texte d’accompagnement intégré
Dans les mêmes circonstances un avant – projet de
loi contre la corruption est conçu en essence populaire visant justification
des avoirs de tous les citoyens congolais sans exception aucune.
Près de 250 supports de recommandations de ce
document ont été distribués lors du forum national et financé par un député à
philosophie de cette lutte aux 450 participants convoqués au FONALC
12.
Un appel de fonds visant la lutte contre la drogue et la corruption
depuis de public a été lancé afin de combler cet éternel manque de financement
de nos organisations pour mieux s’attaquer à cette lutte, on observe les
congolais comme peu mécènes
13.
Le COAD RESEAU a ouvert une large campagne pour les jeunes contre la
corruption depuis les églises et les quartiers en terme de Clubs d’intégrité et
de lutte contre abusive des drogues
14.
Au cours de ce 2ème semestre 2009 il a été encore question des
consultations régulières avec les membres du CONAC pour actualisation des
analyses communes et des résultats réalisés contre la corruption en RDC.
15.
L’émission Nzete ya Bwania de la chaîne Web Tv du pasteur Blaise Toko ayant
invité le Président Mbu et le Délégué Général de l’Agence de Presse du Congo
comme contradicteur sur un thème portant sur la corruption où il a été fait
appel à la mise aux arrêts de toutes les autorités corrompues, cette émission
enregistrée a été censurée depuis Web TV ont ne sait pourquoi.
16.
Plusieurs rapports d’activités de l’ACDRO/COAD RESEAU dans son axe de
lutte contre la corruption sont transmis aux organes de presse nationale et
internationale pour visibilité publique des efforts rendus par cette dernière en référence de ligne
d’intégrité malgré que année sur année cette ONG ne reçoit de financement de
l’Etat congolais « difficile de museler l’ACDRO/COAD »
17.
Une organisation et contact visant plaidoyer et lobbying sénatorial
contre la corruption, avec l’ACDRO a été promu via correspondance de façon à
entendre plus de voix en faveur de cette lutte depuis cette institution
legistique de nos lois. Cfr Honorable Kengo wa Dondo, Mokolo Wa Pombo et
Evariste Boshab présidents de Sénat et Assemblée Nationale.
18.
L’Organisation ACDRO/COAD RESEAU a été retenue comme organisation experte
et technique à participer au premier forum national contre la corruption en
RDC ; pour rappel, l’ACDRO/COAD RESEAU a été formée par toutes les
organisations les plus illustres de lutte contre la corruption dans le monde
notamment : UNODC – SADC – GREB – CNILCDP – DIILS Américain – OCEP RDC et
à ce jour cette organisation s’est réputée comme organisation formatrice des
masses et institutions pour transfert de
technicité stratégique axe prévention du crime
Rapport d’activités axes corruption – criminalité
organisée transnationale 2010
1.
Pour cette année 2010, plusieurs activités ont été mise en œuvre,
notamment la presse nationale a sollicité plusieurs interventions de
l’ACDRO/COAD afin d’éclairer l’opinion nationale sur les enjeux du FONALC et
les résolutions élaborées et adoptées par les experts en ce Forum (Voir rapport de
presse – communication). Ainsi, tant la presse écrite, radio que télévision a
produit cette association très communicative et comme organisation pivot en RDC
sur cet axe, d’ailleurs, à ce sujet, ont été produits 133 présences de presse
écrite, 8 de presse radiodiffusée, 55 présences en presse télévisées et 26
présences en bulletins électroniques mensuels où les manifestations contre
corruption en RDC sont dénoncées.
Bon nombre de personnes au sein de la population
congolaise considère en toute modestie l’ACDRO comme une organisation dominante
et référencière dans cette lutte nationale, pour sa ligne d’intégrité
communicationnelle et constance.
2.
L’OCEP du Ministère de la Fonction Publique a invité l’ACDRO/COAD par son
Président M. Mbu ainsi que M. Potopoto en représentation focale de la SAFAC à
participé à l’élaboration de la stratégie nationale contre la corruption tenue
à l’Hôtel Sultani à Kinshasa Gombe durant 2 jours et à ce sujet, ce dernier a
assumé la présidence de la Commission Juridique et Sécuritaire en sens de contribution
technique.
3.
L’organisation Sud-africaine EISA représentée en RDC a invité au Collège Boboto,
les ONGs congolaises de lutte contre la corruption pour un recensement sinon
identification et ceci en vue de la mise en place d’un réseau national des ONGs
de cette spécialisation. Cette rencontre a produit un avant projet de liste de
contacts de toutes ces organisations ainsi que leurs expertises et experts
techniciens reconnus, activités qui visent les interfaces contre corruption en
RDC.
Cette rencontre a été conduite par le
facilitateur Me Rombaut Muzodi de l’EISA.
4.
Pour faire suite à la rencontre du Collège Boboto à la Gombe avec l’EISA,
sur les ONGs de lutte contre la corruption en RDC, le Comité Directeur du COAD/Réseau
composé des MM. Mbu – Iyongen – Ngandi et Dr Matou ont été reçus à l’EISA pour
des pourparlers visant un contrat programme et la suite réservée à la formation
de Transparency International sur les indices d’engagement de corruption encore
en attente à cette date.
5.
Le COAD /RESEAU a été invité dans le cadre de la concertation de la CEI,
Commission Electorale Indépendante/Abbé Malumalu) et les organisations non
étatiques, où le COAD/RESEAU a intégré les recommandations et résolutions de
voir la lutte contre la corruption être dans toutes les activités notamment et
plus précisément ici, dans les scrutins électoraux et être l’organisation
d’accompagnement en conflits judiciaires électoraux et contrer la corruption
électorale à la source..
6.
Le COAD/RESEAU a, par l’organisation ACDRO, Fondation HERI, LCCDC, Croix
Bleue, et la RENALCOT donné de leurs voix et associations pour la qualité des
membres fondateurs de l’ACCT Asbl (Alliance congolaise contre le tabagisme)
installée au sein de l’Université
Protestante du Congo « UPC » /Boulevard du 20 novembre
Kinshasa/Lingwala sous la coordination du Professeur Shamba.
Cette superstructure est mise en place en vue de
mieux lutter contre la corruption et la contre bande et autres matières préventives contre le tabagisme
en RDC ; cette organisation est déjà en partenariat de l’OMS et du PNLCT ministère
de la Santé voir site www.acct.rdc
7.
Face à l’extravertisme culturel très prononcé de la corruption dans notre
état et dans ses institutions, l’ONG ACDRO/COAD a sollicité à plus de deux
reprises une audience auprès de Monsieur le Ministre de la Justice Luzolo Bambi
dans le cadre, de son programme de tolérance zéro et convenir des axes et cibles de corruption mais, plusieurs échecs
se sont présentés pour cette fin depuis, ce dernier.
Or la tolérance zéro, c’est aussi pouvoir rencontrer
dans ce pays, une autorité politique, le plus librement et facilement que
possible mais nous continuons, à déplorer ce type de rapport agent de l’Etat et
citoyen proche de la mal gouvernance où toutes sortes de cloisonnement sont
mises en place.
8.
Au cours du débat public organisé par la télévision Télé 7 le public et
le Ministre de la Justice à la salle de conférence de l’Eglise de Fatima à
Gombe sur le thème de la corruption, l’ACDRO a pu être en face du ministre de
la Justice, Luzolo Bambi et lui rappeler clairement, tant que certaines cibles
dans cette lutte ne seraient pas inquiétées, l’ACDRO considérera que la lutte
n’a pas encore commencé en RDC et les cibles de lutte doivent bien commencer
par l’imposition d’une rédévabilité des institutions, des nations, et des
hommes depuis 1960 et accompagnée d’une loi contre corruption qui lève
automatiquement l’immunité des officiels sur les cas de corruption, qui protège les
témoins et dénonciateurs, qui finance ces activités et où le juge se trouverait
en situation de corruption si obstruant les dossiers à sa charge contre la corruption
et présenter une période planchée aux
décisions judiciaires.
Le Ministre, mis sur le fait accompli en public
n’a que agrée cette attente de la Société Civile Congolaise car, à notre
entendement, chaque cible doit être vidée.
9.
Le COAD a produit plusieurs projets de lutte contre la drogue et de
prévention du crime, contre le blanchiment et la corruption en attente des
financements congolais où les conditionnalités rencontreraient notre
organisation.
10.
Toujours dans le cadre de la dynamisation du COAD RESEAU, l’ACDRO Asbl a
transmis au Comité Directeur des organisations membres plusieurs documentations
stratégiques dans le but de progresser ensemble vers une même orientation et
même élan et plusieurs thématiques communicationnelles ont été retenus au
nombre de 45. Les Asbl : ACDRO – LCCDC – LIPILDRO – Fondation HERI – OPPS –
CROIX BLEUE – MMC – ICCN Narcotique – RICA – RIAC, etc
11.
Plusieurs thématiques ont été débattues par voies de presse en vue
d’insister, de souligner et de dénoncer la corruption en RDC qui subit un
laxisme sans nom depuis les institutions
notamment :
a.
Le plaidoyer de passation de la loi contre corruption ;
b.
Les contrefaçons
c.
Le débat public Ministère de la Justice et le public contre corruption
d.
Le plaidoyer à l’adresse du président Kabila pour promulgation de la loi
en question
e.
Le rapport de conférence de la CESA (centre d’études stratégiques en
Afrique par participation) de l’ACDRO COAD et autres membres.
f.
L’appel à obligation d’un consensus national contre la corruption en RDC
12.
L’ACDRO Asbl met en place un manuel portant titre corruption criminalité
chronique et criminalité transnationale et économie nouvelle : ce livre
dénoncera les actes de corruption publique en RDC dont une interview en prélude
ci – dessous a été faite à M. Mbu.
13.
Dans le cadre de la dynamique associative et dynamique de la Société Civile,
l’organisation LICOCO a transmis plusieurs documentations sur des faits avérés
de corruption institutionnelle auprès du COAD /RESEAU en vue de dynamisation
communicationnelle par voies de presses.
L’ACDRO félicite et remercie cette organisation
pour cette collaboration de marque.
14.
L’organisation ALUCO Asbl, les Amis de lutte contre la corruption
intervenante spécialement en milieux scolaires et académiques pour la lutte
contre ce fléau en RDC s’est fait membre du COAD RESEAU pour une plus large
collaboration dans ce domaine.
15.
Depuis la France, notre représentant officiel M. Batu Olamba de
l’organisation LIPILDRO, s’investi pour la prochaine année 2011 en ce qui vise
la mise en place et participation de la RDC en segment anti drogue à la grande
conférence sur les drogues et criminalités connexes qui aura lieu à Paris/France.
Le COAD RESEAU a déjà transmis à ce dernier les
termes du rapport des drogues et corruption de la RDC à introduire au secrétariat
technique de ce prochain forum. Ainsi, une recommandation technique énonce très
clairement que la lutte contre la corruption doit précéder la lutte contre la
drogue en RDC et réduire tant la demande que l’offre des drogues dans les
milieux de nos jeunes et populations suite à la corruption à tous les niveaux
16.
Nous remercions énormément, M. Aimé Tshibangu, journaliste à Hope TV pour
sa participation très active par la mise en place de plusieurs émissions TV
avec l’ACDRO/COAD RESEAU qui visent la lutte contre la corruption dans le cadre
de son émission « Congo mon héritage »
Fait à Kinshasa, le 31 décembre 2010
V.
Textes d’accompagnement intégrés
République Démocratique du Congo
Kinshasa, le 15 février 2007
Appel de consensus National pour initial, nature,
forme et orientation de la lutte contre corruption en République Démocratique
du Congo
A la nation congolaise
Considérant qu’encore cette date, la réédition de
responsabilités des actes commis à travers le monde depuis la première guerre
mondiale de 14 – 18 sont suivies de continuité des faits d’Etat et, consécutive
à la détermination du Chef d’Etat élu, à la lutte contre la corruption et
impunité, assise, sur une triple majorités des suffrages, outre les obligations
constitutionnelles de mise en place dans le sein parlementaire de structures
visant à une lutte radicale contre les anti – valeurs doublée, d’un probable
Conseil de Primature entendons nous
visant les mêmes références ; la dynamique sociale et populaire engagée
dans les ONGs légales de lutte contre la corruption et la prévention du crime
dont l’ACDRO Asbl / F 922808 du 09 juin 1993 leader entend voir l’exécutif
gouvernemental convenir d’un consensus national qui argumenterai des
justifications, d’approbations ou des contestations légitimes, à souligner le
seuil à initier toutes activités qui mettent en examen et en accusation pour
des faits avérés matériels et manifestes, de corruption, concussions, crimes
économiques, pillages de patrimoine public, vols, détournements, gabegies,
prévarications, spoliations des biens de l’Etat, blanchiments, thésaurisations
monétaires, paupérisation des populations et diverses complicités par acteur
principal et associés.
Où
devons nous convenir comme seuil de lutte ?
Depuis
quelle période devons – nous considérer le seuil ?
1.
De la post indépendance
2.
De la conférence nationale souveraine ;
3.
Des dossiers de l’OBMA ;
4.
De la période de la transition ;
5.
Du panel encore, mal élucidé ;
6.
Des commissions Lutundula et Bakandeja ;
7.
Un seuil pour les grosses fortunes
8.
De la justification des avoirs passifs et actifs ;
9.
De la mise en place d’un audit National de la République visant la
gestion nationale opacieuse ;
10. Du rapatriement des avoirs et fonds illicites
placés à l’étranger ;
11. Enfin,
définir et dégager le financement de la lutte nationale contre la corruption en
RD Congo
Les indices de perceptions et faits avérés de
corruption pour la RD Congo étant constatés et relevés par experts pays – analystes pays – analyste de risques – les rapports des
investisseurs – rapports d’enquêtes indépendantes – les rapports de gestions –
les faits sociaux manifestes et ostentatoires de richesse sans cause – des
déclarations de presses non élucidées – des inerties des Institutions – les
faits avérés et rendus publics de corruption – les déclarations dans sa
gouvernance – les propensions aux pots de vin – études et sondages
gouvernementaux et non gouvernementaux – l’absence de justification de contre
effets budgétaires – etc. remettent en cause tout silence sur la question,
silence qui ne peut être à ce jour que considéré complice au devant de tant de
gâchis national.
Ainsi, une table ronde des experts ou forum de
consultation nationale d’une frange de la société (10%) doit se considérer
indispensable et essentielle et à toute légitimation à ouverture et réouverture
de tous ces dossiers en archive nationale et de continuité de gestion
d’administration d’Etat.
L’harmonie sociétaire ne peut demeurer
silencieuse sur ces actes commis froidement et en toute conscience à laquelle,
aucune constitution[9]
n’autorise tant bien même de Sun City par les prescrits transitionnels, à
l’utilisation des biens de l’Etat à des fins privés et personnels sinon à
considérer cela comme association matérielle de faits de criminels
institutionnels
Nous en appelons donc, la Nation par son
gouvernement établit à mettre en place, un cadre même de 3 journées où des
orientations froides, impartiales, rationnelles et éthiques devront être décidées par un consensus national des
experts pays tant gouvernementaux que non gouvernementaux en gestion de ces
questions fortes complexes sinon résolues ne donneront pas de paix à la nation.
Faire autrement devrait pensons – nous, encore
que renforcer l’idée ici coulée, de considérer le seuil vrai et exact de la
post indépendance à nos jours comme repère de transparence de gestion. Sinon,
que l’exécutif congolais produise à la nation des raisons claires, légales,
légitimes, rationnelles, éthiques, citoyennes et républicaines à garder tous
ces scandales secrets et contradictoires à bonne gouvernance et contre
impunité.
En conclusion, installer une culture de réédition
de responsabilité pour tous, sur tout acte posé dans l’humanité et obstruer
hermétiquement, une fois pour toute, les portes largement ouvertes dans notre
pays pour et contre ces pratiques.
Organisation impliquée en prévention du crime en
Rdc primée en 2003 pour engagement exceptionnel a cette lutte par le ministère
de la Justice congolaise
AU FONALC
Forum National de Lutte contre la Corruption tenu
à Kinshasa fin décembre 2009 au Palais du Peuple.
L’Organisation non gouvernementale ACDRO Asbl acte légal F
922808 du 09 juin 1993, bat campagne pour une recommandation principale visant
avant – projet de loi par lobby contre corruption pour justification des avoirs
formulée en terme de :
- Tout citoyen congolais est tenu de justifier en
tout moment au devant de la loi de l’origine de ses fonds et avoirs, actifs,
passifs, biens meubles et immeubles, titres et bons au trésor tant par simple
procédure administrative que de procédures judiciaires et pénale.
Les
avantages à cette nouvelle loi (si votée) par le parlement en appui de l’actuel
majorité parlementaire de l’initiateur Joseph Kabila, Président.
1. Entraîne toute la société congolaise à la
maîtrise et à la mesure des faits, gestes et actes poses sur les biens
communautaires.
2.
Une loi contraire et différence de la déclaration des avoirs à laquelle
d’autres ont déclaré des biens issus de malversations et de prévarications et
légalisés de ce fait.
3.
Face à l’absence des moyens justificatifs administratifs de son
patrimoine, l’action est portée au pénal.
4.
Cette loi, oblige toute personne de façon impartiale le cas échéant à la
justification de ses avoirs
5.
Cette loi démasque et dépouille toute opulence de vie sociale notamment
de l’enrichissement illicite et sans cause.
6.
Cette loi obstrue tout détournement et toute forme de manipulations
financières illicites
7.
Cette loi détruit toute forme de réseaux politiques à financement
illicite
8.
Cette loi rend indépendant tout agent de l’Etat face à des faits avérés
requérant une information relative a un patrimoine douteux.
9. Cette loi restaure l’autorité et l’autonomie des
entités étatiques depuis le chef de localité, quartier et bourgmestre (agents
de l’Etat) et apporte à la base une réponse à cette question et renforce la
vélocité de la lutte sur l’étendue du territoire national
10. Par
cette loi, l’alternance politique et démocratique oblique toute démarche de
pérennisation des prévarications par les faits, forces et formations politiques
sur les finances publiques.
11. Cette
loi démontre in fondo l’inutilité du détournement car à tout moment
rattrapable.
12. Cette
loi dynamise la lutte contre la corruption, divers blanchiments et
enrichissements sans cause.
13.
Cette loi renfloue le patrimoine et le
trésor en sens de biens illicites saisis et leur vente publique au profit du
trésor public
14. Elle
permet en cas avéré, l’entrée en information sur le secret bancaire de l’intéressé.
15. Cette
loi permettra à tous les instruments internationaux et à l’application des lois
en RDC
16. Cette
loi mettra sous pression administrative et pénale tout citoyen face aux actes
de corruption en RD Congo à tout moment
17. L’unité
ou l’association politique saute de facto aux faits illicites de
corruption avérée en responsabilisation
individuelle et pénale.
18.
Cette loi nous permettra de nous assurer
véritablement de l’intégrité des personnes appelées particulièrement à
l’exercice du pouvoir d’Etat.
19. Cette
loi redressera ipso – facto les classifications sociales suivant les revenus
réels de tout un chacun.
20. Cette
loi permettra à mieux organiser, budgétiser et rendre un meilleur salaire au
congolais.
21. Cette
loi permettra une plus large possibilité de création d’emploi par fonds d’Etat
plus disponibilisés
22. Tout
citoyen sans exception aucune subit cette loi
23. Par
cette loi, tout règlement de compte est exclu car chacun est couvert par sa
justification des faits.
Les inconvénients
Dans l’actuel environnement de crise sans précédent, de
désastre économique et de mafia institutionnelle organisée aucun inconvénient
ne peut être retenu à cette recommandation d’avant – projet de loi d’essence de
société civile. Si non que de la voir être voté par la majorité qui a
engagé la lutte et manifesté ainsi cette
détermination c’est-à-dire : le Président Joseph Kabila.
Recommandations générales
Au FONALC
1. Conception d’un programme national face à la
criminalité transnationale
2.
Recherche de consensus pour adhésion populaire
3.
Oter toute opacité de l’histoire du Congo sur les divers crimes
économiques commis
4.
Répondre au devoir de conscience aux générations montantes sur l’exacte
raison du débâcle de la Nation dans sa gestion
5.
Responsabiliser les Acteurs Politiques sur les états des lieux connus sur
les divers segments variables de corruption
6.
Répertorier les cibles historiques ai si que leurs termes de
communications
7.
Répertorier les cibles humaines – Politiques – militaires et Citoyens
ordinaires impliquées et organisations de l’approche des sanctions.
8.
Répertorier les entreprises d’Etat et privées impliquées
9. Intérioriser les procédures d’application du
programme national visant toute la Nation
10. Etablir
le choix de la personnalité appropriée comme juge unique ainsi que son profil
couvrant toute la République pour application de la stratégie scorpion.
11. Mettre
en place de façon claire le programme de protection des témoins
12.
Présenter toutes les données déjà
existantes à poursuite et leurs accessibilités.
13. Définir
la difficulté de façon rationnelle de non passage à l’acte répressif et de
contre impunité et y apporter les stratégies et correctifs au niveau du Pouvoir
Judiciaire pour certaines cibles.
14.
Organisations financières et production des sources de financement des
activités gouvernementales et de Société Civile pour la République
15.
Appliquer totalement et in extenso les articles 56 et 57 de la Constitution
pour haute trahison pour les faits ayant trait aux pillages et faits criminels
organisés en association de corruption en RDC
16.
Actualiser les faits de corruption comme acte de criminalité
17. Munir
tous les citoyens congolais d’une carte d’identité bio –métrique à multiples
protections hermétiques.
18.
réorganiser le comité gouvernemental anti drogue en forme structurelle et
fonctionnelle.
19.
Instaurer un système de crédit national de palier à la faiblesse salariale
20. Mettre
en place une agence d’association indépendante de lutte contre la corruption
21. Ouvrir l’accessibilité publique en RDC à
toute information de corruption conformément aux Conventions ratifiées
22. Ouvrir
l’information du secret bancaire en RDC
23.
Justifier les avoirs auprès de l’administration de l’Etat
24.
Restituer les archives de la CELC, de l’OBMA et de la commission de biens mal
acquis de la conférence nationale souveraine auprès du Ministre de la Justice
pour lecture indépendante du droit.
25. Ouvrir
une réquisition en information judiciaire sur les dossiers de corruption depuis
1960 à ce jour
26. La
levée automatique de l’unanimité politique en cas de flagrance de vol et de
corruption et autres faits assimilés.
27. Ouvrir
une action pénale pour les magistrats révoques pour faits de corruption et
autres immoralités publiques
28. Ouvrir
l’action pénale pour tout cas reporté de corruption au sein de l’armée et de
Police Nationale
29. Appeler
à la rétroactivité des faits avérés de corruption commis par agents de l’Etat
en exercice de leur fonction
30. Lever
le moratoire de nationalité au sein de l’Assemblée Nationale pour conformité
constitutionnelle
31. Appeler
chaque ministre à la présentation trimestrielle d’un rapport d’indicateurs et
évaluations contre corruption sectorielle à rendre publique
32.
Financer très clairement la société civile par fonds gouvernemental pour
accompagnement de la lutte.
33.
Expulser tout immigrant expatrié pour faits de corruption avérés depuis la RDC
avec interdiction définitive du territoire congolais
34. Rendre une publication
nationale des personnes condamnées pour faits de corruption en RDC
35. Mettre en place une campagne nationale pour moralisation publique
36. Révoquer purement et simplement les professeurs et enseignants véreux
des établissements scolaires supérieurs et universitaires en actes de
corruption.
37. Révoquer purement et simplement les médecins véreux de l’ordre des
médecins congolais pour raison d’éthique.
38. Financer la lutte contre abusive et le trafic illicite des drogues
39. Appeler à une coopération gouvernementale franche avec la société
civile en lutte anti – drogue.
40. Mettre en place un lobby national contre corruption depuis le public
médian
41. Elever un front national contre corruption en RDC en conversion
visible
42. Restaurer en efficacité la brigade des mœurs près le Parquet Général
43. renforcer la loi contre la thésaurisation en ramenant la possession
monétaire résidentielle à 1.000 dollars.
44. Ouvrir un fonds gouvernemental pour achats d’informations
matricielles
45. Légiférer le silence comme délit en RDC
46. Exhumer les responsabilités des Agents de l’Etat et des Etats pour
abus des biens publics sur les dossiers suivants : depuis le contentieux belgo – congolais à ce jour
47. L’or du Congo de 1960
48. La gestion post – indépendance
49. Les dossiers de la Conférence Nationale Souveraine
50. Les Des dossiers de l’OBMA ;
51. La période de la transition ;
52. Le panel encore, mal élucidé ;
53. Les commissions Lutundula et Bakandeja
54. Le seuil pour les grosses fortunes
55. La justification des avoirs passifs et actifs ;
56. La mise en place d’un audit National de la République visant la
gestion nationale opacieuse ;
57. Le rapatriement des avoirs et fonds illicites placés à
l’étranger
58 Les dossiers en souffrance à l’inspectorat général de finance pour
corruption depuis plus de 30 années.
59. Poste et télécommunications ; Rapport Mutinga 40 % des taxations
diverses
60. Les titres congolais à la
bourse
61. L’exploitation des royalties congolaises
62. Les dossiers de la Fonction Publique
63. Les dossiers de l’Armée Nationale, article constitutionnel 188
64. Rapport Mayobo, les immeubles de l’Etat spoliés, etc.
65. Renforcer l’opérationnel des piliers des systèmes d’intégrité
congolaise par l’application de leurs textes :
§
La CELC (si restaurée avec visée d’indépendance)
§
La Cour des Comptes
§
Les cours et Tribunaux
§
L’inspection Générale des Finances
§
L’Office des Biens Mal Acquis
§
Le Conseil Supérieur du Portefeuille
§
L’OCEP¨
§
Le Conseil Supérieur de la Magistrature (en mutation)
§
Le Conseil Permanent de la Comptabilité
§
Le Parlement
§
La Commission intergouvernementale chargée du recouvrement des créances
de l’Etat auprès des tiers.
§
Comité de Pilotage du programme du gouvernement
§
Le Collège de la Présidence chargé de la bonne gouvernance et la lutte
contre la corruption.
66. Ouvrir des poursuites judiciaires internationales à l’endroit de
toutes les multinationales ayant pillé
la RDC
67. Autoriser le Franc symbolique à toutes les transactions commerciales
et financières en RDC par jour pour le financement des activités contre
corruption gouvernementale et non gouvernementale en RDC
68. Production par le ministère du Cadastre d’une segmentation
informatique nationale individuelle des titres immobiliers pour justification
de patrimoine.
69. Conclusion de tous les dossiers de corruption au sein de l’Assemblée
Nationale pour éthique et modèle social
70. Mettre en place un conseiller spécialiste près le Chef de l’Etat pour
la question de la corruption au public
71. Présentation par chaque part politique de son Monsieur mains propres
statutaires au public
72. A la Communauté internationale, nous clarifier « très
clairement » leurs démarches de lutte contre corruption avec la RDC – BM –
FMI – UE – etc.
Questionnement de lutte contre la corruption
Aspect : Tolérance Zéro
1.
Qu’est - ce que la Tolérance Zéro
en terme technique et quels seraient les critères et attentes de cette
Tolérance Zéro.
2.
Y a – t – il sensibilisation pour la Tolérance Zéro en question et à quel
niveau d’individus/population sensibilisée
3.
Qui serait le plus habilité à définir le niveau de tolérance zéro dans
l’actuel environnement :
Institutions d’Etat ou Associations de Société Civile ?
4.
En reconduisant les mêmes dirigeants qui ont prévariqués les entreprises d’Etat, peut – on s’attendre à la
Tolérance Zéro ?
5.
Y a – t – il des pénalités qui
accompagnent la Tolérance Zéro ?
6.
Les prix attribués aux individus et entreprises ci et là rencontrent –
ils quels critères pour leurs sélections, agréments et nominés ?
Question n°1 : Qu’est – ce que la Tolérance
Zéro en terme technique et quels seraient les critères et attentes de cette
Tolérance Zéro ?
Réponse :
En tout état, pour notre part Associations et Société Civile,
nous appréhendons la notion technique de tolérance zéro telle que : le
maintien des règles les plus stricts dans un domaine précis, apprécié et
soutenu par des indicateurs.
Or, comme la question de la corruption et de la bonne
gouvernance étant globale, nous devrions tenir copte de l’interactivité des
phases qu’il y a à ce programme :
1.
La corruption morale ;
2.
La corruption éthique ;
3.
La corruption financière ;
4.
La corruption de gouvernance structurelle, intellectuelle, communautaire,
sans oublier la question des droits de l’homme comme circonvolutionnaire.
-
D’autres estiment encore que la tolérance zéro, est une attente qui vise
à assainir, à maitriser, à corriger, à déplanifier, à réorienter et à dynamiser
dans des nouvelles perspectives dites de bonne gouvernance.
-
D’autres perçoivent techniquement et socialement la tolérance zéro de
corruption comme l’intolérable des certaines pratiques dans une société ;
et d’autres encore comme étant une vision réduite des désordres publics. L’état
actuel de l’environnement congolais sur cet aspect, oblige que parler de
tolérance zéro répond à l’ensemble de ces quatre phases, de la façon la plus
rationnelle et cohérente.
-
La tolérance zéro est aussi considérée aux Etats – Unis comme étant un
principe et une doctrine qui vise à frapper juridiquement toute tentative à
délinquance tant juvénile que sénile. Donc, la tolérance est un processus qui
doit s’accompagner des chiffres clairs, d’un niveau plat vers les spics et des
pics vers un niveau plat selon les cas et les situations.
Or ici, plusieurs indicateurs pratiques de
corruption et de mauvaise gouvernance dans la gestion des institutions
publiques relèvent des fautes lourdes comme ci-après : Que personne ne
sanctionne.
1.
L’extravertisme comportemental perpétuel de l’éthique pour l’agent de
l’Etat
2.
Le non respect du code d’éthique de l’agent de l’Etat et sa difficulté
d’adhésion actuellement à 70%
3.
Des personnes non habilitées et
sans mandat engagent des contrats de l’Etat ;
4.
Des violations des conditions à l’accès aux agréments sont
rencontrées ;
5.
La légèreté par les hauts fonctionnaires de l’Etat à la gestion des
analyses documentaires ;
6.
D’application des lois et codes divers des entre des entreprises et la
non vidange des procédures et des lois concernées ;
7.
L’absence et l’irrégularité des productions des données gestionnaires
(tableau de formation des résultats) ;
8.
Le peu de responsabilité sur les faisabilités gestionnelles des projets à
des titres miniers de la République qui sont en bourse extérieure de la même
manière ;
9.
Le non respect des normes standards/OCDE pour certaines entreprises
publiques ;
10.
La non application des principes standards de coopération et de norme
encore à cette date de juin 2008 où pas mal des gens se sucrent de cette
manière ;
11.
La difficulté perpétuelle d’évaluation pré – court – fin et post –
projet ;
12.
Des pots de vin et des commissions sont données sans que cela de n’émeuve
personne
13.
Les accessibilités et élévations en grade sont soumises à tout type
d’harcèlement et ce de façon perpétuelle.
Comment
parler de tolérance zéro dans un tel environnement ?
Devons
– nous considérer cet état des lieux comme tolérance ou intolérance ?
Les violations des droits de l’homme dans les entreprises,
comment ces règles et principes sont – ils appliqués et maîtrisés ? Là
sont les questions à réponse aux populations par ceux qui prônent la tolérance
zéro.
Pour notre part, ces divers constats laissent la tolérance
zéro en question, comme douteuse et nous paraît peu sérieuse.
Question n° 2 : Y a – t – il sensibilisation
pour la tolérance zéro en question et à quel niveau d’individus/Population
sensibilisée.
Réponse
L’état des lieux actuel exprime le besoin naturel
d’une approche préventive au niveau des individus et de la proximité des
individus afin de modifier les comportements de corruption du fait que s’il y a
corruption, il y au corrupteur et un
corrompu.
Nous devons arriver à négocier les quatre phases
de corruption avec chacun des populations qui en fait, participent aussi dans
le fonctionnement et la productivité des entreprises, entendez ici : comme
consommateurs des biens et des services.
Ce n’est pas seulement les cadres d’entreprises
qui doivent aujourd’hui être intéressées aux remises à niveau
« immersion » au Congo, mais toute l’entreprise, de la base au
sommet, et c’est ce que nous attendons avant qu’il y ait adhésion de ce
principe.
Or, nous constatons que l’Etat ne finance pas la
sensibilisation nationale pour atteindre cet objectif dut de Tolérance zéro
comme une psychose nationale.
1. Combien d’affiches contre corruption y a t – il
dans la ville ?
2. Combien de leaders communautaires contre
corruption ont – ils été formés jusqu’à ce jour ?
3. Combien d’écoles supérieures sont – elles
sensibilisées contre la corruption ?
4. Combien d’entreprises sont sondées à cet propos
et réorientées en conséquence ?
5. Combien des gens ont conversé avec le Ministère
en question sur site depuis son ouverture ?
6. La mesure de la Tolérance Zéro/entreprises se
réalisera également par les nombres d’entreprises consultées et
sensibilisées ; et bien entendu pas uniquement à Kinshasa qui ‘est pas le
Congo, mais l’impact de la Tolérance Zéro sera évalué sur l’ensemble du Congo
7. 1.000.000 ‘agents de l’Etat doivent être
sensibilisées au code
8. Le financement Banque mondiale en RDC n’est pas
vu
Question n°3 : Qui est le plus habilité à
définir le niveau de tolérance zéro dans l’actuel environnement :
Institutions d’Etat ou Associations de Société Civile
Réponse :
Pour notre
part encore une fois, nous répondrons qu’à l’exemple de certains pays comme
l’Irlande, où le taux d’indice corruption est de 9,8 l’on peut laisser et
encore à l’Etat de conduite de ligne de tolérance zéro, car en fait, on
éradique pas toute la corruption.
Mais, en ce qui porte sur des pays où l’Etat a
failli dans la bonne gouvernance et à lutter valablement contre la corruption,
nous pensons qu’il serait opportun que la société Civile ait une prédominance,
quoique certains repères et indicateurs tels de répression appartient à l’Etat
dans leurs réalisation, et à ce sujet, la Banque Mondiale dans son Business/RDC
2006 classait la RDC à la 175ème place sur la liste comme un des
derniers pays pour la nature de gouvernance.
Une troisième alternative, que celle recommandée
par la Banque Mondiale s’avère être cette : d’un comité de pilotage où
l’Etat et la Société Civile pourraient ensemble discerner – poser les critères
– évaluer jusqu’à relever la société. Mais, nous pensons catégoriquement qu’il
est exclut d’être juge et partie, et continuer à prévariquer les entreprises et
dire qu’il y a tolérance zéro dans la nation où il y a encore des
insubordinations à l’endroit des ministères de tutelle, etc. ça nous le combattrons
de toute notre force jusqu’à voir devant nous, des institutions judiciaires
très puissantes à réguler cette situation. D’ailleurs nous leur assurons déjà
de notre pleine collaboration.
Question n° 4 : En reconduisant les mêmes
dirigeants qui ont prévariqués les entreprises d’Etat, peut – on s’attendre à
la Tolérance Zéro ?
Réponse :
En reconduisant les mêmes dirigeants qui ont
prévariqué les entreprises de l’Etat, nous pensons pour notre part qu’il y aura
des continuels conflits, d’ailleurs nous continuons à voir que les conflits
d’intérêts continuent dans les mines, le pétrole, etc. pour les passeports et
profits personnels. Justement, là sont les failles que nous dénonçons et là
sont des exemples flagrants que de tolérance zéro il n’y en a pas encore beaucoup, car des gens qui
sont encore impliqué dans d’autres segments judiciaires des immeubles de
l’Etat, des finances publics, de mégestions
ministérielles, en aucun moment, avec ces types des personnes et comportements,
on peut arriver à une conclusion des résultats positifs qui visent la tolérance
zéro. Donc, la question du profil des gens nous poursuit et il faudra la gérer. Les flagrances contre
constitutionnelles sont élevées comme modèle de gestion en RDC, donc il faudra
qu’on nous nous dise de quel tolérance zéro on veut parler. Et le silence du
chef de l’Etat sur l’impunité trouble l’opinion.
Question 5 : Y a-t-il des pénalités qui
accompagnent la tolérance Zéro ?
Réponse
A ce propos et jusqu’à ce jour, nous attendons
que le Ministère du Portefeuille présente devant la justice les gestions
antécédentes des entreprises de l’Etat de la période de transition pour que
nous croyons en la capacité de ce ministère et du programme de tolérance zéro
en question, car si il est difficile à ce ministère à obvier et à ester en
justice, donc, selon la formule américaine, il n’y a pas de tolérance zéro. Les
articles 56 et 57 de la constitution sont clairs à ce sujet. Il y a haute
trahison sur la façon de gérer l’Etat. Mais personne n’est jugée en rapport à
ces articles
Et la tolérance zéro implique des indices et in
dictateurs répressifs pour corriger l’éthique comportementale, sans cela c’est
du nul et c’est ici que nous disons qu’il n’ya pas de consensus pour cette
lutte et pour notre part, cette lutte n’a pas encore commencé. On essaie de la
maquiller, mais ce n’est pas cela. L’opinion nationale avec moi croit que le
consensus national attend la mise aux arrêts de pilleurs de la République sans
autres formes de procès et bien connu de tous même s’il s’avère nécessaire de
construire plusieurs lieux de détentions ; là en est le prix.
Question n°6 : Les prix de bonne gestion
attribués aux individus et entreprises ci et là rencontrent – ils quels
critères pour leurs sélection, agréments et nominés ?
Réponse :
En ce qui concerne les prix, nous disons que :
Primo, il faut nous présenter les messieurs mains propres de chaque
entreprise de façon que nous puissions tous les suivre, durant leurs mandats,
et ce, de la même manière au sein du Gouvernement et voire au sein des Partis
Politiques. Nous devrons voir ces personnalités comme interfaces de notoriété
publique. Cette interface nous permettra, en tant que Société Civile, à mieux
intervenir dans cette lutte et dans le milieu de la gestion de la chose
publique en vue de remodeler la société. Maintenant, nous voyons des étrangers
au Congo, primer des gens et des personnes morales, alors que les mêmes gens
primés et nominés sont juges et parties dans la débâcle des quelques
entreprises, et des nominés, dans certaines entreprises personnes morales où
les droits de l’homme sont quasi-inexistants.
Pour notre part, ceci compromet les critères à nominés des personnes et
entreprises, d’ailleurs critères peu connus du publics, sinon de clientélisme
pour certains.
D’ailleurs il faudra pour l’actuel Congo et dans le cadre des
prix et nominés, tracer un standard connu du public afin de mieux apprécier si
les quatre phases de la question de la corruption ci – bas sont d’application
dans les entreprises ?
1.
La corruption morale ;
2.
La corruption éthique,
3.
La corruption financière
4.
La corruption de gouvernance structurelle, institutionnelle,
communautaire, sans oublier la question des droits de l’home comme
circonvolutionnaire.
Alors on en reparlera.
Toutes nos excuses pour les coquilles.
Réflexion au club des analystes de prévention du
crime
Thème : les niveaux de criminalité de la
corruption
Question 1 : Est – ce que la corruption est – elle un délit judiciaire
ou un crime judiciaire ?
Réponse :
1.
Il y a plusieurs niveaux cultuels, de comment les gens d’un pays
comprennent la corruption,
Il y a plusieurs niveaux de concepts, de comment les gens classent cette question
Il y a plusieurs niveaux de législations et de
légistiques suivant que le monde évolue, afin, d’éradiquer la question de la
corruption.
La gravité de l’approche et appréciation de la
corruption suit les conséquences que laissent les actes de corruption dans les
nations, les communautés mondiales, etc.
En terme final, comment la corruption soit
solidifie nos Etats ou au contraire comment, la corruption décompose et
anéantie nos Etats, nos civilisations,
nos espérance de vie.
En fonction de ces appréciations, on juge d’un
délit ou d’un crime lourd
Aussi et également, il est bon de retenir que les
Nations Unies en ce qui concerne la question de la corruption cette
organisation mondiale qui a mis en place la lutte, l’attaque et la guerre
contre la corruption cela dépendra des Etats, laisse totalement ouverte et à la
liberté de chacun la définition du concept dans la convention contre la
corruption à la quelle la RDC est aujourd’hui partie
Question 2 : Comment la RDC notre pays table t – elle ou codifie t –
elle la corruption ?
Réponse :
A ce sujet, nous observons :
1.
La loi 05/06 du 29 mars 2005 modifiant et complétant le décret du 30
janvier 1940 portant code pénal
-
fait aspect de la chaine des infractions
-
elle fait allusion à la criminalité organisée
-
elle fait encore allusion, en son article 149 de la peine de 15 années de
servitude pénale.
-
de la même manière en son article 150e, elle fait état de 6
six mois de prison pour acte
accomplit par agent de l’Etat de
façon volontaire, délibéré et coupable
2.
le décret n° 09/39 du 26 novembre 2009 convoquant et organisant le forum national contre la
corruption incorpore, l’UNODC (l’Office des Nations Unies contre la Drogue et
la Prévention du Crime) élargissant, la pratique de corruption jusqu’au trafic
des drogues
3.
la constitution nationale 2006
fait état, en ses articles 56 et 57, de haute trahison pour tout agent de
l’Etat en acte de corruption notamment de pillage de nos ressources nationales
or, la haute trahison dans certains Etats du monde fait pénalité de peine de
mort et de pendaison publique
4.
la convention des Nations Unies contre la Corruption parle de criminalité
organisée et de financement du terrorisme donc passible, d’internement carcéral
à vie dans d’autres Etats du monde.
5.
La loi 017 /02/2002 du 03 octobre 2002 portant code de conduite de
l’agent de l’Etat en son article 29 stipule : l’agent de l’Etat est soumis
dans les sanctions au Code Pénal congolais
On peut donc conclure que, de 6 mois à 15 années, à l’internement à vie
et à la peine capitale, là sont les pénalités qui suivent les actes de
corruption donc, nous allons du simple délit au crime lourd.
6.
Convention contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme
ratifié par la RDC
7.
Convention contre la criminalité organisée et transnationale ratifiée par
la RDC
8.
Convention contre le terrorisme ratifiée par la RDC
Question 3 : Comment est – ce qu’aujourd’hui
on arrive à classer certains pays comme Etats criminels ?
Réponses :
Plusieurs paramètres doivent être impliqués dans
cette classification notamment :
1.
Un pays à facilité de blanchiment
d’argent : ce que vit la RDC
2.
Un pays ayant pas mal de comptes en paradis fiscaux : ce qui est
quantifiable aussi pour la RDC
3.
Un pays à forte délinquance financière
4.
Un pays à forte pratique sociale et prononcée de corruption
5.
Un pays ayant une criminalité institutionnalisée
6.
Une association institutionnelle silencieuse sur les faits de corruption
7.
Existence des cartels de criminalités sur des faits de corruption avérés
8.
Pays ayant tous ses secteurs sous l’emprise de la corruption
9.
Pays à système sécuritaire corrompu
10.
Une justice impuissante à dire droit contre la maffia installée et sous
la coupe politicienne
11.
Une presse nationale silencieuse suivant les cas
12.
Un pays ayant facilité à assassinat d’activistes de liberté d’opinions
13.
Pays classables en zones rouge de façon fréquente
14.
Et, si de grands ensembles tels que le Parlement ne parle pas avec effets
contre la corruption
Si donc dans un pays, tous ces signes indicateurs
sont présents, ne soyez pas surpris que les véritables analystes de ces
questions vous classent dans la catégorie d’Etat criminel car considéré, comme
un Etat où il n’y a plus de transparence et sécurité pour la lutte contre la
corruption
Question 4 : Qu’est – ce que vous entendez
par une économie criminelle ?
Réponses
Plusieurs vagues de pensées définissent économie
criminelle par le concept que :
1.
Cette criminalité doit se dérouler dans le cadre des affaires et de la
finance à l’exemple des activités commerciales d’Etat, des entreprises
d’économie publique et mixte
2.
Ces activités doivent se réaliser par des pratiques frauduleuses, contre
façon, abus de pouvoir, exploitation des secrets commerciaux par délit
d’initié, achat des voix en conseils d’Administration d’entreprises et
structures d’Etat.
3.
Le mobile essentiel des délinquants économiques doit être la volonté.
4.
Le maintien ou protection à tout prix d’entreprises ou domaines
économiques en difficulté
5.
Lorsque cette criminalité économique présente un abus de confiance et de
la bonne foi des gens, autres partenaires et populations, etc.
6.
Lorsqu’encore, cette criminalité économique provoque des dommages ou des
préjudices considérables sur le patrimoine privé, public et national, où, des
dégâts inestimables à la qualité de vie, de l’environnement national, etc. et
bien entendu la destruction du système de gouvernance.
Ceci dit que l’ensemble de l’économie visible est
déjà entre les mains des criminels à col blanc comme on dirait, l’Etat est
privatisé, c’est – à – dire que : tous les fonds de l’Etat transitent
d’abord dans ce système, on parle alors, d’économie criminelle.
Question 5 : D’après votre expertise sur la
question de la Corruption et la criminalité est – ce que l’on peut parler de
réseaux criminels d’agents de l’Etat.
Réponse : absolument, le monde avance, le
monde évolue, les concepts évoluent afin de cadrer les Etats par plusieurs
profils. En criminalité organisée, on entend par association d’agents aux
criminalités les termes suivants :
1.
Une collaboration minimum de 3 personnes agents de l’Etat à tous les
niveaux de l’Etat : ce que vit déjà la RDC
2.
Cette collaboration doit être prolongée durant une période
indéfinie : ce que vit déjà la RDC comme système.
3.
Les actes commis en Code Pénal, doivent porter une pénalité de plus de 4
années de prison : ce que vit déjà la RDC (Conseil de l’Europe 2005 aux 46
Etats membres)
4.
L’objectif des actes doit être un profit privé et/ou un pouvoir d’Etat :
ce que vit déjà la RDC
5.
Chaque participant à l’association doit avoir un rôle à jouer: ce que vit
déjà la RDC
6.
Ont recouru, à la violence ou tout autre moyen d’intimidation: ce que vit
déjà la RDC
7.
Qui exercent de l’influence sur les médias, les forces publiques, la
justice, l’économie ou toute autre méthode: ce que vit déjà la RDC
8.
Utilisent des structures similaires aux entreprises d’Etat: ce que vit
déjà la RDC
9.
Implication dans le blanchiment et dans le retracement des financements :
ce que vit déjà la RDC
10.
Et, opérant au niveau international : ce que vit déjà la RDC
A l’analyse de ces indicateurs on parle de :
1.
Criminalité d’agents de l’Etat
2.
De réseaux criminels d’agent de l’Etat
3.
D’un grand axe criminels dans et de l’Etat
4.
D’associations d’agents de l’Etat à la criminalité
5.
Et, d’un silence complice criminel
dans l’Etat
Question 6 : en dehors des pays sans loi,
d’autres payes peuvent – ils agir contre ce type de criminalité dans les Etats,
Institutions et agents de l’Etat des pays ?
Réponses : Oui, aujourd’hui plusieurs possibilités il y a
à contraindre depuis l’extérieur d’un Etat un autre Etat et modifier son Etat
des lieux depuis l’extérieur.
Nous avons plusieurs exemples du genre Panama, où un Chef de
l’Etat a été à cause de son alliance avec la pègre extradé et placé sous
justice internationale aux Etats Unis. D’autres exemples comme au Mexique, en
Colombie, etc.
Tous voyons combien la collaboration et
coopération judiciaire internationale jouent
pour lutter contre les Etats criminels, les économies criminelles et le
gel des avoirs, blocage de patrimoines divers, etc. des institutionnels
impliqués en criminalité et cela, depuis ces pays extérieurs et placer la main
sur tous ces individus.
Nous voyons encore, combien la Convention des
Nations Unies est claire et offre une pluridimensionnalités d’assistances
techniques, d’échanges d’informations et d’échanges judiciaires en vue de
combattre efficacement la question de la corruption et sa criminalité organisée
à tous les niveaux des pays.
Il suffit, que les liens de votre activité soient
établis hors de vos frontières pour permettre à une action judiciaire et à
appel à extradition. Donc ce sont des méthodes pleinement d’actualité
aujourd’hui pour ce combat auquel la RDC n’échappera pas.
Ainsi, en conclusion, nous sommes en travail
technique avec des professeurs les plus éminents en matières de criminalité
internationale option des Etats criminels et experts américains, finlandais,
australiens, hollandais, anglais, suédois, qui agissent au plan international
au delà des souveraineté des Etats lorsque ces trois normes sont établies dans
les pays et agir en circonvolution des Etats.
Voyez – vous lorsque toute une nation dans un
forum national avec 450 délégués de toute la nation et des institutionnels de
corruption ont adopté une résolution à l’unanimité, ce pays n’a pas autre choix
à faire, que d’agir en conséquence.
La société civile congolaise de ce segment est
totalement déterminée à aider le Congo à avancer dans ce secteur mais seulement
et uniquement si la volonté du Forum (FONALC) est rencontrée c’est – à – dire
la loi de prévention et de répression contre la corruption. En dehors de cela,
chacun s’en prendra à lui-même notre objectif demeure de trouver la faille et
agir autrement contre cette criminalité organisée et établie dans notre pays la
RDC et ensemble aller vers un Etat de justification des avoirs et de
redistribution équitable du patrimoine
national par une gouvernance commune. Nous formerons des activistes contre
corruption jusqu’à ce que chaque congolais comprenne qu’il faut cesser de
prendre ce qui ne vous appartient pas comme dit en lingala : Yankee na
plan ye, Yuma na plan na ye.
Je vous remercie.
[1] Méthodologie de récolte d’indices
Consultation de 500 organes de presse
nationales congolaise année 2004
Saisis des faits rendus sectoriellement public en répétition
Déclaration institutionnelle de
corruption
Déclarations politiques de corruption
Ecoute publiques contre la corruption
[2] Commission d’éthique et de lutte contre la corruption pour la période
de transition en RD Congo
[3] Groupe de réflexion de la Banque Centrale du Congo contre le
Blanchiment et financement du terrorisme
[4] Observatoire Congolais pour l’Ethique Professionnelle Ministère de la
Fonction Publique
[5] Déclaration du Procureur Général de la République lord de la
transmission des vœux 2005
[6] Eglise Méthodiste Kongo
[7] Programme national de lutte contre la toxicomanie et les substances
toxiques Ministère de la Santé
[8] Comité National Interministériel de lutte contre la drogue et la
prévention du crime, Parquet Général de la République
[9] Constitution 3ème République, articles 28 , 58, 59,
62, 65, 67, 174, Décret loi 017 du 03 octobre 2002 portant code de conduite de
l’agent public de l’Etat
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