Les
États-Unis s'inquiètent profondément des informations faisant état de détentions
arbitraires et de violations des droits de migrants et de réfugiés africains
subsahariens en Libye. Par ailleurs, nous avons appris que certains Libyens
seraient aussi victimes de telles pratiques en raison de la couleur de leur
peau. Nulle personne ne devrait être détenue ou harcelée du fait de la couleur
de sa peau ou de sa nationalité, et des mesures doivent être prises pour
protéger tous les individus contre des actes de violence.
Nous avons
accueilli avec satisfaction les assurances offertes par le Conseil national de
transition - CNT - eu égard à son engagement de préserver le bien-être de toute
personne se trouvant en Libye, et la coopération de ses chefs avec les agences
internationales qui œuvrent pour identifier et aider les personnes à risque d'être
détenues ou qui le sont déjà, notamment le Haut Commissariat de l'ONU pour les
réfugiés, le Comité international de la Croix-Rouge et l'Organisation
internationale pour les migrations. Nous espérons voir la mise en œuvre de ces
mesures dans les meilleurs délais.
Les
États-Unis collaborent avec leurs partenaires internationaux pour faciliter le
départ en toute sûreté des ressortissants étrangers qui se trouvent en Libye,
notamment des migrants d'Afrique subsaharienne, qui souhaitent quitter le pays
pour la sécurité de leur personne.
(Diffusé par
le Bureau des programmes d'information internationale du département d'Etat.
Site Internet : http://iipdigital.usembassy.gov/iipdigital-fr/index.html)
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