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Côte d'Ivoire - Santé : Les autorités préfectorales, éducatives et sanitaires mobilisées pour la vaccination contre le cancer du col de l’utérus

La campagne se déroulera du 7 au 13 avril 2025 sur l’ensemble du territoire national

Côte d'Ivoire - Adduction en eau potable a Souleymanekaha : Les difficultés résolues

Le gouvernement réaffirme sa volonté d’améliorer les conditions de vie des populations rurales

Bénin - Lutte contre le travail des enfants : Les Ministres Adidjatou MATHYS, Véronique TOGNIFODÉ et le Ministre Conseiller Mariam DJAOUGA SACCA en campagne contre le travail des enfants

La descente des Ministres fait suite au lancement, en 2023, de la campagne dénommée « Tolérance zéro au travail des enfants dans les secteurs à forte prévalence » soutenue par l’UNICEF

Journée Internationale du Sport au Service du Développement et de la Paix

La Charte de la Jeunesse lance un appel mondial à l'action pour une coordination des efforts pour atteindre les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies par le sport

Mise en œuvre du programme GBESSOKÉ : L’opération de distribution de cartes Sim a repris avec assurance

Le programme est en cours dans 12 communes pilotes du pays, en attendant son extension progressive dans les 21 autres communes de la première cohorte avant sa généralisation dans les 77 communes du Bénin

Inclusion sociale : Le Bénin renforce son engagement en faveur des enfants autistes

Le Gouvernement a démarré la phase pilote du projet de prise en charge intégrée des enfants autistes depuis quelques mois déjà dans les communes de Cotonou et d'Abomey-Calavi

La Banque africaine de développement et le Mozambique lancent une initiative basée sur l’utilisation de drones pour renforcer la préparation du pays aux catastrophes

Le Projet de gestion des catastrophes par drone permettra de créer un centre de formation au pilotage de drones au Mozambique, qui formera 30 professionnels, dont 10 instructeurs

Deux projets soutenus par la Banque africaine de développement au Sénégal et au Rwanda distingués à la cérémonie des « Bonds, Loans & ESG Capital Markets Africa Awards 2025

Ces prix récompensent les opérations financières les plus innovantes et transformatrices du continent africain, mettant en avant une exécution exemplaire, une mobilisation efficace de nouvelles réserves de liquidités et une structuration innovante des opérations

Au Cameroun, l’audace féminine réinvente l’entrepreneuriat grâce au Programme Wonder

Ce moment de consécration marque un tournant décisif dans le parcours entrepreneurial des lauréates, leur ouvrant les portes d’un avenir où ambition rime avec impact

Cent cinquante-six joueurs de 28 pays participeront à la saison 2025 de la Ligue Africaine de Basketball, qui débute le 5 avril au Maroc

Durant la saison 2025 de la BAL, chaque conférence de quatre équipes jouera une phase de groupe de 12 rencontres, durant laquelle chaque équipe affrontera les trois autres à deux reprises

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jeudi 2 août 2012

KPMG Accueille le Groupe de Discussion « Investir en Afrique »


 Johannesburg, Afrique du Sud, 31 juillet 2012 -- La « grande migration commerciale vers l’Afrique » étant bien engagée, les discussions concernant la réalité des investissements sur ce continent atteignent désormais un point critique. L’Afrique n’est en rien un continent homogène avec 55 pays dont les réglementations, les systèmes fiscaux et les règles de concurrence sont tous différents. Tout investissement en Afrique implique donc des aspects complexes que les entreprises doivent prendre en compte. En conséquence, KPMG a réuni un groupe d’experts pour le sixième épisode de sa Série de Conversations sur l’Afrique afin d’aborder les tendances et les défis les plus pertinents concernant les investissements dans l’Afrique d’aujourd’hui. CNBC Africa a diffusé ce débat, Investir en Afrique, en direct sur tout le continent, tandis que KPMG a mis cette émission à disposition dans le monde entier par le biais d’une webdiffusion.
John Geel, Directeur des transactions et de la restructuration chez KPMG, a précisé que, d’un point de vue historique, les multinationales et les grandes sociétés sud-africaines ont investi en Afrique et à l’intérieur du continent. « Cependant, nous constatons aujourd’hui que les petites entreprises sont de plus en plus nombreuses à investir car les opportunités de croissance s’améliorent, tout comme les systèmes réglementaires et fiscaux. En conséquence, les entreprises cherchent désormais la bonne entité avec laquelle faire des affaires, négocier une collaboration et signer des contrats légaux. »
En plus de cet appétit croissant pour l’investissement, KPMG a également remarqué que le secteur bancaire s’est amélioré sur le continent et qu’il existe une envie continue de consolidation et d’expansion. En mai 2012, KPMG Africa a publié l’Enquête sur le Système Bancaire africain afin d’expliquer plus clairement les cadres réglementaires de ce continent. Cette enquête fournit des renseignements sur différents domaines, notamment sur les environnements commerciaux, juridiques, fiscaux et bancaires, ainsi que sur les questions de gouvernance et de déclaration. Quatorze pays ont été analysés, couvrant ainsi toutes les régions africaines. Selon Alan Field, Directeur du service fiscal et juridique, « Tout dépend du type d’investissement que vous désirez faire et de la nature du cadre législatif en place pour cet investissement dans un pays donné. Évidemment, les banques doivent analyser ces aspects étant donné qu’elles souhaitent profiter d’un environnement stable pour récolter les bénéfices de leur investissement ; en conséquence, alors que certains pays africains offrent des opportunités d’investissement intéressantes, d’autres sont toujours complexes. »
En Afrique, les récentes tendances à la surbancarisation ont donné naissance à des défis d’ordre réglementaire, mais les solutions fleurissent. Pour Héloïse Smith, Vice-présidente directrice du développement commercial chez Standard Bank, les entreprises et les banques doivent encore gérer les risques d’investissement avec précaution. « Les banques et les entreprises commencent à mieux comprendre ce continent. Toutefois, il existe toujours un compromis entre le risque et le rendement de l’investissement. Les banques doivent encore trouver des méthodes pour atténuer ces risques. » 
En dépit de la crise financière de 2008, les capitaux d’investissement sont désormais plus nombreux en Afrique. Comme le souligne Alan Field de KPMG, « les capitaux d’investissement représentent un concept relativement nouveau en Afrique, qui a commencé à prendre de l’ampleur, et certains investisseurs sont très intéressés par ces opportunités. Cependant, même avec cette sensibilisation accrue, les règles et réglementations de capitalisation applicables à l’extraction des fonds font toujours défaut. C’est un territoire inexploré à ce stade, mais il se développe. Dans l’avenir, les investisseurs se feront concurrence pour profiter des opportunités en Afrique. »
La Chine, qui est désormais le principal partenaire commercial de l’Afrique, investit très lourdement. Les participants du groupe de discussion conviennent que l’engagement de la Chine envers l’Afrique profite de plus en plus aux Africains. La Chine représente un partenaire important pour le développement de l’infrastructure, qui est à l’origine de la croissance économique. Selon Habil Olaka, Directeur général de l’Association des Banquiers du Kenya, « contrairement aux Chinois, la plupart des entreprises africaines dispose d’une capacité limitée pour assurer de grands projets d’infrastructure. Au Kenya, les opportunités parallèles pour les entreprises locales ont augmenté, ce qui aide les individus sur le terrain. La collaboration est un scénario gagnant à la fois pour les Africains et les Chinois. »
Récemment, des blocs régionaux tels que la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et la Communauté de l’Afrique de l’Est (CAE) se sont transformés en regroupements économiques plus solides, mais les participants du groupe de discussion pensent que, tout en réduisant les barrières commerciales et en améliorant les échanges économiques informels, les retombées sont peu nombreuses en matière d’investissements étrangers directs. Les investisseurs potentiels préfèrent s’intéresser à un pays spécifique, plutôt que de s’engager avec un bloc régional. Les entités qui investissent en Afrique peuvent profiter de pays charnières pour pénétrer dans une région, par exemple l’Afrique du Sud pour la région sud-africaine.
Selon un autre participant du groupe de discussion, Carel Smit, Directeur de l’énergie et des ressources naturelles chez KPMG Africa : « Les investisseurs veulent une meilleure prévisibilité et l’Afrique doit fournir les cadres nécessaires. L’Afrique est un continent qui regorge de ressources naturelles. Tant que le monde s’intéressera à ces ressources, l’économie africaine se portera bien. La population mondiale augmente rapidement et a besoin de ressources. Un monde avide de ressources ne peut pas ignorer l’Afrique. »
À propos de KPMG International
KPMG est un réseau international de cabinets professionnels qui fournit des services en matière d’audit, de fiscalité et de conseil. Présent dans 153 pays, le groupe compte 145.000 employés dans le monde entier. Les cabinets membres indépendants du réseau KPMG sont affiliés à KPMG International Cooperative (« KPMG International »), une société suisse. Chaque cabinet KPMG est une entité légale distincte et séparée, qui se présente en tant que telle.

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