STOP aux violences sexuelles faites aux femmes et aux jeunes filles, c’est le message lancé aux FARDC et aux civils par le personnel militaire féminin et les femmes de la société civile à l’issue de l’atelier de sensibilisation sur le rôle des femmes pour arrêter les violences qui leur sont faites ainsi que le rôle de l’armée pour la protection de civils tenu le vendredi 8 mars 2013 à Minova. Cette journée de sensibilisation qui a réuni près de 100 participants s’inscrit dans le cadre des activités des FARDC visant à créer, rétablir et améliorer les rapports entre les militaires et la population civile des zones de Minova et Bweremana, ainsi que la population des Nord et Sud-Kivu en général.
Cette journée, organisée à l’occasion de la journée internationale de la femme, a permis aux participants d’échanger sur la question de la lutte contre l’impunité envers les violences sexuelles. D’une part, les militaires FARDC ont été sensibilisés sur la nécessité d’arrêter les violences faites aux femmes et, de l’autre, les militaires, les chefs de villages et femmes ont développé des stratégies sur la lutte contre l’impunité et se sont approprié des informations utiles pour en garantir la mise en œuvre. En outre, les femmes comme premières victimes des actes de violence ont également identifié leur rôle dans la lutte contre les violences sexuelles et dans la recherche de la paix. Le code de conduite qui régit les militaires leur enjoint de s’abstenir d’actes ou de complicité d’actes de violence sexuelle. Cette session interpellatrice a été utile pour rappeler aux militaires leurs devoirs ainsi que le respect des mœurs. Par ailleurs, ce cadre de réflexion a aussi permis aux femmes de renforcer leur identité, de se sentir plus légitimées à réclamer leur respect et surtout d’avoir le courage de dénoncer les cas de violences sexuelles. Des représentants de l’auditorat militaire et de la Police Nationale Congolaise (PNC) ont participé à cet atelier afin de rendre claire la volonté de l’Etat de lutter contre ces crimes.
L’activité était organisée par le Service d'Education Civique et d'Action Sociale (SECAS) des FARDC sous le haut patronage du Ministère de la Défense Nationale et des Anciens Combattants (MDNAC) avec l’appui d’EUSEC RD Congo, la mission de conseil et d’assistance de l’Union Européenne en matière de réforme du secteur de la sécurité en RDC dans le domaine de la défense, de la section de la Réforme du Secteur de la Sécurité (RSS) de la MONUSCO, de l’agence des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes, UN Women, et de l’ONG internationale Search for Common Ground.
Cette journée, organisée à l’occasion de la journée internationale de la femme, a permis aux participants d’échanger sur la question de la lutte contre l’impunité envers les violences sexuelles. D’une part, les militaires FARDC ont été sensibilisés sur la nécessité d’arrêter les violences faites aux femmes et, de l’autre, les militaires, les chefs de villages et femmes ont développé des stratégies sur la lutte contre l’impunité et se sont approprié des informations utiles pour en garantir la mise en œuvre. En outre, les femmes comme premières victimes des actes de violence ont également identifié leur rôle dans la lutte contre les violences sexuelles et dans la recherche de la paix. Le code de conduite qui régit les militaires leur enjoint de s’abstenir d’actes ou de complicité d’actes de violence sexuelle. Cette session interpellatrice a été utile pour rappeler aux militaires leurs devoirs ainsi que le respect des mœurs. Par ailleurs, ce cadre de réflexion a aussi permis aux femmes de renforcer leur identité, de se sentir plus légitimées à réclamer leur respect et surtout d’avoir le courage de dénoncer les cas de violences sexuelles. Des représentants de l’auditorat militaire et de la Police Nationale Congolaise (PNC) ont participé à cet atelier afin de rendre claire la volonté de l’Etat de lutter contre ces crimes.
L’activité était organisée par le Service d'Education Civique et d'Action Sociale (SECAS) des FARDC sous le haut patronage du Ministère de la Défense Nationale et des Anciens Combattants (MDNAC) avec l’appui d’EUSEC RD Congo, la mission de conseil et d’assistance de l’Union Européenne en matière de réforme du secteur de la sécurité en RDC dans le domaine de la défense, de la section de la Réforme du Secteur de la Sécurité (RSS) de la MONUSCO, de l’agence des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes, UN Women, et de l’ONG internationale Search for Common Ground.
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