Freedom for journalist (FFJ), organisation neutre de défense et de promotion de la liberté des médias salue la libération, lundi 04 mars 2013, de Joachim Diana Gikupa, éditeur et journaliste à La Colombe, un quotidien paraissant à Kinshasa, capitale de la RD Congo, après 20 jours de détention à la prison centrale de Kinshasa, condamné à 6 mois de prison ferme et au payement des dommageables-intérêts de 20.000 dollars américains.
Joachim Diana a été incarcéré depuis mardi 12 février dont les avocats – mobilisés par FFJ - avaient introduit une requête en obtention de la liberté provisoire à laquelle le tribunal a fait droit. Condamné au Tribunal de paix de la Gombe, Diana - via ses avocats – était allé en appel devant le tribunal de grande instance qui devrait organiser une audience vendredi 08 mars 2013 après avoir pris l’affaire en délibéré.
« Notre campagne « Libérez Diana s’arrête dès ce jour. Nous prenons acte de la décision de libération de Diana, mais ce cas est bien un élément déclencheur pour finalement obtenir des gouvernants une loi devant mettre une croix à l’emprisonnement du journaliste pour avoir dit la vérité. La lutte a été âpre et bien des menaces nous ont été proférées mais nous sommes de marbre parce que la lutte que nous menons est fondée sur des valeurs et non sur des personnes», a déclaré le Directeur de FFJ, Désiré-Israël Kazadi quelques minutes après la libération u journaliste.
« Notre collectif, plus que soudé, entendait conduite cette affaire jusqu’à obtenir la libération du journaliste injustement condamné», a déclaré Me Gérard Nkashama, chef du département d’assistance judiciaire à FFJ et membre du collectif dans l’affaire Diana.
Joachim Diana a été condamné pour avoir publié dans son journal, une enquête sur le fonctionnement de l’hôpital appartenant à un entrepreneur chinois situé à la 1ère rue Limete à Kinshasa.
Joachim Diana a été incarcéré depuis mardi 12 février dont les avocats – mobilisés par FFJ - avaient introduit une requête en obtention de la liberté provisoire à laquelle le tribunal a fait droit. Condamné au Tribunal de paix de la Gombe, Diana - via ses avocats – était allé en appel devant le tribunal de grande instance qui devrait organiser une audience vendredi 08 mars 2013 après avoir pris l’affaire en délibéré.
« Notre campagne « Libérez Diana s’arrête dès ce jour. Nous prenons acte de la décision de libération de Diana, mais ce cas est bien un élément déclencheur pour finalement obtenir des gouvernants une loi devant mettre une croix à l’emprisonnement du journaliste pour avoir dit la vérité. La lutte a été âpre et bien des menaces nous ont été proférées mais nous sommes de marbre parce que la lutte que nous menons est fondée sur des valeurs et non sur des personnes», a déclaré le Directeur de FFJ, Désiré-Israël Kazadi quelques minutes après la libération u journaliste.
« Notre collectif, plus que soudé, entendait conduite cette affaire jusqu’à obtenir la libération du journaliste injustement condamné», a déclaré Me Gérard Nkashama, chef du département d’assistance judiciaire à FFJ et membre du collectif dans l’affaire Diana.
Joachim Diana a été condamné pour avoir publié dans son journal, une enquête sur le fonctionnement de l’hôpital appartenant à un entrepreneur chinois situé à la 1ère rue Limete à Kinshasa.
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