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Webb Fontaine en partenariat avec l’académie de formation Sourcemind posent les bases du transfert de compétences et de technologies dans le cadre du Guichet Unique du Commerce Extérieur de Guinée (GUCEG) : 16 jeunes guinéens formés en ingénierie logicielle

Ce programme, d’une durée de six mois, s’inscrit pleinement dans la stratégie de renforcement des capacités nationales et dans la vision d’un transfert d’expertise technique à l’État guinéen, à l’approche de la fin de la concession du GUCEG

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Dans le cadre du processus de transfert de compétences et de technologies, conformément aux engagements de la concession du Guichet Unique du Commerce Extérieur de Guinée (GUCEG), le groupe Webb Fontaine (www.WebbFontaine.com), en partenariat avec l’académie de formation Sourcemind, célèbre la réussite de la première cohorte de son programme de formation en ingénierie logicielle. 

Ce programme, d’une durée de six mois, s’inscrit pleinement dans la stratégie de renforcement des capacités nationales et dans la vision d’un transfert d’expertise technique à l’État guinéen, à l’approche de la fin de la concession du GUCEG. 

À travers cette initiative, Webb Fontaine traduit son engagement RSE en actes concrets, en soutenant l’émergence d’une expertise locale capable de maintenir, faire évoluer et innover autour des systèmes technologiques mis en œuvre, notamment ceux liés au GUCEG. 

Les 15 diplômés de cette première promotion, sur les 18 candidats inscrits, ont acquis des compétences pointues en développement Java, Java Spring, bases de données, structures de données et algorithmes, DevOps, et déploiement front-end. Ils ont travaillé sur des projets concrets répondant à des besoins réels, tels que des systèmes de gestion de l’apprentissage, des plateformes RH et des outils de gestion commerciale. 

« Cette première promotion formée par l’Académie Sourcemind illustre pleinement notre volonté de garantir la pérennité des acquis technologiques du GUCEG par le développement de compétences locales, solides et durables », a déclaré Monsieur Mamady Doumbouya, Directeur Général du GUCEG. 

« Chez Webb Fontaine, nous croyons fermement que la transformation digitale des États passe par le transfert de savoir- faire. Cette remise de diplômes symbolise notre engagement concret en faveur d’un avenir numérique souverain pour la Guinée », a affirmé Monsieur Alioune Ciss, CEO de Webb Fontaine. 

« Ce programme de formation s’inscrit dans notre stratégie de renforcement des capacités nationales. Il constitue une avancée majeure dans la construction d’une administration publique modernisée, autonome et portée par des compétences guinéennes », a souligné Monsieur Facinet SYLLA, Ministre du Budget. 



Distribué par APO Group pour Webb Fontaine.

Contacts :
Courrier : alseny.dia@webbfontaine.com
Site web : www.GUCEG.Gov.gn
629 41 09 12 / 612 21 03 46 

À propos de Sourcemind :
Sourcemind est un centre de formation technologique de haut niveau, initié par Webb Fontaine. Il a pour mission de doter les jeunes talents locaux de compétences directement opérationnelles, en s’appuyant sur des méthodologies de formation professionnelles alignées aux standards internationaux. 

Dans le cadre du GUCEG, Sourcemind joue un rôle clé dans le transfert de savoir-faire technique, préparant une relève locale apte à assurer la maintenance, l’optimisation et le développement futur des plateformes numériques de l’État guinéen. 

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lundi 3 décembre 2012

L’Afrique sub-saharienne enregistre la plus forte hausse dans l’indice de connectivité mondiale de DHL

Les pays ayant enregistré les hausses de connectivité mondiale les plus marquées sont en Afrique

LE CAP, Afrique du Sud 3 décembre 2012

Les pays affichant les hausses les plus notables sont le Mozambique, le Togo, le Ghana, la Guinée et la Zambie

• La connectivité mondiale n’a pas encore récupéré après la chute brutale observée au début de la crise financière

• Le déplacement du centre de gravité économique du monde refaçonne la connectivité industrielle

DHL a publié aujourd’hui la deuxième édition de son Indice de Connectivité Mondiale (ICM), qui représente une vaste analyse de l’état de la mondialisation de la planète. Ce rapport, réalisé avec plus d’un million de points de données sur la période de 2005 à 2011, conclut que le monde d’aujourd’hui est moins connecté qu’il ne l’était en 2007. Il documente la progression solide de la connectivité mondiale, mesurée en fonction des échanges de marchandises, de capitaux, d’informations et de personnes, entre 2005, l’année de référence du rapport, et 2007, avec une chute brutale au début de la crise financière. En dépit d’une progression modeste depuis 2009, la connectivité mondiale n’est pas encore remontée au plafond observé avant la crise.

Bien qu’à l’échelle internationale, la connectivité mondiale n’ait enregistré qu’une hausse très légère de 2010 à 2011, certains pays ont nettement progressé. Les pays ayant enregistré les hausses de connectivité mondiale les plus marquées entre 2010 et 2011 sont le Mozambique, le Togo, le Ghana, la Guinée et la Zambie, et ils sont tous situés en Afrique sub-saharienne. Bien que cette région compte toujours parmi les moins connectées du monde, elle affiche en moyenne la hausse de connectivité la plus importante de 2010 à 2011.

Les Pays-Bas conservent leur place de 2010 comme étant le pays le plus connecté du monde. En 2011, neuf des dix pays les plus connectés étaient situés en Europe, qui représente donc la région la plus connectée du monde.

Selon Charles Brewer, Directeur général de DHL Express en Afrique sub-saharienne, l’ICM révèle également qu’en 2011, le commerce intra-africain était toujours loin derrière ses homologues européens et asiatiques. « Si nous désirons améliorer cette interconnectivité, nous devons chercher à faciliter les activités commerciales entre les frontières, et améliorer les accords commerciaux régionaux, les procédures douanières et l’efficacité des postes frontaliers, entre autres choses. »

Selon M. Brewer, l’ICM 2012 indique que, d’un point de vue mondial, l’environnement commercial volatil et incertain d’aujourd’hui supporte les conséquences durables de la crise financière. « À cette époque de croissance lente, il est important de ne pas oublier les progrès considérables que la mondialisation a apporté au monde et de reconnaître qu’elle constitue un moteur de progrès économique. Il est primordial que les gouvernements de la planète résistent aux mesures protectionnistes qui entravent les échanges transfrontaliers. »

À propos de DHL :

DHL est le leader mondial du marché dans l’industrie de la logistique et « The Logistics company for the world » (la société de logistique pour le monde entier). DHL engage son savoir-faire dans l’express international, le fret aérien et maritime, le transport routier et ferroviaire, la logistique contractuelle et les services de courrier international pour ses clients. Forte de 275.000 employés et d’un réseau mondial composé de plus de 220 pays et territoires, l’entreprise offre aux clients une qualité de service supérieure et des connaissances locales pour satisfaire leurs exigences en matière de chaîne d’approvisionnement. DHL accepte sa responsabilité sociale en soutenant la protection du climat, la gestion des catastrophes et l’éducation.

Certains faits surprenants de l’ICM 2012 :

Selon la plupart des critères, le monde affiche un pourcentage de mondialisation inférieur à 20 %, et souvent inférieur à 10 %

• Sur les flux internationaux qui ont bien lieu, 50 % à 60 % surviennent au sein des régions

• Le centre de gravité économique du monde s’est déplacé de plusieurs milliers de kilomètres vers l’est au cours de la dernière décennie, et ce changement se poursuit

• Le pays le plus connecté au monde, les Pays-Bas, est cent fois plus connecté que le Burundi, qui représente le pays le moins connecté

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