APO


Go Back

APO Group révolutionne la distribution de communiqués de presse avec l’intégration de Telegram pour booster l’accessibilité mobile à travers l’Afrique

APO Group s’engage à ce que les récits de l’Afrique soient partagés encore plus largement et d’une manière pratique pour la population mobile croissante de journalistes et de consommateurs d’informations sur le continent

Also available in English Também disponível em Português تتوفر أيضا في العربية

APO Group (www.APO-opa.com), leader panafricain primé du conseil en communication et de la distribution de communiqués de presse, est heureux d’annoncer l’intégration de Telegram, le service à succès de messagerie instantanée sur mobile, dans ses canaux de distribution de communiqués de presse. Cette évolution prometteuse, qui rend les communiqués de presse de la société accessibles sur l’application mobile, assoie la position d’APO Group en tant que chef de file des relations publiques et des communications numériques en Afrique, avec une portée et un engagement en ligne inégalés.

Avec un volume annuel dépassant les 10 000 communiqués de presse diffusés à 250 sites web d’actualités et 450 000 journalistes et blogueurs sur le continent et à l’international, APO Group s’engage à ce que les récits de l’Afrique soient partagés encore plus largement et d’une manière pratique pour la population mobile croissante de journalistes et de consommateurs d’informations sur le continent.

Telegram donne à ces utilisateurs un accès direct aux communiqués de presse publiés sur la plateforme www.Africa-Newsroom.com d’APO Group pour leur permettre de partager instantanément des actualités en temps réel et du contenu exclusif avec leurs publics cibles. À l’instar de la plateforme web, les abonnés de Telegram peuvent choisir leur canal linguistique préféré (anglais, arabe, français ou portugais) pour obtenir un accès sur mesure aux communiqués de presse d’APO Group au format mobile.

Avec près de 53 millions de téléchargements (https://apo-opa.co/3FWfLWh) en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique en 2024, Telegram connaît un véritable engouement parmi les utilisateurs de la région et transforme en profondeur la façon dont les informations sont consommées. L’intégration de Telegram dans ses canaux de distribution de communiqués de presse déjà complets soutient la vision d’APO Group consistant à fournir des solutions de communication de pointe pour l’Afrique et le monde.

« Au sein d’APO Group, nous ne nous engageons pas seulement à partager des récits positifs et à fort impact sur le continent africain ; nous voulons également que les journalistes puissent republier notre contenu aussi facilement que possible, en améliorant la visibilité de nos clients via un canal largement accessible et facile à utiliser, avec une taille d'audience illimitée. Des fonctionnalités adaptées garantissent que les informations sont pertinentes, d’actualité et présentées de manière conviviale », explique Bas Wijne, CEO d’APO Group.

« Pour APO Group, l’innovation et la numérisation sont des domaines prioritaires pour le renforcement de ses services de distribution de communiqués de presse. Telegram nous offre une occasion unique d’enrichir notre service de distribution de pointe, en offrant aux journalistes un plus large éventail d’options pour accéder aux informations de l’Afrique et les partager. Cette intégration fait écho à l’évolution du marché, des utilisateurs et de la téléphonie mobile. »

En plus d’Africa Newsroom, sa plateforme distribution de communiqués de presse en ligne, et du nouveau canal mobile de partage d'informations Telegram, APO Group proposera de nouvelles solutions mobiles innovantes à ses clients et aux médias africains dans un avenir proche pour continuer à diversifier ses options de distribution.

Abonnez-vous aux canaux Africa Newsroom Telegram d’APO Group via :

Anglais : https://t.me/Africa_Newsroom

Français : https://t.me/Africa_Newsroom_FR

Arabe : https://t.me/Africa_Newsroom_AR

Portugais : https://t.me/Africa_Newsroom_PT



Distribué par APO Group pour APO Group.

Contact avec les médias : 
marie@apo-opa.com

À propos d’APO Group :
Fondé en 2007, APO Group (www.APO-opa.com) est le leader panafricain du conseil en communication et de la distribution de communiqués de presse. Réputés pour notre expertise africaine profondément enracinée et notre perspective globale, nous sommes spécialisés dans l'amélioration de la réputation et de la valeur de la marque des organisations privées et publiques à travers l'Afrique. En tant que partenaire de confiance, notre mission est d'exploiter le pouvoir des médias, en élaborant des stratégies sur mesure qui ont un impact tangible et mesurable en Afrique et au-delà.

Notre engagement en faveur de l’excellence et de l’innovation a été récompensé par des prix prestigieux, notamment un PRovoke Media Global SABRE Award et plusieurs PRovoke Media Africa SABRE Awards. Nous avons été nommés Leading Public Relations Firm et Leading Pan-African Communications Consultancy en Afrique en 2023, et Best Public Relations and Media Consultancy of the Year South Africa en 2024, lors des World Business Outlook Awards. En 2025, Brands Review Magazine nous a reconnus en tant que Leading Communications Consultancy in Africa pour la seconde année consécutive. Le magazine nous a également nommé Best PR Agency et Leading Press Release Distribution Platform in Africa en 2024.

La clientèle estimée d’APO Group, qui comprend des géants mondiaux tels que Canon, Nestlé, Western Union, le PNUD, Network International, African Energy Chamber, Mercy Ships, Marriott, Africa’s Business Heroes et Liquid Intelligent Technologies, reflète notre capacité inégalée à évoluer dans l’écosystème médiatique africain complexe. Avec des équipes sur le terrain dans de nombreux pays africains, nous offrons des perspectives et une portée inégalées à travers le continent. APO Group se consacre à la refonte de la narration sur l’Afrique, à la remise en question des stéréotypes et à la présentation de récits africains inspirants à un public mondial. Notre expertise dans l’élaboration et l’accompagnement de campagnes de relations publiques dans le monde entier nous permet d’amplifier les messages des marques, de renforcer les réputations et d’établir un lien pertinent avec les publics cibles.

Contenu multimédia

samedi 28 juillet 2012

Kamerhe et compagnie montrent le vrai visage de Kabila à Benguigui


Congo News
Vendredi, 27 juillet 2012 - Vital Kamerhe et quelques cinq autres opposants, notamment Kiakwama kia Kiziki, Samy Badibanga et Martin Fayulu ont dressé un tableau sombre à la ministre française de la Francophonie, Yamina Benguigui. Pendant une heure trente, le 26 juillet, à la résidence de l'ambassadeur de France, ces opposants ont évoqué les multiples entraves observées dans le chef du régime Kabila dans la voie de la démocratisation de la RD-Congo. Premier à prendre la parole, Kamerhe l'a gardé pendant longtemps au nom de toute la délégation convenue de parler d'une seule et même voix. Qu'il est accablant le cahier des charges de l'opposition destiné à François Hollande. Il y a été avant tout question d'un rappel sur les dernières élections. Les opposants les ont qualifiés d'un hold-up électoral qui n'a rien à voir à la volonté populaire exprimée dans les urnes. Conséquence : la RD-Congo connaît depuis une rupture entre son peuple et les institutions ainsi que les animateurs de celles-ci. En son temps, l'opposition avait proposé à Joseph Kabila de s'asseoir autour d'une table pour voir ensemble comment renforcer la légitimité et surtout parvenir à un compromis à la transparence et à des garanties de bonne fin pour la poursuite du processus électoral. Kamerhe et ses compagnons ont exprimé leurs vifs regrets à Benguigui que Kabila n'ait donné aucune suite à cette proposition. A la place, le régime paraissait déterminé à poursuivre sans prendre les revendications formulées pour la restructuration de la CENI. C'est vrai qu'il y a les recommandations de l'Assemblée nationale qui mettent en perspective, la restructuration. Mais les opposants n'y croient pas du tout face à un Kabila qui ne montre aucun signal clair à propos du départ de Daniel Ngoy Mulunda de la tête de la CENI. Les applaudissements de la majorité au pasteur lors du passage de ce dernier à l'Assemblée nationale montrent plutôt que le pouvoir cherche à maintenir le statu quo envers et contre tous.
Les hôtes de Benguigui ont trouvé indécent et immoral de penser organiser le sommet de la Francophonie à Kinshasa pendant que l'Est de la RDCongo est occupé. Cet Est où les droits de l'homme sont bafoués régulièrement et où il ne se passe pas un jour sans, que les médias fassent état d'une femme violée. Hollande avait refusé de se rendre en Ukraine, pour la Coupe d'Europe, pour si peu que cela, juste l'embastillement de l'opposante Julia Timontchenko. « En RDCongo, les violations des droits de l'homme sont massives », ont fait savoir les interlocuteurs de Benguigui. Ces derniers ont épinglé le cas le plus illustre en la matière, l'assassinat de l'activiste Floribert Chebeya. Le principal témoin continu à circuler en toute liberté alors que le témoigne de Paul Mwilambwe est venu l'accabler davantage. Sur le même chapitre, ils ont revendiqué la mise en liberté des opposants détenus pour délit d'option. Ils ont cité nommément Jacques Chalupa, Gabriel Mokia et Fernando Kutino qui a déjà purgé six années pour une condamnation de dix ans. Des droits de l'homme à la justice où la délégation Kamerhe est revenue sur le gel inexpliqué de la mise en place de la Cour constitutionnelle alors que la loi appropriée a été adoptée à l'Assemblée nationale depuis la précédente législature. La justice elle-même dans son ensemble a été mise en cause. « C'est une justice des forts contre les faibles», ont requis les opposants. La bonne gouvernance a été aussi au menu. Un registre qui a vu Kamerhe et les siens exhumer l'enquête du député britannique Eric Joyce sur le bradage des mines congolaises pour une valeur de plus de 5 milliards de dollars avec la participation très active de l'homme d'affaires Dan Gertler. Les opposants ont exigé l'ouverture d'une enquête à l'interne sur cette question. En tout cas, ce n'est pas Joseph Kabila qui accédera à cette requête, de crainte qu'il se tire lui-même balle dans la jambe. Une question très attendue, l'éventualité d'une révision constitutionnelle en rapport avec le mandat présidentiel. Ici, les opposants ne voient une assurance que Kabila s'engage de manière solennelle devant le peuple et le monde. Les opposants ont dénoncé le projet de la balkanisation de la RDCongo. Ils ont été très durs pour parler de «complicité au sommet de l'Etat». Ils ont rappelé qu'a près l'intervention de l'armée rwandaise dans le cadre des opérations militaires conjointes, quelques bataillons des RDF sont restés sur le sol congolais. « Dire que le Rwanda est impliqué à l'Est n'a rien de nouveau puisque ses militaires ont intégré frauduleusement dans le CNDP à l'époque», a appris Benguigui de l'exposé des adversaires de Joseph Kabila. Puisque ont est mieux servi que par soi-même, les opposants ont mis sur le tapis désignation du porte-parole de l'opposition. Par la volonté du régime, cette désignation a été gelée lors de la dernière session extraordinaire de l'Assemblée nationale. Kamerhe et compagnie n'ont pas demandé plus à Benguigui que Joseph Kabila laisse les opposants faire librement leur choix. Pour amener la ministre française à appréhender ce que le régime est capable ce faire en pareille situation, ses invités lui ont relaté comment Aubin Minaku a imposé des hommes de son choix à lui et Kabila au bureau de l'Assemblée là où la loi attribue clairement à l'opposition deux postes. A la place, c'est un certain Jean-Pierre Tshimanga passé à la majorité avec son patron François Muamba qui a sifflé au MLC son poste de rapporteur adjoint. Nulle part ces opposants n'ont demandé à Hollande d'annuler le prochain sommet de la Francophonie à Kinshasa. Ils se contentés plutôt de placer le «Président normal» devant ses responsabilités, rappelant les hauts faits démocratiques de cette France qui avait rallié les Africains contre la guerre unilatérale des Etats-Unis en Irak.
Matthieu Kepa

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire