I
Préambule IL ne se passe pas quelques jours sans que la
population de la ville de Kisangani et ses environs puisse enregistrer un cas
de criminalité conduisant cette dernière à la désolation, les causes et
origines en sont multiples dans le vécu quotidien. L’Organisation non
Gouvernementale de Promotion, de Protection et de Défense de Droits Humains de
la République Démocratique du Congo dénommée HUMAN RESCUE/DRC, une organisation
ayant une personnalité juridique du Ministère de la Justice et Garde de Sceaux
N° 0460 autorisant son fonctionnement sur l’ensemble du territoire national,
reste toujours préoccupée de la situation de la ville de Kisangani est ses
environs. Nous référant à nos stratégies de travail sur terrain (l’observation
de faits, les enquêtes, visites de cachots et prison, l’éducation civique ...)
et nos domaines d’interventions (la promotion et protection de droits humains,
l’accompagnement et assistance judiciaire …) décidons de publier ce rapport
intitulé : « Éléments témoins de l’insécurité, de tracasserie et criminalité
progressives dans la ville de Kisangani et ses environs allant de septembre
2013 à février 2014 ». Le présent rapport va présenter les points ci – après :
De la circulation d’armes au vol à main armée ; Des attaques aux assassinats
Des sites de tracasseries et leurs auteurs Des insuffisances de commissariat
et manque de police de proximité De l’augmentation de cas de viol De l’impact
de l’insuffisance de l’éclairage électrique au ciblage de zones dangereuses
dites rouge Conclusion et suggestions
II
PRÉSENTATION D’ÉLÉMENTS TÉMOINS AU QUOTIDIEN
1.
DE LA CIRCULATION D’ARMES AU VOL A MAIN ARMEE
En
vu de combattre les actes de dérapages, les autorités de la 9ème région
militaires avaient prises des dispositions interdisant aux militaires en
uniforme de circuler en ville avec armes de guerre sans motif valable. En
pratique, cette disposition n’est pas respecter par les militaires de la garde
présidentielle se considérant avec arrogance être au dessus de tous. La
population de la ville a enregistrée nombreux cas de vol à main armée à
plusieurs endroits dont voici : Au Lycée technique Mapedano (une école de
filles installée dans la commune Makiso au quartier de Musiciens) où les hommes
en armé cagoulés avaient emporté une somme d’argent garde à caisse scolaire
après avoir neutralisé le gardien ; A l’Institut de formation de cadre de l’enseignement
primaire et secondaire (IFCEPS) en sigle, une grande somme d’argent avaient été
emporte juste à la rentrée scolaire et plusieurs documents administratifs
démolis par les hommes en armes ; Au bureau de la coordination des écoles
conventionnées protestantes dans la commune de Makiso, à deux reprises le vol
étaient opéré ; Au bureau de la coordination des écoles conventionnées
Kimbanguistes il ya eu vol d’argent et plusieurs documents brulés ; A l’Institut
technique industrielle Chololo de la communauté de Frère Mariste (non loin du
grand camp militaire Ketele ) deux cas de vol à main armée dans l’intervalle de
deux semaines ,20 ordinateurs et autres matériels destinés à la formation
jeunes élèves (futur techniciens dont le pays en a besoin) avaient été emporter
; Aux installations de l’imprimerie SNAPI ex- RENAPI dans la commune de
Makiso au boulevard du 30 juin, à plus au moins à 200 m du bureau de la police
commandement Urbain, plusieurs biens étaient emportés ;
A L’hôtel le Palmier dans la commune de Kabondo sur la 6° avenue non loin du
tribunal de la paix, un vol à main armée avec violence, plusieurs biens des
clients avaient été emporté victime ;
Au bureau de l’ONG d’Education civique dénommée Congo en Images (non loin du
bureau provincial de la Direction Générale de Migration), les hommes en armes
avaient maitrisés le gardien mais n’avaient pas parvenu à casser la porte, ceux
qui a sauver les matériels du bureau. A part ces cas ci-haut citent aux
différentes institutions, nombreux autres cas de vol à main armée dans des
domiciles de plusieurs quartiers avaient été enregistré dans différentes
municipalités (communes), le vol de moto en sont aussi trop fréquent. Au marché
les mamans déplorent plusieurs cas de blessure à l’aide de lame gilette, de
seringue, couteau utilisent par le voleur une fois vous réagissez au moindre
cas de tentative de vol ; leur sacs en main sont aussi emporter par le voleurs
qui utilise la moto comme instrument d’opération facilitant le vol rapide.
2.
DES ATTAQUES AUX ASSASSINATS
Nous
citerons les cas ci-après : En date du 3 janvier 2014 à 22h00, l’exécution
sommaire extra judicaire du jeune Aimé Akata (élève en 5ème année secondaire à
l’Institut Saio/Kimbanguiste, qui se débrouille en faisant le taxi moto après
les heures de cours pour survenir aux besoins scolaires, alors résident sur la
12 avenue n°16 Commune Tshopo) par deux militaires de la garde présidentielle
lui tirant 4 coups de balle vers le la route du cimetière Segama à 22hoo et
emportant sa moto ; La nuit du 5 janvier 2014 un chauffeur de taxi moto a été
attaqué et fusillé sur la 7° avenue au quartier Saio dans la commune de Makiso,
ce dernier avait reçu une balle à la cuisse et la moto a été emporter ;
La nuit du 7 janvier 2014, Monsieur Amani de l’Undss/Monusco a été attaqué à
domicile par les hommes en armes, plusieurs biens des valeurs emportés ;
Le 14 janvier 2014, sur l’avenue Virunga au quartier artisanal dans la
municipalité de la Makiso, Monsieur Fulbert Tamile Tazole (Chef de Travaux à l’Institut
Facultaire des Sciences Agronomiques IFA/Yangambi) est assassiné à du matin
chez lui à domicile au moment où il était à table entrain de rédiger sa thèse
de doctorat.
La nuit du 26 janvier Monsieur Guysha (résident sur la 5° avenue commune Tshopo)
cambiste de son état est retrouver mort en cour de route en plein centre ville
quand il revenait d’une fête de mariage à 23hoo, non loin du centre simama pour
personne Handicape ;
Le 28 janvier 2014 Monsieur Ridex (cambiste) roulant sur sa moto, se verra
attaqué par 3 personnes à l’aide de couteau à 21h00 au niveau du rond point du
petit marché de Litoyi (municipalité de Makiso dans le quartier plateau Boyoma),
une somme de 4.000 dollars a été emportée ;
Le 17 janvier 2014 un jeune garçon mineur dans la municipalité de Mangobo est
porté disparu, son corps sera découvert deux jours après dans les herbes non
loin du stade Molunge de Mangobo (en bas de la paroisse catholique Christ Roi)
entre autre les chiens commencent déjà à détruire le cadavre.
Le 7 février 2014 assassinant avec brutalité du jeune Fiston Okito (Ingénieur
en construction), dans la municipalité de Mangobo avec plusieurs conséquences
de trouble d’ordre public
3.
DES SITES DE TRACASSERIES ET LEURS AUTEURS
a)
Aéroport International de Bangboka (grande porte d’entrée par avion)
Il
est connu que tout passager après avoir payé son billet d’avion, la taxe Go
passe de la RVA (10$) et taxe provinciale de (5 $), ne peut débourse aucun
frais pour accéder à l’avion. Au quotidien les agents de la Direction Générale
de Migration (DGM) en poste exige à tout passager une autre somme d’argent (2.000
FC) avec insistance pour enregistrement (en aller comme à l’arrivé) sans
remettre aucun document justificatif, n’échappe à cette escroquerie ou taxe illégale
la personne avisée, l’Ong Human Rescue veut connaitre à qui profiter cette
pratique ?
b)
Aux différents ports (public et privés de la ville)
A
ces lieux on constatera nombreux agents de services (militaire marin, DGM,
Bureau 2, ANR, police de frontières, DRPO,…) au lieu de faire le travail de
sécuriser la population et ses biens ainsi que la bonne surveillance du territoire,
chacun cherche à soutirer de l’argent au paisible passager surtout si ce
dernier a de marchandise à déposer au bateau, on ne sait plus qui a qualité et
mandat de contrôler bagage et perception de taxes lors du chargement de
véhicule dans un bateau, même si tous document sont en ordre, ces agents
tracassiers retardent toujours l’activité de chargement par la grue jusqu'à ce
que le propriétaire de la marchandise ou son délégué puisse corrompre les
différents service d’un montant allant de 20 à 50 dollars qu’ils se partagent,
vu que le responsable du port ne réagit pas à cette situation , celle - ci qui
constitue un manque à gagne pour l’entreprise. Signalons aussi les cas des
agents le bureau de DGM ,Police de frontières, ANR, Bureau 2, militaire mairain
(qui se transforme en contrôleur de ticket 200FC pour accès au bac ), Mairie
qui sont installés au niveau du port de l’office de route où le bac facilite le
traverse de véhicule pour la rive gauche du fleuve, ces différents agents en
coalition exigent à chaque véhicule de débourse une somme de 10 à 15 dollars
sans aucun document comme preuve de payement. L’Ong Human Rescue pose la
question de savoir l’effectif de services destinés à ces endroits, quels sont
leur rôle à jouer sur place et par chacun d’eux?
c)
Des barrières sur le long du fleuve Congo par les soldats de la garde
présidentielle
A
partir du Sep Congo sur axe fluvial , ce dernier y ont déjà créer de poste de
barrières illégales obligeant tout piroguier de s’arrêter et de débourser une
somme de 3.000FC (soit 3 dollar) aller et retour, cette perception illégale d’argent
est accompagné par des actes d’intimidations ,menaces à l’aide d’arme et
chicote à tout piroguier qui tente de protester. Cette pratique a de
conséquences sociales sur la population, traduit par la hausse de prix des
denrées alimentaires au moment où le pagner de ménagère continue à poser problème
à la cité l’Ong Human Rescue veut connaitre : « pour quoi les autorités
provinciales restent – elle impuissante vis –vis de dérapage des militaires de
la garde présidentielles? »
d)
Aéroport militaire de Simisimi
Actuellement
grandement occupé par les militaires de la garde présidentielle au détriment de
militaire de la Force aérienne, ces derniers se livrent à des arrestations ,
détention irrégulière de la population et torture pour de cas d’affaire civile,
ils se donnent le luxe de se transformer en juges en tranchant certain affaire
avec des amandes fantaisistes non codifier par la lois, il suffit par mégarde
qu’une personne en passage ne s’arrête pas quant il ya activité de descendre le
drapeau, la victime se Vera brutalement arrêter et hautement tabasse suivi d’amende.
Signalons aussi la présence de leur cachot irrégulière qui échappe au contrôle
des autorités judicaires tant civiles que militaires. Bref c’est une justice
parallèle et sauvage. Tantôt vous le trouvez s’ingérer dans le contentieux
foncier, conflit conjugal et plusieurs autres affaires civiles ;
e)
Ex-Bureau de FAO (en face du Bureau du Comité International du Croix Rouge Non
loin de shop Vodacom)
A
cet endroit vous trouverez des militaires de la garde républicaine, une fois de
passage il suffit qu’un de tes correspondants t’appelle et que tu décroches le
téléphone, vite tu te retrouves avec brutalité dans les mains de ces
militaires.
On
ne sait pas ce que ces derniers gardent là bas, beaucoup de personnes ont déjà
perdu leurs téléphones et être tabasser sauvagement à cette zone, aucune
indication montrant si la zone est réservée ;
f)
De barrières sur l’axe Bafwasende (à 2km de la ville)
Les
transporteurs venant du Nord Kivu et Ituri de n’hésitent de se plaindre aux prés
des ONG des droits humains sur l’existence des barrières et multiplicité de
bureaux (Trascom, PCR, Bureau 2, ANR, …) avec de taxes que les autorités de la
province de fois ne connaissent pas la destination de l’argent de perçu , les
témoignages vont au dépense de plus de 130 dollars (sans remise de papier de
justification ) par véhicule à ce poste de tracasserie. A qui profite cette
pratique de honte ?
g)
Des cachots de la police à la prison centrale
Les
pratiques incivique tant décrie sur le comportement de policier appelé à la
garde et gardien de la prison continuent à exiger l’argent aux visiteurs avant
de remettre la nourriture aux détenus surtout quand leur chef est absent du
commissariat. Nous citons le cas du colonel Paul MUSINDE responsable de la
police de l’environnement qui se livre régulièrement aux actes de tracasserie au
près de tenant d’atelier de réparations de vélo, moto et ajustage installent
installé devant l’agence Makiso de la regideso derrières le bureau de l’association
de commerçant de Kisangani (ACKIS en sigle). Quant à la prison centrale, nous
continuons à déplore le comportement irresponsable de gardien et surveillant de
la prison qui sont à la basé du commerce du chanvre et pénétration de couteau
et autre arme blanche. IL ne se passe pas un à deux mois sans qu’on enregistre
une tentative d’évasion et évasion consommer de grand criminel qui retourne
dans la cité pour mettre la vie du paisible citoyen en danger même celle du
juge et magistrat qui avait prononcé sa condamnation.
4
DE L’AUGMENTATION DE CAS DE VIOL ET CORRUPTION CACHEE
Nombreuse
filles mineurs en sont victimes, d’autres parents commencent à s’inquiéter sur
la sécurité de leur filles sur la route de l’école. Bien que la police de
protection de l’enfant et de la femme s’engage fortement pour la répression du
crime du viol, à la cité la fréquence de nouveau cas ne font qu’accroitre. Une
fois appréhendé le violeur est transféré au Parquet de Grande Instance pour la
poursuite de la procédure, nombreux auteurs du viol retrouve la leur liberté,
ceux qui croupie en prison sont cela qui n’ont pas de l’argent pour corrompre
sous la couverture de la mise en liberté provisoire ; et dans ce cas le violeur
n’a plus peur de la justice entre autre la vie de jeune fille est en danger,
quelque part le responsable du bureau de police de la protection de fille et
femme sera démotivé dans sa détermination répression suite au pratique de honte
de corruption sous couvert au mise en liberté provisoire du violeur.
5.
DE L’INSUFFISANCE DE COMMISSARIAT AU MANQUE DE L’ÉQUIPEMENT POUR LA POLICE DE
PROXIMITÉ DANS LES ZONES DE GANGSTERS DITES ZONES ROUGE
Les
autorités semblent traiter la question de la sécurité urbaine avec peu de
considération. Il est connu de tous, qu’à Kisangani il ya de quartier qui
constituât de grande base de gangster tel que dans la municipalité de Mangobo au
quartier Matete avec le groupe « kata moto » (couper la tête), Bâna état unies
dans la municipalité de Kabondo le groupe Vendôme et ligue arabe vers l’axe
cimetière kambakamba, normalement avec le nouveau lotissement l’autorité
devrait aussi avoir une vision d’étendre le commissariat de police de proximité
avec bonne équipement pour assurer la sécurité de la population. Au
commissariat et sous commissariat de la police, vous trouverez les agents dont
le poids de l’âge ne leur permet d’assurer une répression. En urgence la zone
dites rouge nécessite une installation de sous commissariat de la police d’intervention
rapide avec équipement conséquents pour faire face au acte de banditisme
urbain.
6.
IMPACT DE L’INSUFFISANCE DE L’ÉCLAIRAGE ELECTRIQUE OCCASIONNANT L’ACCÉLÉRATION
DU BANDITISME
L’absence
ou l’insuffisance de l’éclairage occasionne les actes barbares par les
gangsters dans plusieurs endroits dans la ville de Kisangani et plusieurs
citoyens en sont déjà victimes. Nous signalons aussi que le cas deuil constitue
aussi une occasion de violence dans plusieurs quartier voir même aussi par les
étudiants au cas où un de leur est décédé, à cela nous présentons quelques
sites dangereuse selon la commune ou municipalité : Dans la commune de Mangobo
: Au périmètre du marché appeler « limanga yase » ; Au périmètre de la paroisse
Christ Roi ; - Dans le quartier « bambole » connue au nom de Bâna états unies ;
- Au quartier Matete ; - Axe cimetière segama dans la commune Makiso ; - Axe
collège Maele passant devant le camp des anciens combattants ; - Rond point
Maele devant le chantier de l’hôtel du gouvernement provincial Triangle du
marché « litoi » en venant du pont de la rivière Tshopo ; - Aux alentours du
marché central de la Makiso - Triangle derrière ex- hôtel Congo palace et salle
de spectacle de l’aumônerie des jeunes dans la commune Makiso ; - Triangle de
la 15e avenue commune tshopo ; L’axe quartier Saio
III
CONCLUSION ET SUGGESTIONS
Il
y a deux mois passé que le gouvernement provincial de la province Orientale
avait l’honneur d’organiser dans la ville de Kisangani une table ronde
économique avec plusieurs bailleurs de Fond et quelques représentants des
institutions internationales avec objectif de redynamiser le climat d’affaires
dans la Province Orientale, les actes de banditismes peuvent occasionner un
ralentissement d’un programme d’investisseur. Quel homme d’affaire peu vouloir
aller exposer ses capitaux dans une zone avec tendance à devenir très
dangereuse, les maisons en chantier non habitable sont aussi siège de
retranchement de gangsters, tout fois le bruit nocturne par la multiplicité des
églises et leur programme veuille (ce qui constitue du tapage nocturne),
peuvent occasionner les attaques et vol sans que la victime puisse être
secouru. Certes nombreux habitants de la ville de Kisangani commence à émettre
les hypothèses selon le quelle « le bandit de « kulouna » de Kinshasa alors
transfère pour faire la prison à Kisangani lors de programme de tolérance zéro,
quelques uns ont trouvé la liberté et les évadés redeviennent très actif dans
la cité, d’où le cycle de l’insécurité va demeure au rendez-vous. Suggérons
ceux qui suivent : - Aux autorités politico –administratives et
judicaires qu’ils puissent totalement prioriser le dossier des
sécurités dans leur programme. - L’installation de police de proximité est une
urgence ; - A l’aide des différentes taxes que les autorités puissent
programment l’électrification totale de voies publiques de toutes les communes
et quartiers voir même dans les avenues ; - Rendre disponible un numéro vert de
secours et installé une police de proximité dans les quartiers ; - D’équiper la
police de proximité ; - Ouvrir une enquête démasqué tous ces auteur de
tracasserie et acte barbare et le réprimer avec un châtiment exemplaire ; - De
remettre les militaires de la garde présidentielle à l’ordre en ouvrant d’actions
disciplinaires ; - La suppression de barrières sur le long du fleuve et route ;
- De démantelé tous les agents tracassiers ; - De supprimer les veillée de
prière qui occasionne de tapage nocturne ; - De remettre les chefs de quartier,
bloc et avenue vraie au travail de vigilance comme représentant de l’autorité à
la base
-
A la population, d’être coopérative dans la pratique de dénonciation
de pratiquant d’anti valeur - D’être trop solidaire avec esprit d’équipe ; - De
chasser la peur au quotidien pour combattre le mal Ainsi Publier à Kisangani ce
15/02/2014. La Coordination Provinciale de l'ONG HUMAN RESCUE/DRC de la
Province Orientale.
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