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lundi 31 mars 2014

Les plus grandes stars de la musique africaines et ONE.org lancent « Cocoa ‘na Chocolate » pour révolutionner l’agriculture



19 artistes. 11 pays. 10 langues. 1 seul message aux dirigeants africains : Do Agric. L’agriculture, ça paye !
Lagos, Nigéria, 31 mars 2014 - L’organisation non gouvernementale ONE.org lance le 31 mars 2014 un titre suite à l’une des plus importantes collaborations musicales que le continent ait jamais connue : « Cocoa ‘na chocolate ». Cette collaboration vient soutenir la campagne « Do Agric. L’agriculture, ça paye » qui vise à redynamiser les investissements dans l’agriculture. Dix-neuf stars africaines, dont D’Banj du Nigéria, Fally Ipupa du Congo, RD et Tiken Jah Fakoly de la Côte d’Ivoire, Rachid Taha, de l’Algérie se sont réunies pour contribuer à redorer l’image de l’agriculture et dire à la jeunesse africaine que leur avenir se trouve sous leurs pieds, dans leurs mains.
Les artistes participant sont : A.Y. – Tanzanie, Bufallo Souljah – Zimbabwe, D’banj – Nigéria, Dama Do Bling – Mozambique, Diamond – Tanzanie, Dontom – Nigéria, Fally Ipupa – République démocratique du Congo, Femi Kuti – Nigéria, Judith Sephuma - Afrique du Sud, Juliani – Kenya, Kunle Ayo – Nigéria, Liz Ogumbo – Kenya, Nancy G – Swaziland, Omawumi – Nigéria, Tiken Jah Fakoly - Côte d'Ivoire, Rachid Taha – Algérie, Victoria Kimani – Kenya, Vusi Nova – Afrique du Sud et Wax Dey – Cameroun
A travers cette chanson, les artistes font entendre leur voix pour mobiliser les jeunes, les appeler à  rejoindre ONE.org et à soutenir la campagne « Do Agric » qui appelle les dirigeants africains à adopter de meilleures politiques agricoles qui permettront de créer des emplois pour les jeunes, d’apporter un meilleur soutien aux petits exploitants, de dynamiser la productivité, de diversifier la chaine de valeurs agricole et de contribuer à sortir des millions d’Africains de l’extrême pauvreté.
La chanson « Cocoa ‘na chocolate » vise à montrer l’importance de l’agriculture tant pour l’avenir de l’Afrique que pour la lutte contre l’extrême pauvreté. L’exemple du cacao illustre un paradoxe : alors que des tonnes de fèves de cacao sont produites en Afrique, le chocolat y est vendu à un prix exorbitant. En effet, les fèves exportées pour transformation le sont à un prix insignifiant par rapport à celui du produit fini, le chocolat. Ce qui montre clairement que l’Afrique rate ainsi une opportunité économique clé, celle de la transformation et le marketing du produit fini. L’avenir de l’Afrique est donc dans l’agriculture. Une chaine de valeurs agricole prospère est un excellent moyen de créer des emplois et des opportunités entrepreneuriales viables, générer de meilleurs revenus pour les agriculteurs et atteindre une productivité efficace qui permettra de réduire les prix des denrées alimentaires.
Ces artistes populaires se sont engagés aux côtés de ONE.org, pour dire aux jeunes que non seulement l’agriculture est « tendance » mais que c’est aussi un bon moyen de gagner sa vie. Mais, en l’absence d’une volonté politique forte et du soutien du plus grand nombre de citoyens, la jeunesse africaine ne sera pas en mesure de jouir du potentiel de l’agriculture. C’est pour cette raison que ONE.org et les voix africaines les plus populaires s’associent pour dire aux dirigeants africains, aux investisseurs et aux jeunes « Do Agric, l’agriculture, ça paye. ».
Dr Sipho S. Moyo, Directrice Afrique, ONE.org, déclare:
« Ces grands artistes sont des modèles pour les jeunes africains. Le fait qu’ils soutiennent l’agriculture lance un message puissant à ces jeunes. Il est temps que nos dirigeants investissent plus dans l’agriculture et mettent en place des politiques ciblées qui favorisent les petits exploitants qui produisent 80% de notre nourriture. L’augmentation des investissements publics permettra également de répondre au chômage des jeunes, d’encourager la participation du secteur privé et de déclencher le vaste potentiel économique du continent. Le continent a le potentiel de se nourrir, d’en finir avec l’extrême pauvreté et d’atteindre une transformation économique et sociale durable.
En effet, selon la FAO, la croissance agricole en Afrique subsaharienne contribue 11 fois plus à la réduction de la pauvreté que celle des secteurs non agricoles comme les services publics et le secteur minier. « Do Agric » est un mouvement qui vient de l’ensemble du continent pour appeler les gouvernements africains à respecter leur promesse d’allouer au moins 10% de leur budget national à l’agriculture à travers des investissements ciblés, une promesse faite à Maputo en 2003, et de le faire de manière transparente et redevable. Nous sommes fiers et privilégiés de collaborer avec un groupe d’individus si extraordinaires. Nous voulons passer le message qui souligne que l’Afrique peut non seulement se nourrir mais contribuer à nourrir le monde. »
La superstar nigériane D’Banj de déclarer :
« En tant que musiciens africains, l’agriculture est la seule cause pour laquelle nous devons nous engager, tous ensemble, et je suis fier de dire que nous l’avons fait. Ici, au Nigéria, alors que le gagne-pain de 70 % de la population dépend de l’agriculture, le budget fédéral alloué à l’agriculture est à la baisse, il est de seulement 1,7 % aujourd’hui. C’est un problème très sérieux, surtout quand on sait que le Nigéria dépense, chaque année, des millions de nairas dans l’importation de denrées alimentaires.
Il y a plusieurs années, la plupart des gens regardait les musiciens de haut car ils pensaient que la musique n’était pas rentable. Aujourd’hui les musiciens gagnent bien leur vie et sont respectés. De la même manière, l’agriculture a été identifiée comme une source d’emploi et je suis convaincu que les jeunes africains la voient maintenant non seulement comme tendance et rentable, mais aussi comme le moyen le plus rapide de créer des jobs et de nourrir nos familles.
A travers cette chanson, nous demandons aux jeunes d’aller sur internet, de rejoindre ONE. org  et d’appeler nos dirigeants à agir et à augmenter leurs investissements dans l’agriculture. Et ce, pour que les jeunes aient plus de chance de réussir. »
« Cocoa ‘na Chocolate » a été co-produite par Cobhams Asuquo et DeeVee de DB Records. Godfather Productions a tourné le clip vidéo qui sortira le 3 avril. Les couplets ont été écrits par chaque artistes et le refrain par D’Banj. DKM Media et ONE sont partenaires dans ce projet. La chanson est disponible pour téléchargement gratuit sur ONE.org après que les internautes ont signé la pétition « Do Agric ».
À propos de « Do Agric. L’agriculture, ça paye. »
- La campagne « Do Agric. L’agriculture, ça paye », lancée en janvier dernier, appelle les dirigeants membres de l’Union africaine à consacrer au moins 10 % de leurs budgets nationaux à des investissements agricoles efficaces, à travers des budgets transparents et responsables.  Elle les invite aussi à adopter de meilleures politiques qui stimuleront la productivité, accroîtront les revenus et aideront des millions d’Africains à sortir de l’extrême pauvreté.
- ONE.org a collabore tout au long de la campagne avec PAFO, ActionAid International, ACORD, Oxfam International et d’autres organisations nationales.
- Dans le cadre de cette campagne, ONE.org a publié un rapport, intitulé Prêts au changement : la promesse de la transformation agricole de l’Afrique, qui propose aux gouvernements africains de mettre en œuvre un ensemble de recommandations » pour accélérer le développement économique de l’Afrique et à définir leur propre agenda de transformation agricole, en accord avec le programme d’agriculture « PDDAA » de l’Union africaine.
Faits intéressants :
- Il y a 19 artistes de 11 pays différents dans la chanson : Afrique du Sud, Algérie, Cameroun, Côte d’Ivoire, Congo, RD, Kenya, Mozambique, Nigéria, Swaziland, Tanzanie et Zimbabwe.
-  La chanson et le clip ont été enregistrés en trois jours à Johannesburg, Afrique du Sud, pour soutenir la campagne de ONE.org « Do Agric. L’agriculture, ça paye »
-  Chaque artiste a écrit ses propres paroles
-  Il y a 10 langues différentes : anglais, arabe, français, lingala, malinké, pidgin, portugais, shona, swahili et xhosa. 
-  la croissance agricole en Afrique subsaharienne contribue 11 fois plus à la réduction de la pauvreté que celle des secteurs non agricoles comme les services publics et le secteur minier
-  C’est l’une des plus grandes collaborations musicales sur le continent
À propos de ONE.org
ONE.org est une organisation de campagne et de plaidoyer, soutenue par plus de 3,5 millions de personnes dans le monde, qui agissent pour en finir avec l’extrême pauvreté et les maladies évitables, particulièrement en Afrique. Cofondée par Bono et strictement apolitique, ONE mène campagne pour sensibiliser le plus grand nombre de citoyens sur les enjeux liés au développement. Nous travaillons avec les dirigeants du monde entier pour combattre le sida et les autres maladies évitables, pour augmenter les investissements dans le secteur agricole et dans la nutrition et pour exiger une plus grande transparence financière. ONE travaille également en étroite collaboration avec des activistes, notamment africains, qui se battent contre la corruption, font avancer la lutte contre la pauvreté, contrôlent l’usage de l’aide et aident à renforcer la société civile.

vendredi 28 mars 2014

Lancement de la plateforme de communication pour le développement "YenKasa Afrique" : Promouvoir le dialogue



Dakar, 2-0 mars 2014. Nous célébrons cette semaine le lancement de la plateforme de Communication pour le Développement (ComDev) YenKasa Afrique. Il s’agit d’une plateforme régionale à l'initiative de la FAO et de l'Association mondiale des radiodiffuseurs communautaires (AMARC) pour améliorer les connaissances et le partage d’expériences en matière de communication appliquée au développement rural en Afrique, lequel englobe l’agriculture, l'élevage, la sylviculture et les secteurs de la pêche.
La communication participative amplifie la voix des communautés locales et favorise le développement rural, et c'est pourquoi YenKasa Afrique encourage fortement les radios communautaires, les professionnels des médias ainsi que les organisations régionales de la société civile à prendre part au dialogue et aux échanges qui auront lieu sur la plateforme. YenKasa Afrique offre un accès à un grand nombre de ressources utiles et favorise une interaction fructueuse entre les membres de la communauté en ligne. 
La sécurité alimentaire et le développement durable en Afrique dépendent en grande partie d’une gestion appropriée des ressources naturelles, d’une sensibilisation aux adaptations induites par le changement climatique, d’une attention particulière à l'agriculture familiale et d’un accès à l'information par l'intermédiaire des technologies de l'information et de la communication.
YenKasa est une expression Akan originaire du Ghana. "Yen" signifie littéralement Notre et "Kasa" veut dire Parler. Toutefois, lorsque les deux termes sont placés ensemble, l'expression prend le sens de "Parlons ensemble/ Dialoguons". L'expression met l'accent sur la nécessité de réfléchir ensemble, dans un processus de dialogue social, afin d'identifier et résoudre les principaux défis auxquels les communautés sont confrontées.
La plateforme YenKasa Afrique inclut une vaste sélection d'articles actualisés chaque mois et centrés sur les projets, les stratégies et les méthodologies relatives à ComDev ainsi que sur  les initiatives en faveur de l'agriculture et du développement rural en Afrique. En outre, la plateforme offre une vaste galerie multimédia contenant des fichiers audio, photos et vidéos liés aux activités ComDev ainsi que des interviews effectuées auprès de petits exploitants et de radios communautaires. Une série de forums virtuels consacrés au rôle de la communication au service de l'agriculture familiale seront bientôt ouverts sur la page Communauté ComDev. Les publications, ainsi que d'autres manuels techniques concernant les projets ComDev, seront également disponibles.

Les jeunes entrepreneurs sont-ils à la traîne en Afrique du Nord et en Afrique Centrale ?



Organisé par l’African Leadership Academy (ALA) en partenariat avec la Fondation MasterCard, le Prix Anzisha récompense par un Prix de 75.000 USD les jeunes entrepreneurs africains
Johannesburg, Afrique du Sud, 27 mars 2014 - Les données recueillies concernant les candidatures au Prix Anzisha indiquent une possible pénurie de jeunes femmes entrepreneures, provenant d'Afrique du Nord et d'Afrique Centrale ou qui sont impliquées dans des projets d'énergies renouvelables.
 « Nous espérons que les données que nous possédons concernant ces candidatures sont le résultat de faiblesses dans notre stratégie de communication, plutôt que d'une réalité sur le terrain. Si notre échantillon reflète bien l'activité des jeunes entrepreneurs sur l'ensemble du continent, nous devons alors faire face à une situation plutôt désastreuse en terme de création de projets par les jeunes, en dehors de certains centres-clés », a affirmé Josh Adler, directeur du Centre de Leadership Entrepreneurial à l’African Leadership Academy.
« Il s'agit d'une tendance qui doit changer rapidement et le Prix Anzisha a pour objectif de catalyser ce mouvement. Nous avons besoin de voir une plus grande part d'activité entrepreneuriale à l'initiative des adolescents de tout le continent, et dans des secteurs d'activité clés qui sont susceptibles de créer des emplois de qualité et qui seront des facteurs de croissance ».
Les jeunes femmes d'Afrique du Nord et Centrale ainsi que celles présentant des projets sur les énergies renouvelables dans toute l'Afrique sont invitées à participer au prestigieux Prix Anzisha, qui vise à récompenser les jeunes entrepreneurs en Afrique. Des informations sur les candidatures, ainsi qu'un soutien par pays, est disponible en français et en arabe. 
Organisé par l’African Leadership Academy (ALA) en partenariat avec la Fondation MasterCard, le Prix Anzisha récompense par un Prix de 75.000 USD les jeunes entrepreneurs africains âgés de 15 à 22 ans pour leurs projets qui ont des effets concrets dans leurs communautés. Il existe également un Prix supplémentaire de 10.000 USD. La récompense a été rendue possible grâce au Cercle de Donateurs pour l’Afrique, un groupe de la Fondation des Communautés de Donateurs de la Silicon Valley. Ce Prix sera décerné à un jeune entrepreneur qui aura développé un projet innovant sur l'énergie renouvelable.
À une semaine de la clôture des candidatures, plus de 200 candidatures ont été reçues, provenant de plus de 25 pays, parmi lesquelles certains projets sont très intéressants.
- Nous manquons de candidatures de jeunes entrepreneurs féminins. Si 55 % de la population jeune africaine âgée de 15 à 24 ans est constituée de femmes, les jeunes femmes représentent seulement 25 % de l'ensemble des candidatures au Prix Anzisha. Cette année, le Prix Anzisha a réalisé des efforts remarquables pour attirer les jeunes femmes à travers des partenariats avec des organisations telles que le Forum des éducatrices africaines (FAWE). Pourtant, nos données indiquent que de nombreux obstacles persistent encore au développement des activités entrepreneuriales chez les jeunes filles.
- Les candidatures d'Afrique du Nord sont peu nombreuses malgré une augmentation significative des campagnes de sensibilisation pour le Prix Anzisha Prize dans cette région. Sur les 33 candidats au Prix Anzisha sélectionnés depuis 2011, on compte seulement trois candidatures en provenance d'Afrique du Nord, toutes les 3 provenant de jeunes hommes originaires d’Égypte. Des efforts considérables ont été réalisés cette année pour favoriser la participation au Prix Anzisha en Afrique du Nord : des documents officiels sont à présent disponibles en français et en arabe et l'équipe du Prix Anzisha est allée rencontrer des partenaires de toute l'Afrique du Nord au début du mois de mars.
- Les projets portant sur le biogaz et sur le charbon vert semblent être favorisés chez les jeunes africains, par rapport à l'énergie solaire, éolienne, et aux autres sources d'énergie alternatives. On relève peu d'entreprises en aval provenant des secteurs qui bénéficient de la production d'énergie autonome (hors réseau). Sur toutes les candidatures sur les énergies renouvelables reçues jusqu'à présent, presque toutes sont des projets portant sur le biogaz et le charbon vert produits à partir de déchets, ce qui peut soulever la question suivante : existe-t-il de jeunes entrepreneurs africains qui ouvrent la voie à d'autres sources d'énergie alternatives ?
« Nous devons faire appel aux médias, aux organisations soucieuses de l'égalité des sexes et aux professeurs pour qu'ils encouragent les candidats potentiels à s'inscrire au concours ». Josh Adler a ajouté : « Notre équipe affectée aux candidatures est à la disposition des candidats pour les aider dans le dépôt de leurs candidatures, aussi bien en français, en arabe qu'en anglais et nos partenaires pays sont mobilisés dans le but de faire participer la presse nationale au débat sur les jeunes entrepreneurs dans différents pays ».
Les anciens boursiers du Prix Anzisha sont entre autres, Best Ayiorwoth, une jeune femme originaire d'Ouganda, qui a créé une petite entreprise de services de micro-crédit pour agir en faveur des jeunes femmes en Ouganda et les autonomiser, et Khaled Shady, l'inventeur de Mubser, une ceinture portable destinée aux  malvoyants en Égypte (Shady a été récemment classé par Forbes parmi les 30 jeunes entrepreneurs les plus prometteurs de moins de 30 ans). 
Les candidatures sont ouvertes dès à présent et seront acceptées jusqu’au 1er avril 2014. Les formulaires de candidature sont disponibles en anglais, français et arabe et peuvent être téléchargés sur le site anzishaprize.org. Les candidats potentiels peuvent discuter en ligne, voir nos dernières activités et entrer en contact avec notre équipe sur Facebook www.facebook.com/anzishaprize
Les finalistes gagneront un voyage, tous frais payés à Johannesburg, en Afrique du Sud à l'African Leadership Academy pour participer à un programme de développement de l'entrepreneuriat d'une semaine qui s'achèvera par la cérémonie de remise des prix. Sur place, ils participeront à une conférence au célèbre Centre de Leadership Entrepreneurial de l’ALA animée par des tuteurs d'entreprises expérimentés. Ils participeront ensuite à un programme de formation de longue durée dans le cadre du réseau d'anciens étudiants de l'African Leadership Academy, où ils bénéficieront d'opportunités exceptionnelles en termes de développement personnel et de perspective de croissance.


Gemalto lance une solution intégrée de gestion des visas pour un contrôle rapide, fiable et sécurisé de l’immigration

La solution comprend des plateformes, un logiciel et des services pour renforcer la sécurité aux postes de contrôle frontalier et diminuer significativement le temps d'attente grâce à une vérification automatique des documents et des systèmes de contrôle de la frontière
Johannesburg, Afrique du Sud, 27 mars 2014 - Gemalto (Euronext NL0000400653 GTO), leader mondial de la sécurité numérique a présenté la solution Coesys de gestion des frontières et des visas pour répondre aux besoins combinés de sécurisation des frontières et de simplification des procédures de voyage. La solution de bout en bout intègre des plateformes de services, des logiciels sécurisés et des services sur site pour réduire sensiblement les temps d'attente grâce à l'utilisation de la vérification automatisée de documents et les contrôles aux frontières terrestres, maritimes et aux aéroports. La technologie Gemalto de gestion des visas et des frontières permet aux autorités gouvernementales de mettre en place un système connecté électroniquement pour un déploiement simple des politiques d'immigration.
Ce nouveau moyen entièrement informatisé renforce la sécurité et fournit un ensemble d'outils plus efficaces pour contrôler les entrées et les sorties aux frontières. Il permet aussi, en utilisant les bases de données officielles internationales, de mieux détecter et prévenir la perte et le vol des documents de voyage. Les e-gates automatisées aux points de contrôle frontaliers peuvent facilement incorporer la gestion Coesys des frontières et des visas. Ces systèmes hautement sécurisés de vérification des voyageurs en deux étapes inspectent tout d'abord l'authenticité du passeport électronique puis effectuent une reconnaissance faciale et des empreintes digitales pour associer le détenteur aux données électroniques stockées de façon sécurisée sur le passeport électronique.
En plus d'une plateforme dédiée au contrôle des frontières, le catalogue Gemalto comprend des services de conseils, la conception de solutions, un système d'intégration et l'assistance complète pour la transition depuis les systèmes existants aux infrastructures intégrées de gestion des frontières. Coesys Border & Visa Management mettent à profit la présence mondiale unique de Gemalto et les relations de confiance de longue date avec les gouvernements et les autorités internationales acquises avec plus de 80 déploiements réussis dans le secteur public.
« Cette nouvelle solution capitalise sur l'expertise sécurité de Gemalto et les centaines de millions de documents de voyage électroniques avec les services connexes que nous avons déployés jusque-là, » déclare Frédéric Trojani, vice-président exécutif, programmes gouvernementaux à Gemalto. « Le trafic aérien des passagers devrait doubler d'ici 2030 et 53 % des passeports émis devant intégrer un dispositif électronique en 2017, la solution Coesys de gestion des frontières et des visas arrive exactement au moment où les gouvernements ont besoin de localiser rapidement les voyageurs dans les aéroports internationaux sans compromettre la sécurité. »

À propos de Gemalto
Gemalto (Euronext NL0000400653 GTO) est le leader mondial de la sécurité numérique avec un chiffre d'affaires 2012 de 2,2 milliards d'euros. Présent dans 43 pays, Gemalto emploie plus de 10.000 salariés travaillant depuis 83 bureaux et 13 centres de Recherche et Développement.
Nous nous développons au coeur du monde numérique en évolution rapide et constante. Des milliards de personnes à travers le monde revendiquent de plus en plus la liberté de communiquer, acheter, voyager, faire des transactions bancaires, se divertir et travailler - à tout moment et en tous lieux - de façon agréable et sûre. Gemalto répond à leurs demandes croissantes en matière de services mobiles personnels, paiement sécurisé, authentification des accès au « cloud », protection de l'identité et de la vie privée, services d'e-santé et d'e-gouvernement performants, billettique des transports urbains facile d'utilisation et applications M2M fiables. Nous développons des logiciels embarqués et des produits sécurisés que nous concevons et personnalisons. Nos plateformes logicielles et nos services gèrent ces produits, les données confidentielles qu'ils contiennent et les services sécurisés qu'ils rendent possibles pour les utilisateurs finaux.
Nos innovations permettent à nos clients d'offrir des services numériques de confiance et faciles d'utilisation à des milliards de personnes. Gemalto continue de croître avec le nombre grandissant d'utilisateurs de ses solutions pour interagir dans le monde numérique et mobile.