APO
mardi 17 décembre 2013
Un ancien leader d’un groupe armé du Nord-Kivu : «Les Fdlr doivent rentrer au Rwanda avec leurs armes comme s’ils sont venus en Rdc en 1994 »
Didier
Bitaki, un ancien leader d’un groupe armé émet un avis contraire pour la simple
raison que les éléments Fdlr existent sur le sol congolais depuis plus de 22
ans maintenant. Ils connaissent et ont parcouru toute la Rdc. Ce n’est pas la
première opération qui est décidée pour les traquer. « Ces éléments ont résisté
contre l’Afdl, le Rcd, le Cndp, l’opération Amani Leo, Umoja wetu et actuellement
contre l’opération Pomme orange qui a mis fin à la rébellion du M23 dans le
Nord-Kivu ».
Le
fait de déclarer les opérations contre ces mêmes gens supposent encore une fois
une mise en scène, pense-t-il. « Moi je ne voudrais pas conseiller à
l’Etat-Major général ou aux Fardc d’entamer une nouvelle opération qui puisse,
une fois encore endeuiller les filles et fils de l’Est de la Rdc. Les éléments Fdlr
ne se trouvent pas dans les centres urbains ou dans les centres-villes où
vivent les autorités militaires. Non. Ces gens vivent avec la population à
l’intérieur des provinces. Là où les Fardc ne contrôlent pas. Là où les populations
n’ont aucune défense. J’aimerais rappeler bien que les conséquences, cette
fois-ci, pourraient être placées à la responsabilité de ceux qui ont décidé de
cette opération ».
Didier
Bitaki aimerait à ce que, cette fois-ci, cette opération soit planifiée avec
ceux qui vivent au quotidien les affres des éléments Fdlr et même d’Adf-Nalu
sur le terrain. Le fait d’avoir accepté les opérations à Kinshasa sans associer
les acteurs principaux qui vivent sur le terrain avec les Adf-Nalu, notamment
la population locale, les grands notables de différents milieux, et qu’on
décide tout d’un coup d’engager une guerre contre les rebelles qui ont déjà
tenu en otage la population, c’est une façon de sacrifier ce peuple, regrette
Didier Bitaki.
Il
partage le point de vue du président de la République, Joseph Kabila, qui a dit
que ces gens devraient se rendre volontairement à défaut d’y être contraints.
D’accord, mais la contrainte suppose un certain nombre de stratégies, de
tactiques à les bouter dehors sans qu’ils aient décimé le peuple congolais.
« Nous avons encore une fois l’expérience des prêtres catholiques qui sont
encore entre les mains des Adf-Nalu dans le territoire de Lubero. Nous avons
l’expérience des populations du territoire de Walikale qui sont tenues par les
Fdlr en otage, nous avons même l’expérience de certains groupes armés locaux et
nationaux qui collaborent avec les Fdlr. Comment on arrivera à mettre hors
d’état de nuire ces gens ».
Pour
cette raison que cet ex-leader du groupe armé Kifuafua n’est pas d’accord de
cette opération en vue. Il conseille même au commandement des Fardc de ne pas
oser remettre en danger la vie des populations civiles qui ont payé de tout
leur prix de ces aventures ou des ces expériences militaires qui ont été prélevées
sur cette même population. « On en a assez ».
En
posant des conditions pour déposer les armes, il ne revient pas au gouvernement
congolais de les pousser au dialogue avec leur gouvernement. Le gouvernement
congolais devrait s’abstenir d’engager des opérations militaires contre les
Fdlr parce que ce sont des groupes armés étrangers qui n’ont rien à voir,
aucune revendication envers les institutions légales de la Rdc. Qu’ils posent
des revendications contre le gouvernement rwandais. Celui-ci n’a qu’à assumer
et accepter de négocier parce que ce n’était pas un tabou de voir le
gouvernement congolais négocier avec le M23 à Kampala et pourquoi pas les Fdlr
avec le gouvernement de Paul Kagame.
Dernièrement
le gouvernement et la Monusco ont décidé de lancer l’opération de drones pour
surveiller la frontière de la Rdc dans sa partie orientale. « Pourquoi
est-ce qu’on doit empêcher les Fdlr avec leurs armes de rentrer au Rwanda pour
frapper le gouvernement rwandais pour qu’il accepte de négocier cette fois-ci
avec sa rébellion ? Nous l’avions fait et tenté cette expérience et les
Fdlr n’ont qu’à négocier chez eux au Rwanda et non sur le sol congolais. Le
gouvernement et le territoire congolais n’appartiennent pas aux Fdlr. Les
revendications qu’ils posent ne concernent pas le gouvernement congolais ou la
population congolaise.
Ils
n’ont qu’à se battre chez eux. Pour Didier Bitaki, le gouvernement congolais et
la Monusco doivent leur laisser le passage parce qu’ils sont entrés en Rdc en
1994 avec leurs armes. Ce n’est pas aux Congolais de les désarmer, fulmine-t-il.
Ils doivent rentrer au Rwanda avec leurs armes comme s’ils sont venus. « C’est
à nous plutôt de nous organiser comment nous devrions protéger nos frontières à
partir du moment où nous avons défait le M23. C’est ça le conseil que je donne
et aux institutions congolaises et au gouvernement congolais et à la population
de laisser ces gens rentrer avec leurs armes ».
N’en
déplaisent à ceux qui pourront croire que les Fardc soutiennent les Fdlr. Ou
encore à ceux qui comprendront que le gouvernement congolais soutiendrait les
rebelles. Par contre, c’est le Rwanda qui a soutenu toutes les rébellions dans
l’Est de la Rdc et pourquoi n’a-t-il pas défait les Fdlr, s’interroge-t-il. « Il
en est de même pour nous si nous engageons la guerre, à travers les frontières
que nous devons sécuriser, si les Fdlr rentraient chez eux sans nous importe
peu. C’est notre pays qui gagne et c’est ça la victoire que nous sommes en
train de célébrer. Si ça ne se passe pas ainsi qu’on veuille désarmer ces gens
parce qu’on veut constituer la police et l’armée ou du gouvernement rwandais
sur le territoire congolais, là je suis désolé puisque notre pays n’est pas une
police de l’armée rwandaise ou du gouvernement rwandais ».
Il
faut que les Fdlr qui s’opposent au gouvernement rwandais et qu’ils rentrent
chez eux avec leurs armes pour que les Congolais puissent vivre paisiblement.
Si le Rwanda veut attaquer la Rdc qu’il le déclare officiellement. Mais la Rdc
ne peut pas faire le service de ce que l’armée rwandaise devrait faire. Il
faudra que cela se termine. « Nous allons gagner la guerre. Le Rwanda a
une police et une armée ».
Rapport 2013 sur l’atteinte à la liberté de la presse en RD Congo : 119 violations contre les journalistes en 2013, selon FFJ
Deux assassinats
dont un par pendaison, affirme l’organisation Freedom for journalist (FFJ) a
documenté, pour l’année 2013, FFJ 119 cas d’atteinte à la liberté de la presse,
toutes les typologies confondues contre 185 cas l’année dernière, soit une
baisse de 36,3 % par rapport à l’année 2012. Cette publication précède la
présentation de ce rapport annoncé pour bientôt, a indiqué un membre de la
Direction de cette principale organisation de défense et de promotion de la
liberté de la presse.
FFJ a rendu
public son rapport à l’occasion de la journée internationale de la Déclaration
universelle des droits de l’homme célébrée le 10 décembre de chaque année.
Cette baisse des
cas d’atteinte au droit d’informer et d’être informé ne veut nullement cependant
signifier que les prédateurs ont bien été plus cléments envers les
professionnels des médias. Ils ont plutôt réussi à faire taire les
journalistes, contraints de recourir à la censure et ou à l’autocensure. Pour
cette année, l’Equateur est en tête avec 30 cas, la ville de Kinshasa
et la province du Nord-Kivu sont ex-æquo avec 29 cas, la province du
Katanga avec 7 cas, le Maniema avec 6 cas ex-æquo avec la Province
Orientale, le Kasaï Occidental avec 6 cas, le Sud-Kivu avec 2
cas même nombre de cas avec le Bas-Congo. Il en est de même avec le Kasaï
Oriental et le Bandundu qui ont enregistré chacun 1 cas. FFJ
tient à préciser qu’il s’agit des chiffres transmis à sa Direction par ses
correspondants en provinces.
FFJ a constaté,
pour l’année 2013, que les prédateurs de la liberté de la presse ont opté pour
une originalité. C’est celle d’enlever et, à l’extrême, d’assassiner. La
plupart des journalistes de l’Est, principalement, ceux du Nord-Kivu et de la
Province orientale sont sur un véritable chemin de la croix. Ils sont enlevés
et, au pire, assassinés, comme c’est le cas de Guylain Chanjaro.
Ouvrons une parenthèse que nous allons très rapidement fermer pour dire que si
Kinshasa n’a pas enregistré un quelconque cas d’assassinat, la pratique
d’enlèvement s’est cependant déportée dans la capitale. FFJ rappelle
l’enlèvement, en pleine journée, mardi 15 octobre dernier, sur ordre du
président de l’assemblée provinciale de Kinshasa, de Magg Mikombe,
journaliste au Palmarès et collaborateur au journal Echos du Sud.
L’organisation étudie la possibilité d’aller en justice contre ce responsable
public pour enlèvement et séquestration.
Il se dégage en
outre, aux yeux de FFJ, que la partie Est de la RDC a ressemblé au Kidal malien
où l’on enlève et l’on tue. Très exactement comme le font les rebelles Touareg
du Mouvement national pour la libération de l’Azawad, MNLA. Ces actes
d’enlèvement ont été, pour la plupart de fois, le fait des rebelles du M23,
d’autres groupes armés et quelques fois, le fait de certains détenteurs de la
puissance publique. C’est grave.
Dans les
provinces, les gouverneurs se sont illustrés par des actes de séquestration des
journalistes pour rien. Ils sont passés maîtres dans les intimidations
contraignant, par ce fait, les journalistes non seulement à recourir à la
censure et à l’autocensure mais aussi, pour sauver la peau, à quitter carrément
la juridiction par peur d’arrestation ou de représailles, le gouverneur du
Nord-Kivu en tête.
Dans la
hiérarchisation des violations, FFJ note la structuration suivante :
- 2
journalistes assassinés dont un par pendaison
- 6
journalistes portés disparus puis retrouvés
- 5
journalistes en prison dont 2 ont été libérés, 3 actuellement en prison.
- 11
journalistes interpellés
- 11
journalistes agressés
- 10
journalistes torturés ou maltraités
- 13
journalistes incarcérés puis libérés
- 44
Journalistes et médias menacés, harcelés ou fermés
- 13
cas ayant fait l’objet des pressions économiques, administratives et
judiciaires
- 3
cas d’entraves à la libre circulation de l’information.
Quant à la
répartition des violations par province, il y a lieu de noter la structuration
suivante :
- 30
cas à l’Equateur
- 29
cas à Kinshasa
- 29
cas au Nord-Kivu
- 7
cas au Katanga
- 6
cas au Maniema et
- 6
cas en Province orientale
- 6
cas au Kasaï occidental
- 2
cas au Sud-Kivu
- 2
cas au Bas-Congo
- 1
cas au Kasaï oriental
- 1
cas au Bandundu
Au chapitre des
violations par ordre de chiffres, FFJ note que les menaces et les harcèlements
viennent en première position, suivies de pressions économiques,
administratives et judiciaires, puis des cas d’incarcération, puis des tortures
et maltraitances, puis des cas de disparition et retrouvailles, puis des cas
d’emprisonnement, interpellations et agressions qui sont en ex-æquo.
Enfin, l’entrave à la libre circulation de l’information et des cas de
journaliste assassiné ont bien été faibles tout au long de l’année 2013.
De tout ce qui
précède, FFJ que note si en 2012, aucun d’assassinat n’a pu être rapporté,
l’organisation regrette que les prédateurs de la liberté de la presse ont eu
recours cependant à la pratique d’assassinat cette année. Avant d’entamer le
second point relatif au cadre légal, FFJ est au regret de constater par un simple
regard jugé suspect, un journaliste soit brutalisé et immédiatement arrêté et
enfermé en prison au passage du convoi présidentiel à Rutshuru, dans la
province du Nord-Kivu. FFJ en était totalement bouleversé et avait, dans les
heures qui ont suivi, demandé sa libération.
Au chapitre du
cadre légal, FFJ note une volonté délibérée des dirigeants à ne pas favoriser
un exercice libre du métier d’informer. A l’exemple de la loi portant accès à
l’information publique non existante, la loi sur la liberté de la presse
gardant toujours ses dispositions liberticides en dépit du lobbying des
organisations professionnelles des médias.
Au plan de la
justice, le journaliste n’a pas de suffisante marge de manœuvres pour se
défendre, parce que sans moyens pour prendre en charge un avocat et autres
frais de justice. FFJ a, depuis début octobre 2013, lancé, à travers un
échantillon de rédactions de Kinshasa, une campagne d’assistance judiciaire
gratuite au profit du journaliste et d’autres professionnels des médias évoluant
sur le territoire de la RDC.
Au chapitre des
recommandations, FFJ demande au Président de la République de :
-
Concourir à l’évacuation du journaliste Patrick Palata, condamné à 20 ans de
prison ferme par la justice militaire, pour des soins de santé appropriés. Le
journaliste n’est pas loin, selon son avocat, de la maladie de Parkinson.
-
Concourir, en qualité de magistrat suprême, au transfert des journalistes
Fortunat Kasonga et John Mpoyi, devant leur juge naturel, à défaut d’obtenir
leur relaxation.
Au Parlement de :
-
Accélérer le processus d’adoption de la loi portant accès à l’information
publique,
-
D’inscrire un débat sur la loi générale sur l’exercice de la liberté de la
presse telle revue et corrigée en vue d’en extirper des dispositions
liberticides,
-
Prendre une loi portant dépénalisation des délits de presse.
Au gouvernement de :
-
faire cesser l’incursion des gouverneurs de province dans la sphère des
médias ; en faisant arrêter, bastonner, et emprisonner les journalistes et
en faisant harceler les médias.
-
Demander aux gouverneurs des provinces d’assurer la protection aux journalistes
et aux médias sous leur juridiction en conformité avec la toute récente
résolution des nations unies portant protection de journalistes.
-
Diligenter une enquête en vue retrouver les prédateurs de la liberté de la
liberté passés maîtres dans l’enlèvement et l’assassinat des journalistes;
-
Faire cesser la rafle opérée sur les colporteurs de journaux, un segment de la
société couvert pourtant par la loi sur l’exercice de la liberté de la presse,
-
Procéder, au nom de la cohésion nationale, à la réouverture de Canal Futur
Télévision et de Radio Lisanga Télévision, deux médias proches de l’opposition.
Aux journalistes
et à l’ensemble de la profession de :
-
Rester attachés aux valeurs cardinales contenues dans le Code d’éthique et de
déontologie dont l’Omec, évangélise, depuis, les prescrits.
jeudi 5 décembre 2013
Forum Afrique – 100 innovations pour le développement durable : Le programme BipBop d’accès à l’énergie de Schneider Electric doublement reconnu
Deux
projets développés par Schneider Electric dans le cadre de BipBop, son programme
d’accès à l’énergie, ont été sélectionnés parmi les 100 projets présentés
Paris,
France, 5 décembre 2013/ -- Schneider Electric annonce que deux projets
de son programme BipBop (1) d’accès à l’énergie ont été retenus pour participer
au « Forum Afrique – 100 innovations pour le développement durable » se
déroulant à Paris les 4 et 5 décembre 2013. Ce forum est à l’initiative
du Ministère français des Affaires étrangères, sous l’impulsion du
ministre délégué chargé du Développement, Pascal Canfin, en partenariat avec
l’Agence française de développement (AFD).
Le « Forum Afrique – 100 innovations
pour le développement durable » vise à mettre en valeur des réalisations
concrètes innovantes et des solutions pratiques à l’échelle nationale ou
locale, dans les domaines variés tels que la santé, l’environnement,
l’agriculture et la sécurité alimentaire, l’éducation ou les nouvelles
technologies. Au-delà des qualités d’entreprenariat et de viabilité économique
de ces innovations, leurs contributions au développement durable et leurs
dimensions sociales et environnementales seront prises en compte. L’événement
s’inscrit dans la continuité des Assises du développement et de la solidarité
internationale, clôturées le 1er mars 2012 par le Président de la République.
Il témoigne du soutien de la France, via le Groupe AFD, aux dynamiques
d’innovation pour le développement durable en Afrique.
Deux
projets développés par Schneider Electric dans le cadre de BipBop, son
programme d’accès à l’énergie, ont été sélectionnés parmi les 100 projets
présentés :
- Projet « Energie et
Microfinance » au Cameroun – Porté par l’association PAMIGA (Groupe Microfinance
Participative pour l'Afrique), en collaboration avec Schneider Electric
et le MIFED Cameroun, ce projet consiste à proposer des solutions de
micro-crédit en zones rurales et urbaines pour financer l’achat de solutions
solaires destinées au développement économique de particuliers ou de petits
entrepreneurs. Schneider Electric apporte des solutions adaptées aux besoins
identifiés par les institutions de microfinance (IMF) et engage ses partenaires
locaux (distributeurs, intégrateurs, installateurs) pour assurer aux clients de
ces IMF la disponibilité de solutions abordables, combinées à un service de
qualité. Deux types de crédits sont accordés aux clients des IMF : des crédits
« lumière », proposant des solutions d’éclairage solaire basse consommation ;
et des crédits « énergie », destinés à fournir des solutions solaires adaptées
pour les besoins d’une activité génératrice de revenus. Ce projet a également
été initié en Tanzanie et en Ethiopie ;
- Le
projet d’électrification rurale décentralisée d’Abu Monkar en Egypte - Ce
projet Schneider Electric a permis de développer la première centrale solaire
réalisée dans la province égyptienne de New Valley. La centrale solaire d’Abu
Monkar, construite à plus de 120 km du réseau électrique le plus proche,
délivre 108 kWh/jour afin de répondre à tous les besoins de base du village,
(école, mosquée, maisons, etc.). Schneider Electric s’assure également de la
formation des résidents d'Abu Monkar afin de permettre l’entretien et
l’exploitation optimale de la centrale.
"La
force du programme BipBop réside dans combinaison entre les capacités de
R&D de Schneider Electric et l'engagement de nos employés africains qui
connaissent parfaitement les problématiques et les écosystèmes de leurs pays.
Répondre au défi de l'électrification rurale est clé, à la fois pour le
développement économique du continent et pour les personnes qui, directement,
bénéficie de la lumière, d'une agriculture plus productive, d'une meilleure
éducation ou de meilleurs soins. C'est un challenge passionnant et je crois que
chaque employé qui a rendu ces deux projets possibles peut se sentir honoré et
fier de voir ses efforts reconnus par le Gouvernement français", a déclaré Mohammed Saad,
président de Schneider Electric en Afrique.
Dans
le cadre du Forum, René Pierrot Ekoé, Ingénieur Développement durable chez
Schneider Electric Cameroun et porteur du projet « Energie et Microfinance », a
été sélectionné avec 20 autres porteurs de projets pour prendre la parole le 5
décembre 2013 et échanger sur les bonnes pratiques mises en place.
A
propos de Schneider Electric
Spécialiste mondial de la gestion de
l'énergie, présent dans plus de 100 pays, Schneider Electric offre des
solutions intégrées pour de nombreux segments de marchés. Le Groupe bénéficie
d’une position de leader sur ceux des Régies et Infrastructures, Industries et
Constructeurs de machines, des Bâtiments non-résidentiels, des Centres de
données et Réseaux ainsi que du Résidentiel. Mobilisés pour rendre l’énergie
sûre, fiable, efficace, productive et propre, ses plus de 140.000
collaborateurs ont réalisé 24 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2012
en s’engageant auprès des individus et des organisations afin de les aider à
tirer le meilleur de leur énergie.
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